Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Axelle Ropert
Videau réussit à rendre supportable son sujet tout en le traitant pourtant pleinement (...). Chez [lui], nulle froideur objective paresseuse, mais une réserve aimante qui protège subtilement l'héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Le Monde
par Isabelle Regnier
Il y a quelque chose de provocant dans la manière qu'a Frédéric Videau de ne jamais filmer son personnage comme une victime, mais au contraire toujours comme une guerrière (...). Cette absence de pathos, ce refus du sordide, qui rendent le film bizarrement plaisant, sont en même temps très dérangeants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Un film troublant dans ce qu'il dit de la complexité des choses, particulièrement bien construit et jamais pesant dans ses flash-back. Le jeu des acteurs, (...) y est remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Metro
par Mehdi Omaïs
Au lieu de pointer le méchant du doigt, cette oeuvre à la neutralité dérangeante retranscrit sèchement la relation amour-haine scellant les destins de la victime et de son bureau.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Christophe Narbonne
[Le réalisateur] a choisi de traiter [le sujet] comme un entomologiste observant les insectes : avec une rigueur toute scientifique. (...) L'hypothèse est dérangeante, peut-être choquante, mais en aucun cas manichéenne.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Reda Kateb et Agathe Bonitzer se sortent de ce brûlot contre la famille grâce à leur jeu incroyablement sûr et subtil.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Julien Marsa
Un film courageux et brillamment interprété, mais dont la dispersion entre deux temporalités nuit à la qualité d'écriture.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Le ton est assez pointu, mais la finesse psychologique accroche l'attention. Et le charisme animal de Reda Kateb dans le rôle du geôlier ambigu est magnétique.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Un film qui entre le trop et le pas assez ne décide pas toujours, à bon droit probablement, mais au risque toutefois de susciter chez le spectateur certaines frustrations.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Benjamin Untereiner
Frédéric Videau signe un film intelligent, fluide, bien écrit et bien interprété, dont le sujet est abordé de manière paradoxalement très théorique, et manque, dans certaines séquences, de force et d'incarnation.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Alain Spira
Si le jeu des comédiens est sans reproche, la crédibilité de leurs personnages est moins évidente. Ce sentiment d'irréalité fait qu'on ne se laisse pas totalement kidnapper par le film.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Louis Guichard
La situation installée, et son issue connue, la routine du duo édulcore le film. L'intérêt se déplace vers les scènes du présent, quand Gaëlle retrouve ses proches. (...) Frédéric Videau donne enfin à cette histoire ce qui lui manquait de folie et de tragique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
La tentative d'évincer la psychologie (...) tourne bientôt à vide : le ravisseur est présenté comme normal avec un tel volontarisme scénaristique que l'évitement de la violence attendue tourne à l'évidement pur et simple du film.
L'Humanité
par Vincent Ostria
On a beau faire, on n'arrive pas à accrocher à cette oeuvre trop désincarnée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Truffé de scènes invraisemblables, peuplé de personnages caricaturaux, ce trop long métrage sent la prétention.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Olivier De Bruyn
Hélas, si un certain trouble émane du récit, "A moi seule", à force d'esquisses et d'ellipses, se contente de frôler ses enjeux et sombre parfois dans une pose, que vient souligner la musique inutilement lyrique de Florent Marchet.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Une démonstration ennuyeuse sinon vaine malgré ses grandes intentions et tout le charme qu'on voudra bien trouver aux acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
Videau réussit à rendre supportable son sujet tout en le traitant pourtant pleinement (...). Chez [lui], nulle froideur objective paresseuse, mais une réserve aimante qui protège subtilement l'héroïne.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Le Monde
Il y a quelque chose de provocant dans la manière qu'a Frédéric Videau de ne jamais filmer son personnage comme une victime, mais au contraire toujours comme une guerrière (...). Cette absence de pathos, ce refus du sordide, qui rendent le film bizarrement plaisant, sont en même temps très dérangeants.
Le Parisien
Un film troublant dans ce qu'il dit de la complexité des choses, particulièrement bien construit et jamais pesant dans ses flash-back. Le jeu des acteurs, (...) y est remarquable.
Metro
Au lieu de pointer le méchant du doigt, cette oeuvre à la neutralité dérangeante retranscrit sèchement la relation amour-haine scellant les destins de la victime et de son bureau.
Première
[Le réalisateur] a choisi de traiter [le sujet] comme un entomologiste observant les insectes : avec une rigueur toute scientifique. (...) L'hypothèse est dérangeante, peut-être choquante, mais en aucun cas manichéenne.
TéléCinéObs
Reda Kateb et Agathe Bonitzer se sortent de ce brûlot contre la famille grâce à leur jeu incroyablement sûr et subtil.
Critikat.com
Un film courageux et brillamment interprété, mais dont la dispersion entre deux temporalités nuit à la qualité d'écriture.
L'Express
Le ton est assez pointu, mais la finesse psychologique accroche l'attention. Et le charisme animal de Reda Kateb dans le rôle du geôlier ambigu est magnétique.
L'Obs
Un film qui entre le trop et le pas assez ne décide pas toujours, à bon droit probablement, mais au risque toutefois de susciter chez le spectateur certaines frustrations.
Les Fiches du Cinéma
Frédéric Videau signe un film intelligent, fluide, bien écrit et bien interprété, dont le sujet est abordé de manière paradoxalement très théorique, et manque, dans certaines séquences, de force et d'incarnation.
Paris Match
Si le jeu des comédiens est sans reproche, la crédibilité de leurs personnages est moins évidente. Ce sentiment d'irréalité fait qu'on ne se laisse pas totalement kidnapper par le film.
Télérama
La situation installée, et son issue connue, la routine du duo édulcore le film. L'intérêt se déplace vers les scènes du présent, quand Gaëlle retrouve ses proches. (...) Frédéric Videau donne enfin à cette histoire ce qui lui manquait de folie et de tragique.
Cahiers du Cinéma
La tentative d'évincer la psychologie (...) tourne bientôt à vide : le ravisseur est présenté comme normal avec un tel volontarisme scénaristique que l'évitement de la violence attendue tourne à l'évidement pur et simple du film.
L'Humanité
On a beau faire, on n'arrive pas à accrocher à cette oeuvre trop désincarnée.
La Croix
Truffé de scènes invraisemblables, peuplé de personnages caricaturaux, ce trop long métrage sent la prétention.
Le Point
Voir le site du Point.
Positif
Hélas, si un certain trouble émane du récit, "A moi seule", à force d'esquisses et d'ellipses, se contente de frôler ses enjeux et sombre parfois dans une pose, que vient souligner la musique inutilement lyrique de Florent Marchet.
Le Journal du Dimanche
Une démonstration ennuyeuse sinon vaine malgré ses grandes intentions et tout le charme qu'on voudra bien trouver aux acteurs.