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    Augustine
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    2,6
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    155 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 12 novembre 2012
    un film très moyen. l'interprétation des deux comédiens laisse vraiment à désirer.
    jordiman3510
    jordiman3510

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 novembre 2012
    Vide. Malgré un sujet original et un Vincent Lindon qui ne démérite pas, on a beaucoup de mal a rester éveillé après 30 min de film tellement le scénario est plat, le sujet sur l'hystérie n'est qu'un prétexte pour privilégier une relation sans aucun intérêt
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 novembre 2012
    "Augustine" est un premier film maîtrisé qui retrace le duel érotique entre Charcot et sa plus célèbre patiente. Winocour a le geste sûr et l'atmosphère de la Salpêtrière est très bien rendue. Tant qu'il colle aux basques de son héroïne (étonnante Soko, très intense), le film est réussit, par contre il pêche par académisme dès qu'on sort des murs de l'hôpital : le personnage de Charcot est trop figé (il se réduit à un masque qui se fissure) et l'ensemble demeure un peu trop sage. Malgré ces réserves, il faut voir ce film de belle tenue et à l'intelligence sensible.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 4 janvier 2013
    Plus que la lourde introduction (ce crabe, ces verres de vin), c'est le fil entre Charcot et sa patiente, sous l'oeil de lynx de l'épouse (impeccable Chiara Mastroianni) qui captive. L'hypnose émane d'un spécialiste, pas de Charcot. On se croirait dans une arène avec spectateurs gourmands des débordements féminins. Le regard éhonté du médecin alors que la créature se fait applaudir dévoile l'essentiel (la démonstrative Stéphanie Sokolinski s'avère parfaite pour ce rôle). On peut dès lors savourer la mise en scène, éclairages (lumière quasi biblique sur le visage de Vincent Lindon), costumes d'époque (les affriolants dessous de coton blanc !), ne rien perdre des chuchotements ni des changements de place du mal, avancer dans l'intimité encore masquée d'Augustine et son sauveur, quoique de plus en plus copains sans le montrer. Une avancée médicale certaine à l'époque où l'hystérie féminine se diagnostiquait, silence sur le reste. La chute d'escalier a le mérite de relativiser la supposée guérison de la demoiselle. Surprise que l'affaire faite (soi dit en passant drôlement "à la hussarde" pour une cinéaste !), Augustine s'éloigne telle une souris qui aurait volé du gruyère. Les expressions des époux culminent à ce moment-là, dans le style échevelé de leurs soirées... Ce qui frappe chez Alice Winocour est le sens du détail.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    751 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 janvier 2014
    "Augustine" est un drame particulièrement touchant qui nous montre le cas d'une jeune fille atteinte d'impressionnantes crises d'hystérie. Et ce personnage est vraiment magnifiquement interprétée par Stéphanie Sokolinski qui se trouve être la vraie révélation de ce film. Vincent Lindon est quant à lui très bon dans le rôle du professeur Charcot, un homme qui va étudier cette maladie bien mystérieuse et fortement imprévisible. La mise en scène d'Alice Winocour est de qualité, surtout lors des séquences des fameuses crises qui s'avèrent remarquablement filmées. Bref, on est en présence d'une oeuvre forte. assez captivante dans son style et qui mérite clairement d'être découverte.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 janvier 2013
    Un premier film éblouissant, étourdissant de maîtrise et de savoir-faire. Le plus petit détail est senti, joué subtilement, incorporé à l'ensemble au quart de millimètre.Un travail de chirurgien cardiologue. L'effet constant de suggestion ne retombe jamais, il s'insinue, nous attrape par le coeur, par la cervelle et par les couilles. L'érotisme est à son comble, presque sans jamais montrer ni démontrer. Lindon et Soko sont parfaits. Grandiose !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 novembre 2012
    Film intéressant et très bien interprété. Je ne me suis pas ennuyée contrairement au 3 personnes qui étaient avec moi. Il faut
    aimer les films spéciaux
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 décembre 2012
    Si je suis allée voir ce film c'est uniquement parce que je suis étudiante en psychologie et que "Augustine" illustrait parfaitement les choses étudiées en cours . On nous a donc vivement inciter à le voir. (Je dis ça parce que je penses qu'il est important de dire dans quel état d'esprit nous abordons un film.) Alors en ce qui concerne ce film il ne m'as pas marquer plus que ça en tant que tel mais plutôt en tant qu'illustration concrète du travail de Charcot avec ses patientes hystériques. Cependant je pense que pour des gens qui n'y connaissent rien il doit être vraiment enrichissant , j'ai du mal à le voir autrement qu'un film pour enrichir sa culture à vrai dire. Pour moi ce film reflète une réalité sans être une histoire passionnante et divertissante. Mise à part ça acteurs très convainquant , bonne réalisation et encore une fois bon travail de retranscription de l'époque.
    Hotinhere
    Hotinhere

    549 abonnés 4 957 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2023
    Chronique troublante mais manquant de souffle de la relation ambiguë du professeur Charcot avec une de ses patientes hystériques, portée par l’interprétation excellente du duo Lindon/Soko. 2,75
    maxime ...
    maxime ...

    240 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mars 2023
    Premier Film au combien excellent ! Augustine décroche dès son allumage une fascination autour de cette jeune femme que l'on apprend à découvrir au travers des symptômes, spasmes, de sa crise qui l'amène à cet hôpital ou les corps et les âmes sont meurtries. De cette proximité qui nous enferme avec elle, toute une étude sera faite, mais chaque chose en son temps ...

