Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Critikat.com
par Matthieu Bareyre
Winocour veut commencer là où certains grands se sont arrêtés, à l'idée que la fiction, ce n'est pas moins ou plus que le réel, mais une manière de le regarder dans les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Jean Roy
La jeune Alice Winocour (...) a écrit et réalisé un premier long métrage impressionnant de maîtrise sur le professeur Charcot en action.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
La relation entre le praticien et le patient est (...) au coeur du singulier premier film d'Alice Winocour, "Augustine", qui témoigne d'une ambition assez rare chez les cinéastes français débutants.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
La belle idée d'Alice Winocour (...) est d'envisager la possession sous son double sens, matériel (...) et spirituel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Frédéric Mercier
Soko (...) incarne à merveille l'héroïne (...) secondée par sa cinéaste, c'est d'abord elle qui parvient à inventer l'image de cette nouvelle rebelle moderne.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
20 Minutes
par Caroline Vié
C'est pourtant dans la relation pudique entre la malade et son médecin qu'Alice Winocour a ajouté ce qu'il faut de fiction pour livrer une oeuvre envoutante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Pour son premier film, Alice Winocour prend beaucoup de libertés et fait preuve – comme son héroïne et comme son actrice – d'une belle détermination.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ecran Large
par Simon Riaux
"Augustine" est un des films consacrés à la condition féminine les plus politiques et subtils que l'on ait vu depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Christophe Carrière
(...) quelle personnalité! A la fois gothique et moderne, ce film annonce la naissance d'une nouvelle cinéaste, Alice Winocour.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Aureliano Tonet
(...) les rapports de forces entre le médecin et la malade chargent le film d'une tension érotique et anxiogène, électrisée par un duo d'acteurs joliment complémentaires.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Iris Brey
"Augustine" séduit par l'originalité de son sujet et la finesse du traitement de la relation entre Charcot et sa patiente la plus célèbre. Un premier long métrage élégant et subtil.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Ce "charme" empoisonné, Alice Winocour le restitue dans la trame intimiste d'une reconstitution hantée qui ne cherche pas inutilement à exagérer le théâtre de la cruauté de la folie douce dont la Salpêtrière aurait été le décor.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Vincent Lindon dresse du savant (Pr Charcot) un portrait épatant, mélange de certitudes arrogantes et de doutes persistants, qu'un trouble interdit va bientôt submerger.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Metro
par Marilyne Letertre
Si la mise en scène clinique empêche l'émotion de poindre, Vincent Lindon, froid et puissant, et Soko, actrice-chanteuse déjà épatante dans "Bye Bye Blondie", fascinent dans ce jeu de pouvoir, de manipulation et de séduction.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Yann Tobin
L'atout principal d'Alice Winocour, outre son talent d'écriture, est son travail très sûr avec les acteurs. Vincent Lindon nous a habitués, depuis quelques années, à être sensationnel dans la retenue, les silences, les regards qui trahissent, les gestes qui révèlent.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Film sur le désir et la peur des femmes, manifeste féministe, "Augustine" a l'audace, la richesse et la force d'un coup de maître.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Elle
par Florence Ben Sadoun
(...) ce premier film d'Alice Winocour nous parle frontalement de l'hystérie (...) et ressuscite une époque.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Arnaud Schwartz
Porté par Vincent Lindon et Soko, le film installe une atmosphère singulière, évocation libre mais tangible, documentée, d'une époque avide de découvertes et socialement très compartimentée.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Pour son premier long-métrage, Alice Winocour (...) distille une atmosphère entre romantisme impressionniste et envolées presque fantastiques, le temps de scènes d'hystérie tout en contorsions effrayantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Christophe Narbonne
Si l'ambiance mortifère du début (...) laissait espérer un traitement viscéral aux frontières du fantastique, l'intrigue, corsetée et linéaire, se charge de remettre très vite le film sur les rails de la normalité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
"Augustine" est le premier film le plus maîtrisé que l'on ait vu depuis longtemps. Chaque plan est cadré avec une précision méticuleuse, chaque décor, chaque costume sont choisis avec un soin maniaque. Tout est calculé. Presque trop.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Vincent Garreau
On se demande vraiment pourquoi la caméra se glace comme ça, pourquoi elle reste tellement en surplomb par rapport à son personnage. C'est comme si "Augustine" était perçue au monocle, avec des crispations de sourcil pour tenir le verre.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
Winocour veut commencer là où certains grands se sont arrêtés, à l'idée que la fiction, ce n'est pas moins ou plus que le réel, mais une manière de le regarder dans les yeux.
