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    Another Happy Day
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    3,0
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    183 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 février 2012
    Film Tres surprenant. Scenario dramatique, mais tourné par moment à l'ironie grace au regard du fils ado. Une vision à part de la famille US pleine de problemes.
    Les acteurs sont très bons (e.miller) et la grand mere (rappel de requiem for a dream).
    tixou0
    tixou0

    711 abonnés 2 003 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 février 2012
    Quand Lynn (Ellen Barkin - pitoyables tentatives de lifting) et Paul (Thomas Haden Church) ont divorcé (désunion très conflictuelle) chacun a gardé l'un des enfants : Lynn, Alice et Paul, Dylan. Chacun a refait sa vie, Lynn avec le paisible Lee et Paul avec la volcanique Patty (Demi Moore - sûrement retouchée elle aussi, mais c'est très bien fait !) - l'ex-épouse faisant deux nouveaux rejetons (Elliot et Ben), et l'ex-mari deux autres aussi, deux filles. Tout ce petit monde se retrouve chez les parents de Lynn, avec de nombreux collatéraux, pour le mariage de Dylan et Heather. Sam Levinson (le fils de Barry) écrit et réalise ici un premier "long", primé à Sundance (scénario). Ces quelques jours en famille recomposée sont évidemment assez peu "happy" - il faut dire aussi que la barque est des plus chargée : Lynn névrosée et vindicative, Alice adepte de l'auto-mutilation, le grand-père cardiaque et Alzheimer (qui aura quand même le bon goût de mourir après la célébration du mariage - mais pendant la réception), Ben ("légèrement" ) autiste ( clin d'oeil à "Rain Man" ?), la soeur de Lynn fofolle, et surtout Elliot qui a 17 ans est sérieusement alcoolique et se shoote à tout ce que l'on peut imaginer ! Too much, non ? Cet étouffoir entre proches arrive vite à saturation, et vraiment près de 2 heures sur la même tonalité cela ennuie ! Au crédit, je ne retiendrai pour ma part que la performance du jeune Ezra Miller (Elliot), tout aussi remarquable ici que dans l'excellent "We need to talk about Kevin" (où il avait en plus l'avantage d'une mère de cinéma exceptionnelle - Tilda Swinton - à cent coudées au-dessus d'Ellen Barkin qui ne sait que pleurnicher).
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 février 2012
    un film étrange qui rappelle que nos amis d'outre atlantique ne sont pas si plat et peuvent se révéler surprenant. À essayer.
    poulaitt
    poulaitt

    17 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 septembre 2012
    Après 6 mois de panne pour poster mes citiques, je reviens sur ce film dont j'avais juste mis les étoiles et..Je ne m'en souviens strictement pas. Plus aucune idée de ce que c'est, tout est dit.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 février 2012
    Je voulais passer un bon moment sans prise de tête : c'est raté !
    L'histoire est ennuyeuse, entre un enfant toxico et une mère déprimante, on ne sait pas quand le film commence réellement. C'est mou et sans vie.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 10 février 2012
    je ressort de ce film sans trop d'avis si ce n'est que moi ce n'est pas une comédie, la famille est tellement glauque, il y a tellement de souffrance que ça enlève tous les scènes qui se veulent être drôle.
    disons que ce n'est pas le genre de film qu'il faut allez voir pour se remonter le moral, ou se dire " tiens je vais aller voir une comédie pour me détendre" ...puis il y a des longueurs, heureusement qu'alice fini par arriver !!
    Charles G
    Charles G