    Un rapport de force s'opère dès les premiers exams, dans le " touché ", surtout par la parole, là ou le traitement s'avère d'une extrême brutalité ! Sans ménagement, la froideur exerce comme une forme d'emprise, devient sujet de prières, et si j'ose dire, une première hypnose. Je prend pour exemple cette séquence ou l'on ne lave pas, on frotte la malade, ardemment, jusqu'à présentation devant une assemblée d'hommes/médecins, qui s'achemine par des applaudissements devant cette "Hystérie " momentanée. La discussion en plein repas qui s'ensuit, ne facilite aucune nuance, elle s'en déguise, établis un parallèle avec un constat, celui de comprendre, un œil à semi-ouvert, en tout cas pour moi.

    La lumière dans le paysage dépeint, là ou la clarté surgit dans la teinte obscure sublime une photographie ou le grain est essentiel. Alice Winocour, livre d'ailleurs, une mise en scène ou le soin apporter aux détails est primordiale pour un sujet qu'elle veut contrastant. L'œil, le regard, la perception passe par la formule, par un contenu à la fois visible et à la fois sous-jacent. Le pouvoir qu'exerce ce médecin un poil particulier sur cette patiente qui l'est tout autant témoigne d'une étrange attraction ou l'ascendant est bien plus trouble qu'il n'y parait de prime abord. La " malade magnifique " comme l'appel Charcot, est tout passablement mis au centre des multiples donnes possibles et imaginables. Le traitement qui lui est indiquée, voir infligé, comme cette scène sans finesses, aucunes, manifeste une douleur que rien entrave, bien au contraire, questionne au demeurant la fameuse idée mis en exergue, de quelle " guérison " parle t-on ?

    La rudesse, la virulence, le voyeurisme laisse place à une soudaine variation passé le " - Va t'en ! ". spoiler: Ceci amène une nouvelle démonstration, pour un résultat similaire, en apparence seulement. La pulsion, une fois consommé laisse place à une autre définition dans le superposé, Passion / Raison, jusqu'ici conduit. La souffrance devient perpendiculaire, de se croisement, l'on retiens les visages dans le succès, dans la fuite qui s'orchestre de suite, dans un final absolument magnifique ! Il faut d'ailleurs souligné le travail exquis de Soko et de Vincent Lindon, touts deux incroyables. La première, dans une forme de fragilité révèle un tempérament, une trajectoire par le feu qui accentue des émotions, permet d'en extraire une fièvre éblouissante. Quand à celui-ci, sa pseudo rigueur dissimule une autre forme d'expression, totalement cadenassé par un surmoi, par des attentes, des codes, des schémas ciblés auquel il faut coute que coute s'y livrer, y compris lorsque l'on tente de les changer. Lindon est franchement bluffant !


    Augustine, premier film d'une Réalisatrice qui semble vouloir creusé et chatouiller les idées reçus, à dans son sein une matière à rendre compte d'un cinéma que je trouve génial. En sortant des clous, elle franchit des limites, ou alors les effleure dans une relative approche de la connotation et entraine avec elle une idée folle pour redéfinir les carcans, voir autrement, dans une originalité de ton et de teinte qui sort du cahier des charges types du cinéma lors de toute idée de reconstitution.

    J'ai hâte de découvrir ses trois autres longs métrages.
    arnaud1996
    arnaud1996

    6 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 novembre 2012
    l'histoire avait tout pour plaire...mais le film s’essouffle un peu...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 14 novembre 2012
    Certes Soko est superbe de promesses. Mais somme toute un peu ennuyeux. Peut-être trop morose pour moi en ce mois de novembre.
    vidalger
    vidalger

    321 abonnés 1 249 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 novembre 2012
    Étonnant premier film d'une réalisatrice française dont il faut bien retenir le nom. En prenant le risque d'une reconstitution historique, d'un sujet presque scabreux et avec la difficulté de représenter l'hystérie et ses crises au cinéma, Alice Winocour nous surprend et nous épate. L'image est particulièrement soignée même si elle est empreinte d'un certain classicisme régressif, les plans, les mouvements de caméra sont toujours remarquables que l'on nous montre des scènes de foule ou des échanges plus intimistes. Deux acteurs remarquables, le toujours juste Vincent Lindon en ponte médical et la découverte de l'année, la jeune Soko qui prend une option sur un César, dans une très belle interprétation de sauvageonne qui finit par s'apprivoiser. Alors? Qu'est-ce qui ne va pas? Le rythme, lent et finalement ennuyeux, les scènes inutiles et redondantes, la musique pléonastique, et surtout, un scénario pas assez étoffé, pas assez travaillé. (Mais pour relativiser, je dois dire que je reproche la même chose à Amour d'Haneke). On a un peu l'impression que tout le film n'est construit que pour annoncer la conclusion, le triomphe final de la jeune Augustine sur la bourgeoisie, le conformisme et l'Académie. On aurait aimé un peu plus de profondeur sur les personnages et notamment sur Charcot qui ne peut être réduit au peu que l'on nous montre ici.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 décembre 2012
    Un film vraiment particulier qui malgré des défauts arrive à nous « captiver ». On a envie de savoir se qui va se passer pour cette jeune fille tant au niveau de son état que de sa relation avec son docteur. Le casting et la musique sont à la hauteur et l’image est très belle et très travaillée. Un bon premier film pour une réalisatrice à suivre.
    Didier C.
    Didier C.

    17 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 mars 2023
    Il y a de l'ambition dans ce film. Mais le rythme lent, la noirceur, la froideur ont finalement pris le pas sur moi.
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