L'Humanité
La jeune Alice Winocour (...) a écrit et réalisé un premier long métrage impressionnant de maîtrise sur le professeur Charcot en action.
L'Obs
La relation entre le praticien et le patient est (...) au coeur du singulier premier film d'Alice Winocour, "Augustine", qui témoigne d'une ambition assez rare chez les cinéastes français débutants.
Les Inrockuptibles
La belle idée d'Alice Winocour (...) est d'envisager la possession sous son double sens, matériel (...) et spirituel.
Transfuge
Soko (...) incarne à merveille l'héroïne (...) secondée par sa cinéaste, c'est d'abord elle qui parvient à inventer l'image de cette nouvelle rebelle moderne.
20 Minutes
C'est pourtant dans la relation pudique entre la malade et son médecin qu'Alice Winocour a ajouté ce qu'il faut de fiction pour livrer une oeuvre envoutante.
Cahiers du Cinéma
Pour son premier film, Alice Winocour prend beaucoup de libertés et fait preuve – comme son héroïne et comme son actrice – d'une belle détermination.
Ecran Large
"Augustine" est un des films consacrés à la condition féminine les plus politiques et subtils que l'on ait vu depuis longtemps.
L'Express
(...) quelle personnalité! A la fois gothique et moderne, ce film annonce la naissance d'une nouvelle cinéaste, Alice Winocour.
Le Monde
(...) les rapports de forces entre le médecin et la malade chargent le film d'une tension érotique et anxiogène, électrisée par un duo d'acteurs joliment complémentaires.
Les Fiches du Cinéma
"Augustine" séduit par l'originalité de son sujet et la finesse du traitement de la relation entre Charcot et sa patiente la plus célèbre. Un premier long métrage élégant et subtil.
Libération
Ce "charme" empoisonné, Alice Winocour le restitue dans la trame intimiste d'une reconstitution hantée qui ne cherche pas inutilement à exagérer le théâtre de la cruauté de la folie douce dont la Salpêtrière aurait été le décor.
Marianne
Vincent Lindon dresse du savant (Pr Charcot) un portrait épatant, mélange de certitudes arrogantes et de doutes persistants, qu'un trouble interdit va bientôt submerger.
Metro
Si la mise en scène clinique empêche l'émotion de poindre, Vincent Lindon, froid et puissant, et Soko, actrice-chanteuse déjà épatante dans "Bye Bye Blondie", fascinent dans ce jeu de pouvoir, de manipulation et de séduction.
Positif
L'atout principal d'Alice Winocour, outre son talent d'écriture, est son travail très sûr avec les acteurs. Vincent Lindon nous a habitués, depuis quelques années, à être sensationnel dans la retenue, les silences, les regards qui trahissent, les gestes qui révèlent.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Film sur le désir et la peur des femmes, manifeste féministe, "Augustine" a l'audace, la richesse et la force d'un coup de maître.
Elle
(...) ce premier film d'Alice Winocour nous parle frontalement de l'hystérie (...) et ressuscite une époque.
La Croix
Porté par Vincent Lindon et Soko, le film installe une atmosphère singulière, évocation libre mais tangible, documentée, d'une époque avide de découvertes et socialement très compartimentée.
Le Journal du Dimanche
Pour son premier long-métrage, Alice Winocour (...) distille une atmosphère entre romantisme impressionniste et envolées presque fantastiques, le temps de scènes d'hystérie tout en contorsions effrayantes.
Première
Si l'ambiance mortifère du début (...) laissait espérer un traitement viscéral aux frontières du fantastique, l'intrigue, corsetée et linéaire, se charge de remettre très vite le film sur les rails de la normalité.
Télérama
"Augustine" est le premier film le plus maîtrisé que l'on ait vu depuis longtemps. Chaque plan est cadré avec une précision méticuleuse, chaque décor, chaque costume sont choisis avec un soin maniaque. Tout est calculé. Presque trop.
Chronic'art.com
On se demande vraiment pourquoi la caméra se glace comme ça, pourquoi elle reste tellement en surplomb par rapport à son personnage. C'est comme si "Augustine" était perçue au monocle, avec des crispations de sourcil pour tenir le verre.