    34 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2012
    Ellen Barkin, ou comment produire le film à condition d'en avoir le premier rôle... Ellen Barkin, ou comment est répugnante et me donner envie de gerber par le biais de son visage défiguré par les coups de scalpels, notamment ses lèvres qui la font plus ressembler à une truite saumonée qu'à un humain. A son image donc, toutes les scènes du film où elle apparaît sont les plus chiantes, s'enlisant dans des querelles de famille dont on n'a que faire. En revanche, le film devient passionnant dès qu'Ezra Miller est présent (ce petit crève l'écran et il ne fait aucun doute qu'il s'imposera comme un des acteurs majeurs de sa génération). De manière plus générale, dès que ce sont les jeunes qui sont à l'écran, le film est intéressant et revêt une intensité romantico-dramatique des plus intéressantes. Mais, une fois n'est pas coutûme, les "vieux" foutent tout en l'air. Dès lors, la dernière demi-heure du film apparaît comme un petit supplice. Trop long, mais jouissif par moments. En résumé, WE NEED TO TALK ABOUT EZRA !
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 403 abonnés 7 563 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2012
    Pour son premier long-métrage, Sam Levinson (fils de Barry Levinson, réalisateur de Good morning Vietnam - 1988) dresse le portrait d’une famille américaine à l’extrême opposé de ce que l’on a l’habitude de voir au cinéma. Ici, aucune trace de "l'american way of life", de la famille aimante et bien sous tout rapport, puisque l’on y découvre une mère de famille dépassée qui se rend au mariage de son fils aîné (celui qu’elle n’a pas élevé). Accompagnée de ses deux autres fils (dont l’un est précoce et l’autre toxicomane), et rejoint par sa fille (à tendance suicidaire). On y découvre par la même occasion, les autres membres de la famille, entre la mère indigne et méprisante, les sœurs médisantes et l’ex-mari accompagné de sa nouvelle femme (sexy mais insupportable). Sam Levinson prend un malin plaisir à dépeindre une famille toute entière (incarné par une formidable distribution, réunissant entre autre : Ellen Barkin, Ezra Miller découvert dans l’excellent We Need to Talk About Kevin - 2011, Kate Bosworth, Demi Moore, George Kennedy & Ellen Burstyn), virulent, corrosif et pourtant si drôle, Another Happy Day (2011) est une bouffé d’air frais au milieu de toutes ces productions US toutes formatées.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 février 2012
    Une voiture en route vers un mariage. Dès les premières images, les relations sont dysfonctionnelles. Les parents, les enfants, tous jouent un rôle. Et avant d’avoir rencontré le reste de la famille, déjà, les secrets, les malaises, les histoires douloureuses…

    On pouvait s’attendre, en particulier au vu du prestigieux casting, que le film se dirige tout droit vers la comédie grinçante, comme l’écrasante majorité des films nuptiaux qui se respectent. Il n’en est rien. C’est le drame qui prédomine du début à la fin. On rit peu, on est souvent triste, on a souvent mal pour tout le monde. Le jeune réalisateur Sam Levinson charge donc considérablement la barque, au fur et à mesure que le film avance. Et décide de prendre la douleur, le drame et la méchanceté de face. Avec une sauvagerie parfois assez stupéfiante, mais sans voyeurisme. Tout se craquelle, mais à une vitesse stupéfiante qui ne laisse pas au spectateur le temps de prendre ses repères avant de se retrouver confronté à une telle somme de tristesse et de rancœur.

    Dans un déni quasi complet de la comédie, le film dispose d’un angle d’attaque intéressant et assez original. Mais pour tenir un cadre et une tension de cette ampleur deux heures durant, il faut pour un réalisateur disposer de trois cartes maitresse : une mise en scène en béton armé, des personnages bien écrits et d’excellents acteurs. On pourra dire que Sam Levinson dispose au moins des deux derniers, ce qui permet au film de tenir relativement bien la distance. Grâce à des comédiens plutôt à l’aise dans des rôles compliqués, de Demi Moore qui signe un retour incroyable, au diabolique Ezra Miller en adolescent paumé, l’acteur donnant décidemment dans le feel good movie quelques mois après le tout aussi joyeux We need to talk about Kevin.

    Un premier film assez étonnant donc, qui se donne des allures de Festen indépendant américain. Mais pour se hisser à la hauteur de son modèle danois, il manque à cet another happy day une ampleur de mise en scène que le jeune réalisateur n’a pas (encore) dans son jeu. D’où une impression parfois de pilotage automatique, là où la multitude des personnages se serait bien prêtée à davantage de virtuosité et d’éclat la caméra en main. On sera indulgent avec un jeune homme de 27 ans, qui rate également quelques scènes d’hystérie où il ne parvient pas à donner le bon tempo à ses comédiens.

    Malgré ces défauts évidents, l’ensemble est donc plutôt une bonne surprise. De cette scène inaugurale dans la voiture jusqu’à une fin prophétique qui donne raison au nihilisme forcené d’Ezra Miller. Et qu’on lui donne la note que l’on souhaite, Another happy day est un film qui vous suit bien après que les lumières se soient rallumées. Pas mal pour un premier film.

