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    Random Acts Of Violence
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    11 critiques spectateurs

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    Stolas
    Stolas

    7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 juillet 2021
    Mort de rire, ce film est tellement mauvais. Pourquoi Jesse Williams est black dans les flash backs quand il est gosse ? On sait que cet acteur est très engagé pour la communauté noire mais faut arrêter le fantasme, ça nuit à la moindre compréhension.

    Certains themes sont abordés avec une facilité de gros redneck pour finir sur un scénario qui s'est perdu en cours de route.
    Florence
    Florence

    22 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mai 2021
    Je suis déçue par ce film. Je m'attendais à un bon film mais, là, le réalisateur met seulement bout à bout des scènes gores et ultra-violente avec une pincée de crise existentielle du personnage principal. Le scénario est maigre et tiré par les cheveux.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    365 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 novembre 2020
    J’ai trouvé que c’était un très bon film d’horreur. Déjà, quel n’a pas été ma surprise de retrouver ensemble Jesse Williams et Jay Baruchel dans un slasher. Surtout que ce dernier en est le réalisateur. On n’est pas du tout habitué à les voir dans cette situation, et je dois dire que le résultat est convaincant. Le film est gore à souhait. Le serial killer va être sans aucune pitié, et l’hémoglobine va couler à flots. Il se dégage une violence inouïe lors des différents massacres. Il va avoir une ambiance tendue qui va se développer plus les meurtres se multiplie. Je l’ai trouvée vraiment prenante. Au-delà de tout cet aspect slasher parfaitement fait, il y a un travail de fond sur le concept qu’un homme imite une BD. Il va mettre sur la table une réflexion importante : est-ce qu’un contenu est responsable des exactions d’un fou. Une vraie question va se poser pour savoir si le dessinateur à une part de responsabilité en faisant une œuvre violente. Cet aspect-là m’a plus car on dépasse le simple film d’horreur. C’est une touche importante pour avoir une autre dynamique ne reposant pas que sur du sang. Pour aller avec ça, les personnages sont plutôt bien travaillés, et on n’aura pas de clichés ambulants. Ils ont une nuance et celui de l’auteur particulièrement. Malheureusement petit bémol sur la fin qui est trop précipitée. Le film est court (1h20), et il ne prend pas le temps de faire un beau finish. On sent de la confusion pour « boucler la boucle » et avec quelques transitions cela aurait été mieux amener.
    apotheme
    apotheme

    118 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2020
    Un film d'horreur qui nous propose enfin des scènes d'horreur.
    Random acts of violence est certes de part sa structure classique pas novateur pour le style pas LE film d'horreur du moment mais il se laisse apprécié pour l'as amateurs du genre.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 329 abonnés 7 541 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 septembre 2020
    Second long-métrage pour l’acteur Jay Baruchel, après s’être essayé à l’univers sportif avec Goon : Last of the Enforcers (2017), il s’attaque (avec plus ou moins de difficulté) au registre horrifique, en cumulant plusieurs casquettes, à savoir celle de réalisateur, producteur, scénariste & acteur (!).

    Random Acts Of Violence (2020) est l’adaptation éponyme du roman graphique de Justin Gray & Jimmy Palmiotti. Le film nous plonge dans l’univers des comics où son auteur se retrouve du jour au lendemain en proie à un serial killer et pas n’importe lequel, puisqu’il s’agit de celui qu’il a imaginé / dessiné dès les premiers tomes.

    D’entrée de jeu, le film dévoile son potentiel, avec une photo soignée et une mise en scène à l’esthétisme léché. Mais hélas, cela n’ira pas plus loin. En effet, pour réussir un bon slasher, il ne suffit pas d’enchaîner les mises à mort, d’avoir la main lourde sur l’hémoglobine, d’aligner les clichés du genre et d’affubler le meurtrier d’un casque de soudeur (à l’image du sérial killer dans La Cité de la peur - 1994) pour réussir un bon film d’horreur.

    L’un des gros point faible du film réside dans le fait qu’il y a un gros décalage entre les intentions du réalisateur et le ressenti des spectateurs. Le film s’avère être d’une platitude désarmante, les séquences horrifiques s’enchaînent les unes après les autres et ce, sans la moindre conviction. Le jeu des acteurs y est déplorable, à commencer par l’interprète principal : Jesse Williams, qui est mono expressif pendant 80min. Pour jouer l’effet de surprise, la peur, la joie ou la colère, il a trouvé la solution, il écarquille grand les yeux, à vous de faire le reste pour l’interpréter à votre sauce.

