Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
jthuil
13 abonnés
314 critiques
Suivre son activité
1,5
Publiée le 30 septembre 2013
Loin d'être le phénomène annoncé, ce polar agricole creux sur fond de trafic d'hormones est constamment plombé par l'interprétation médiocre de ses comédiens, à commencer par celle du très surestimé Matthias Schoenaerts. Grosse déception.
Bullhead est un film magnifique. Tant par son histoire parfaitement réalisé par Roskam qui fait la part belle a Matthias Schoenaerts qui explose le film par son interprétation. Les deux faces de l'histoire se couplent parfaitement bien et peu à peu le film laisse place à une tragédie moderne incroyable , d'une émotion qui surprend le spectateur mais à coup sûr le laisse bouche bée par ce qu'il vient de voir.
Un film qui ne mérite pas une pellicule de 2h, le scénario me semblant vraiment léger et absolument pas passionnant. Il me tardait que tout se termine, car pour moi rien n'a jamais commencé. Assez affligeant et sans grand intérêt.
Excellente réalisation, trés bons acteurs mais ambiance décidément trop lugubre et glauque pour moi, meme si c'est sans aucun doute le but recherché. L'histoire ne m'as pas trop plut, trop d'inconnus. Mais c'est vraiment une question de gout pour le cout;
Cela aurait pu s’appeler le minotaure Un personnage hypnotisant à l’allure de mutant, mi homme mi bœuf cachant un terrible secret Une atmosphère extrêmement pesante et une histoire qui donne envie de devenir végétarien Une performance d’acteur notable Une scène de mutilation qui marque
C'est plutôt pas mal, mais tous les passages avec les deux garagistes Wallons et globalement les séquences en français, font vraiment tâches, tellement qu'on ne se croirait pas dans le même film. Les flamands jouent parfaitement bien, et sont crédibles et boom, on tombe dans la beaufitude ''Confession Intimes style''. C'est dommage parce que Matthias Schoenaerts, livre une brillante interprétation (juste après on le retrouvera dans le Audiard, déjà un grand acteur), le scénario part un peu dans tous les sens aussi. Dans le même genre, la trilogie des Pusher de Nicolas Winding Refn, reste indétrônable.
Je n'ose le dire... Je suis partie au bout d'une heure suite à une scène que je n'ai pas supporté du tout. Trop dur. Je le reverrai plus tard, enceinte c'était une mauvaise idée je crois. Alors je ne me permets pas de juger.
Le cinéma de Michael R. Roskam est proche de celui de Jacques Audiard bien trop proche même,ça frise le plagiat niveau image et plan,autant que pour l'ambiance et les personnages.Seulement si Michael R. Roskam a une réelle maitrise des cadrages et de son esthétisme.Il lui manque un vrai savoir faire d’immersion,cependant l'objectif est atteins avec certaines scènes,mais repart aussi tôt qu'il est apparut.L'autre gros handicape de bullhead vient des ses acteurs.Si Matthias Schoenaerts est impeccable,les seconds rôles eux pèches vraiment jusqu’à même venir faire tache comme l’interprétation des deux garagistes.Des rôles voulant être la touche amusante du film,mais au final plus mal venu qu'autre chose dans ce film,qui lui donne un coté Dikkenek a la limite du caricatural.Les dialogues eux aussi ne sont pas extrêmement travaillés et élaborés,venant rajouter au fait de ne pas croire totalement a cette histoire.Si le film reste correct,il aurait été bien meilleur sans certains effets inutiles et superflus.Si Michael R. Roskam se démarque de J.Audiard,ça parais difficile tant celui ci semble influencer Michael R. Roskam,il pourra peut être faire du grand cinéma,c'est n'est pas encore le cas de Bullhead.
"Une réalisation époustouflante souligne l'interprétation [de Matthias Schoenaerts]. (...) "Bullhead" mêle avec brio le polar, la description du monde paysan (...) et le drame intimiste." (Le Figaroscope)
(...) un moment de cinéma intense, une virée en enfer qui ne peut laisser indifférent. Critique complète sur : http://www.leblogducinema.com/critiques/critique-drame/critique-bullhead/
Excellent film et belge de surcroit. Mais encore ces fichues hormones de jeune maman. Pas compatibles avec une si triste histoire... J'aurais pu mettre plus.
Film moyen sur les hormones dans le milieux de l'agriculture , les protagonistes du film ont l'air de sortir de ne sais ou , avec des gueules cassées , des agriculteurs un peu grossierement dépeint , à voir une fois
Ce film est un vrai coup de tatane dans la gueule, de part son scénario mais surtout grâce à une prestation énormissime de son acteur principal Matthias Schoenaerts. Plus qu'intéressant déjà dans le dans le "De rouille et d'os" d'Audiard, Schoenaerts explose ici tout sur son passage, au sens propre comme au sens figuré. Sur fond de drame social personnel dans une Belgique campagnarde et poisseuse, un homme se morfond dans un trafic d'hormones pour l'argent évidemment mais s'en injecte également pour rester en vie ... Au cours d'une dernière transaction tout ne se passe pas comme prévue mais au delà de ça l'intérêt du film est ailleurs. D'abords il fait le voir pour Schoenaerts donc, mais aussi pour la psychologie très étudié de tout ceux qui l'entoure et de l'ambiance générale aussi triste que malsaine ! Avec une réalisation à l'appuie pas vilaine du tout qui renforce ce côté poisseux et irrespirable. Revigorant comme dépressif au choix, ce film laisse tout sauf indifférent. A noter que les seconds rôles très naturels dans leurs interprétations apportent un vrai plus à ce film. Matthias Schoenaerts confirme ici son immense talent si ce n'était pas encore fait avec en prime une transformation physique tout en muscle, et Michaël R. Roskam son réalisateur, que je découvrais ici, sera donc a suivre de très près également. BULLHEAD fût un choix génial pour le nom du film, ce dernier nommé à l'oscar du meilleur film étranger n'aurait pas eu à se justifier s'il avait reçu la récompense. Bravo la Belgique une nouvelle fois.
Un vraie film avec une expression artistique dans l'image et le son, qui raconte son histoire personnel et fait trembler son public. Belles interprétations et un jeu intéressant par la barrière de la langue entre deux régions belges. A la frontière même c'est un déchirement qui a lieu.