    .http://dh84.over-blog.com/
    pitch22
    pitch22

    171 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 février 2012
    La réunion de famille qui tourne mal (en fond, un mariage): du déjà vu, mais si encore c'était réussi! Or le résultat, brouillon, est médiocre. Sam Levinson semble manquer de maturité. Ce petit bourgeois ne sait même pas expliquer précisément ce qu'il a voulu dire. Il a cherché à représenter une famille américaine type, sauf qu'il s'est planté car il nous sert là une famille cliché, plutôt riche, middle class, dont les personnages, trop façonnés, sans grand relief, ne donnent lieu à presque aucun étonnement. La référence faite à FESTEN est là pour donner une référence mais, si on se met à comparer, alors ANOTHER HAPPY DAY ressemble à un sous-sous produit assez formaté (bien qu'indépendant). Et ça se veut dérangeant! Ben ça l'est pas. Un point positif: au bout du compte, on a l'impression que ce portrait comico-dramatique tient la route. Cependant, l'illusion est grotesque. Ça ne vole pas bien haut, on se contente de dérouler les souffrances de chacun-e. Levinson a cherché à dramatiser, là où il aurait dû générer de l'humour vache. Du coup, on ne sait plus où l'on va, si c'est une comédie ou un drame; plus on avance et plus on se rend compte qu'on pédale dans la semoule. Ellen Barkin nous gonfle, comme ses lèvres; quand elle parle, on voit bouger sa grosse lèvre inférieure, qui n'a rien de naturel (bouche collagénée, visage botoxé), avec son menton qui s'avance. Joue-t-elle bien? Je n'en ai pas l'impression. Hormis Barkin qui nous sert d'interminables moues pleurnichardes, on a heureusement Ezra Miller, énigmatique; mais il campe le même genre de rôle habituel, ici l'ado cynique un peu gauche qui cherche à fuir une réalité, à travers des expérimentations extrêmes. Kate Bosworth, crédible, incarne une jeune blonde fragile, frêle, à tendance suicidaire et en quête d'assurance. Mais on ne voit pas ce que ce personnage apporte précisément à l'histoire, sinon qu'il vient rejoindre une galerie de figures névrotiques comme un fait-exprès (pour avoir la dépressive, le drogué, la suicidaire, la dinde, l'alzheimerien, etc). On ajoute le petit garçon mal dégrossi, tendance autiste, on sait pas trop pourquoi. Il s'amuse à filmer son grand-père malade, à constituer des sortes de mini-reportages, c'est bien fait mais ça n'a pas grand intérêt. La grand-mère (Ellen Burstyn), dans sa carapace craquelante, semble la plus réelle grâce à une séquence émotion efficace. Demi More n'a pas un rôle à sa hauteur; on la voudrait plus rentre-dedans, elle finit en jolie pétasse auto-satisfaite. Les répliques cinglantes se font trop rares. Au moment où ça pourrait prendre, patatras, ça s'effondre en sauce, comme si le script s'auto-sabordait là où il pourrait prendre son envol dans un certain délire. On dirait que le réalisateur ne parvient pas à oser ses scènes jusqu'au bout, donc il coupe court. Du coup, ça patauge pas mal. Pas de coup vachard, rien de bien acerbe, les caractères manquent de complexité, on a l'impression de scénettes mises bout à bout, tout ça pour une issue muette, trop sage. La prise de parole de Lynn au mariage aurait pu donner lieu à un belle pirouette, mais non, c'est le calme plat, névrose redondante en toile de fond. Quand tout le monde fait la gueule, on peut se casser. L'humour affleure, moqueur, sans jamais provoquer d'hilarité. Il faut dire qu'on doit subir les longues simagrées et mises au point larmoyantes d'une femme dépressive, grimaçante, l'expression désespérée de trois autres (le môme, l'ado, la jeune adulte), sans parler du papy qui débloque, ce qui met la matriarche à rude épreuve. Ça manque de sérieux, de vérité; on a peine à y croire. La réalisation, lisse, n'épice guère plus le film. On nous sert le mariage ricain bourge-beauf cliché, en extérieur jardin, tente rose bonbon et cocktails. Bon choix cependant que d'achever le film par un magnifique blues de Nina Simone. En bref, à voir négligemment.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 février 2012
    Dans la famille je suis Fils ou Fille De, c'est au tour de Sam Levinson de ce faire dépuceler. En prenant une sorte de Festen en plus virulent, il avait tous pour s'écrouler dans la farce bien trop grasse. Mais forte heureusement, le gamin est fort intelligent. Le climax assez violent, l'impression qu'à chaque moment un massacre autant verbal que physique peut frapper (merci Ezra Miller pour ton talent si juvénil !). Les moments de comiques adoucies un peu et désarmoce la tension. Par moment on mélange la mélancolie au drame, le casting rend une partition parfaite (Ezra Miller et Ellen Barkin parfait). Another Happy Day est une expérience à vivre pour tous qui considère leurs familles désaxé (et si à la fin du film vous pensez toujours que votre famille est pire prenez vite vos distances !). Un beau film, touchant, frappant, émouvant et parfois drôle, cette galerie de personnages vous marquera.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 février 2012