    En dehors de s’être fait plaisir sur la mise en scène (en y incrustant des inserts de comics et d’animation), Jay Baruchel déçoit avec son slasher lénifiant et sans réelle originalité.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Ol M.
    Ol M.

    9 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 septembre 2022
    Pour ceux qui aiment l’hémoglobine à tout va et le burlesque, un soudeur qui ne soude pas que le métal et l'acier mais aussi d'autres surface plus en chair. Le plus c'est qu'on peut aller faire sa cuisine et revenir quinze minutes plus tard sans pour autant avoir perdu le fil de l'histoire. Au secours.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    325 abonnés 2 999 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 août 2020
    J. Baruchel s'essaie, en tant que metteur en scène, à un genre totalement différent de ses rôles d'acteur. La mise en pratique de meurtres inspirée d'oeuvres artistiques n'est pas nouvelle. Mais le récit évolue et finalement, nous surprend en inversant l'origine du carnage. Forcément gore, malheureusement trop de temps mort font que l'on decroche souvent!
    Shirokuromelt
    Shirokuromelt

    25 abonnés 356 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 août 2020
    Bof. Pendant une heure ça patine, navigant entre des séquences convenues à l'imagerie légèrement risible (le tueur au masque à souder, franchement...) platement mise en scène, et un rythme tout aussi plat, puis le film offre 5/10 minutes d'un onirisme hypnotique et sombre tout à fait captivant, super bien foutu, avant de retomber dans un final complètement quelconque.
    Il semble que l'auteur ait plus été intéressé par un certain aspect de la forme (les inserts de comics) que par le fond de son film, résultat: le récit est très faible, de même que la psychologie générale et l'atmosphère, une fois encore, très plate.
    eldarkstone
    eldarkstone

    229 abonnés 2 092 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 août 2020
    Une bonne et originale idée de base, avec un scénario correct, le tout assez viscéral et malsain, jusqu'au bout ! Un bon moment de série B !
    RedArrow
    RedArrow

    1 678 abonnés 1 536 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 août 2020
    Accompagné de sa petite amie, son assistante et son éditeur, le créateur de la série de comics à succès "Slasherman" se lance dans un road-trip sur les lieux des terribles meurtres ayant inspiré son œuvre. En plus du côté promotionnel du voyage, il espère ainsi trouver de nouvelles idées qui lui permettraient de conclure les aventures dessinées de son célèbre tueur...

    Après s'être essayé à la réalisation par l'intermédiaire de quelques courts, d'épisodes de séries et d'un premier long-métrage (la suite de "Goon", comédie canadienne sur le hockey dont il avait déjà signé le scénario du premier opus), le comédien Jay Baruchel revient derrière la caméra dans un registre où on ne l'attendait pas forcément : l'horreur et, plus particulièrement, un de ses sous-genres les plus risqués par excellence, le slasher.

    Devenu prisonnier de ses propres codes, le slasher continue surtout de survivre aujourd'hui par la longévité mercantile de ses tueurs masqués les plus connus, les hommages appuyés à la grande époque du filon et les parodies/satires qui n'ont de cesse de s'amuser de ses pires clichés. Même les plus aficionados des slashers le reconnaîtront : ces dernières années, les quelques rares propositions originales aux partis pris inventifs (très souvent métas) et ayant réussi à bousculer le format figé de ce sous-genre se comptent hélas sur les doigts d'une main.
    À l'instar d'un certain mouvement du cinéma indépendant US qui s'empare de différents registres de l'horreur/épouvante comme couvertures à des sujets plus profonds, "Random Acts of Violence" va tenter de dépoussiérer la forme éculée du slasher (ici, routier) en y mêlant une réflexion sur la manière d'appréhender l'art vis-à-vis de la réalité dont il s'inspire et vice-versa.