    Un film bien maitrisé, décrivant une atmosphère familiale des plus tendues avec acuité et de belles touches d'humour.
    Les acteurs sont excellents, avec une note particulière pour Ezra Miller (le rôle d'Elliott, si je ne me trompe) et Demi Moore, en insupportable tigresse vulgaire.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    638 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 février 2012
    "Another Happy Day" dresse un portrait de famille explosif, où les caractères s'étouffent et où les liens entre les différents membres se fragilisent, s'affrontent ou se perdent. L'histoire est d'une simplicité plate, mais les personnages, eux, sont rudement exploités : personnalités complexes faisant partie d'un ensemble hétérogène, ils jouent et ébranlent involontairement leurs émotions et la sensibilité des autres, ceci semant la zizanie au coeur d'un cadre familial chaleureux, soit un mariage permettant à tous ces êtres perdus dans leurs pensées et leur ressenti de se retrouver et de rentrer en collision... Le personnage principal, le plus névrosé de tous (mais qui ne se l'avoue pas, trop préoccupé par l'état des autres), qui n'est autre que Lynn, la mère du jeune marié, est tiraillée entre les caractères excessifs de ses deux jeunes fils (l'un drogué et l'autre précoce), la nonchalance intrigante de sa mère, les commérages de ses soeurs, les pulsions suicidaires de sa fille, l'absence de plus en plus marquée de son père sans oublier son ex-époux qui la battait jadis ainsi que sa femme, une diablesse s'assurant toujours d'avoir le dernier mot (Demi Moore en personne!). Rien qu'avec une telle phrase, on devine le schéma ardu qu'arbore une telle structure. On pourrait le comparer au récent "Skylab" qui, lui, préfère rester gentil en reflétant le bon temps ou encore "Esprit de famille" qui sème la discorde d'une famille au cours des fêtes de fin d'année. Ici, l'humour reste un atout majeur, permettant de passer avec fluidité des passages prenants et violents (émotionnellement parlant) à ceux plus légers, après l'échauffement des esprits les plus excités. Les acteurs sont pleinement appliqués, ce qui provoque une cohésion d'autant plus forte et poignante ; j'étais convaincu que les acteurs étaient tous inconnus et j'ai été des plus surpris quand j'ai remarqué la présence d'Ellen Barkin, Ellen Burstyn, Demi Moore et Ezra Miller, formant un groupe d'une force intense et sincère. Cependant, ce n'est pas le temps que j'ai trouvé long pour une fois, le scénario sachant garder en haleine le spectateur par des imprévus agréables, mais trop excessifs. Les personnages rentrent dans des extrêmes vite lourds ; le personnage principal, par exemple, rechigne sans arrêt et ça devient trop continu et lassant. Le pathos est trop présent, on s'en passerait à certains moment, comme si on mettait le doigt sur le cas désespéré des personnages en insistant bien avec les violons en fond. Cela dit, j'ai beaucoup apprécié l'une des phrases que dit le personnage d'Ezra Miller, qui résume bien le propos du film, et qui, je trouve, est avérée ; approximativement "Pourquoi être heureux quand les circonstances sont tragiques (enterrement) et tant se disputer et s'insulter quand l’évènement réunissant toute la famille est sensée être heureux (mariage)?"
    MadAngelus
    MadAngelus

    53 abonnés 536 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 février 2012
    Je suis un peu déçu car je m'attendais à un film un tout petit peu plus. Comment ça plus quoi? Plus extrême. Plus profond. Qui va plus loin. Ce genre de plus quoi. Mais Another Happy Day est un film qui a des choses à dire, même s'il pêche dans la manière de le dire, en effet, la narration est loin d'être parfaite, et le film part un peu dans tous les sens, malgré un casting émérite (Thomas Haden Church est très touchant en père absent, cela m'a frappé, mais tout les autres acteurs sont méritant). Ainsi, si le tout est perfectible, il présage néanmoins un avenir prometteur. Pas Mal.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 8 février 2012
    Bon film mais ça n'est pas DU TOUT une comédie!!
    Très déprimant!
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