    Globalement, le sujet n'a certes rien de neuf, qui plus est dans le genre horrifique (combien de fois a-t-on vu l'histoire d'une création échappant au contrôle de son auteur pour se retourner contre lui ?) mais Jay Baruchel va vraiment impressionner par l'amplitude qu'il lui fait atteindre en le traitant à toutes les strates de son intrigue !
    Ici, l'art de son héros, dessinateur de comics, prend sa source dans la réalité d'une véritable série de meurtres et un passé occulté où il joue vraisemblablement un rôle important (de fugaces flashbacks viennent rapidement nous le suggérer). Alors que l'auteur se met à fouler les lieux des événements-clés de son oeuvre, cet art va dorénavant se mettre à inspirer une nouvelle réalité sanguinaire qui va elle-même s'inscrire pour nous, spectateurs, dans une fiction reprenant tous les passages obligés d'un banal slasher routier (bande de jeunes en road-trip, arrêt dans une station-service louche, tueur masqué à la "Red is Dead", meurtres de victimes aléatoires avant de s'attaquer aux héros, final grandguinolesque avec révélation : quasiment tout y est !). À tous ses degrés de lecture, cette mise en abîme à facettes multiples prend un malin plaisir à flouter sans cesse la frontière entre la fiction et le réel où ses personnages se retrouvent les premiers captifs (par exemple, la brutalité souvent confuse des agissements du tueur semble être son seul moyen d'exister "réellement" au milieu des situations standards du slasher). Même intrinsèquement, dans les clivages opposant certains de ses protagonistes, le film poursuit un travail de réflexion morale sur l'opportunisme de s'approprier des faits réels pour les détourner en fiction. Et il y bien entendu le retour de flammes bien plus personnelle dont va être victime le héros, la principale constituante à la fois de cette histoire et de l'interprétation métaphorique de cette influence réciproque incontrôlable entre fiction et réalité que le film cherche tant à mettre en exergue.
    De surcroît, l'ensemble de la proposition s'avère soutenue par de vraies qualités esthétiques (très chouette photo de Karim Hussain), une mise en scène toujours bien pensée, des meurtres très graphiques en écho à l'imagerie logique des comics pour adultes, une bande originale aux petits oignons et un casting d'acteurs -ce n'est bien sûr pas un hasard- très familier du genre : Jesse Williams ("La Cabane dans les bois"), Jordana Brewster ("Massacre à la Tronçonneuse - Le Commencement"), Niamh Wilson ("Saw 3") et Baruchel lui-même.

    Cependant, malgré tout l'enthousiasme que ce deuxième long-métrage de Jay Baruchel peut susciter par son approche, il faut bien avouer que "Random Acts of Violence" n'apporte au final qu'une satisfaction partielle. Aussi intelligente soit-elle menée, la piste de réflexion sur l'art imitant la vie/la vie imitant l'art se retrouve assez vite prise au piège de ses propres limites une fois exposée (on en connaît de facto une majorité de ses contours avant qu'ils soient mis en lumière par le film) et les divers rebondissements de pur slasher sur laquelle elle se fonde ne pourront faire preuve que d'une solidité éprouvée à défaut de créer la surprise. C'est un peu tout le problème du film : même s'il conjugue le format du slasher à son discours de fond avec une adresse remarquable dans une unique toile d'araignée, il paraît lui-même en devenir le principal prisonnier sur la longueur, sans possibilité de se défaire des défauts inhérents à ces deux composantes (sa très courte durée, 1h20 générique compris, résonne d'ailleurs symboliquement comme un aveu d'impuissance à ce niveau).

    Il est donc dommage que ses limites empêchent "Random Actes of Violence" de prétendre à plus, l'audace et la singularité de la proposition demeurent néanmoins suffisamment prometteuses pour que l'on continue à suivre avec curiosité l'avenir du cinéaste Jay Baruchel...
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 693 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 août 2020
    Pourquoi prendre la peine de faire des films comme celui-ci. Il n'y a pas de narration, pas de jeu d'acteurs, pas de direction et pas de cœur. J'aimerais soutenir les talents canadiens mais ce n'est pas ça. Juste un autre slasher inutile avec des scènes typiques et des personnages prévisibles. Il m'a fallu quatre heures pour le terminer car je n'arrêtais pas de m'endormir et de rembobiner. Cela ne m'a tout simplement pas excité ni effrayé et il y avait quelque chose qui clochait dans le jeu d'acteur de Jesse Williams. Car il n'était pas crédible dans ce rôle...
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