Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
On aimerait que "Bullhead" remporte l'Oscar du Meilleur Film Etranger [...] On ne sort pas intact de cette rencontre unique.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
(...) "Bullhead" est le premier film puissant et ultra-maîtrisé d'un cinéaste flamand qu'il faudra désormais suivre de près.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Excessif
par Romain Le Vern
Comme dans une tragédie Shakespearienne, Michael R. Roskam mélange le tragique et le grotesque (...). Le jeune cinéaste flamand a trouvé en Matthias Schoenaerts (...) acteur phénoménal (...) une créature tragique à la fois monstrueuse et magnifique (...) qu'il filme avec une réelle compassion.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Eric Libiot
"Bullhead" est une oeuvre très impressionnante. Un polar de chemins de traverse qui avance à son rythme, entre scènes suspendues et fulgurances violentes.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Bullhead" s'impose en force comme une révélation tonitruante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le formidable Matthias Schoenaerts révèle un charisme qui crève l'écran (...). Un drame que le cinéaste aborde avec humanité, alternant des pics d'intensité avec des moments de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
On peut certes trouver qu'une fois lancé à fond sur les rails de la fatalité (sentimentale) le film perd un peu de son mystère initial. Le réalisme devient poétique et la dimension policière s'estompe. L'essentiel est l'impression que produit le film, le sentiment que Michaël R. Roskam a réalisé un des plus beaux films noirs européens vus depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Bruno Icher
Film noir aux influences américaines évidentes, "Bullhead" prend à bras-le-corps une intrigue qui ne ferait pas injure au fin fond d'un patelin du Midwest, où obscurantisme, frustration sexuelle et violence à fleur de peau font le meilleur des ménages.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Abrupt et brutal, ce thriller flamand sert de toile de (mauvais) fond au portrait d'un homme rustre, frustre et frustré dont, peu à peu, nous sera dévoilé le drame originel.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un premier long-métrage étouffant et dérangeant, qui nous en met plein la tronche.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Aude Boutillon
Si "Bullhead" permet ainsi la révélation d'un acteur d'exception, il signe aussi un premier essai en forme de remarquable maîtrise technique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Dominique Widemann
C'est ici la désintégration à l'oeuvre filmée avec une stupéfiante puissance d'image, une stylisation épurée afin que se libèrent les lignes de force. Celles aussi de l'émotion à quoi contribuent le travail de la caméra, celui des acteurs, dont bien sûr Matthias Schoenaerts.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Corinne Renou-Nativel
Une réalisation époustouflante souligne l'interprétation [de Matthias Schoenaerts]. (...) "Bullhead" mêle avec brio le polar, la description du monde paysan (...) et le drame intimiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Hubert Lizé
Avec son héros tragique en quête de rédemption, ce thriller brutal, sélectionné à l'Oscar du meilleur film étranger, accroche le spectateur sans le ménager.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Virtuose et touchant à la fois, cette première oeuvre belge convoque une partie de l'esprit du cinéma de Nicolas Winding Refn pour le replacer au coeur du portrait d'une brute blessée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La rédaction
Un sujet fort et original, qui ne parle pas seulement des veaux aux hormones. (...) l'exceptionnel Matthias Schoenaerts (...) traverse avec sa dégaine imposante les embûches d'un quotidien noir et secret, tout au long d'un thriller aux formes de polar et de western. Impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Alain Masson
Au genre criminel, "Rundskop" emprunte des meurtres, des autos maquillées, des bandes rivales, des hasards malheureux mais aussi un principe moral : la corruption (...). La violence crève les apparences. Elle est à la fois passionnelle et meurtrière. (...) L'art du cinéma consiste ici à montrer du désir véhément et sans objet défini.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Thomas Agnelli
Envie de tripes, de nouveauté, et de beau bizarre ? C'est ici que ça se passe.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
Matthias Schoenaerts (...) porte le film sur ses épaules hypertrophiées (...). Plastiquement aussi, les couleurs sombres dominent, avec des plans magnifiquement léchés, où les percées de lumière semblent citer Rembrandt.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Il y a là un premier tour de force (s'inscrire dans un contexte très local tout en réveillant une dimension fantasmatique) qui offre une belle alternative à la copie stérile des sous-standards US (...) Mais une fois passée la mise en place, la méthode vire au systématisme et étouffe la fiction plutôt qu'elle ne la déploie.
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
Tous les ressorts de la tragédie sont là (...). Ce polar (...) est servi par un acteur au jeu minimaliste et intense [qui] dégage une force intérieure qui amplifie cette ténébreuse affaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
"Bullhead", premier long métrage de Michaël R. Roskam (...) révèle un metteur en scène dont la maîtrise impressionne, d'autant plus qu'elle s'applique à un genre, le polar, où rien n'est jamais gagné.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Ce thriller flamand sur fond d'industrie bovine s'éparpille entre ses deux sujets : un trafic d'hormones qui tourne mal et le désir d'amour contrarié d'un éleveur de bétail castré à l'adolescence et accro aux anabolisants.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Benoît Smith
Sur la lutte désespérée de l'antihéros pour se sentir homme pèse désormais la menace de complaisance du polar dans le pessimisme, tendance à envoyer les personnages au casse-pipe non par conviction sincère sur la façon dont le monde tourne, mais parce que le genre l'exige pour mieux se la jouer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
On aimerait que "Bullhead" remporte l'Oscar du Meilleur Film Etranger [...] On ne sort pas intact de cette rencontre unique.
Charlie Hebdo
(...) "Bullhead" est le premier film puissant et ultra-maîtrisé d'un cinéaste flamand qu'il faudra désormais suivre de près.
Excessif
Comme dans une tragédie Shakespearienne, Michael R. Roskam mélange le tragique et le grotesque (...). Le jeune cinéaste flamand a trouvé en Matthias Schoenaerts (...) acteur phénoménal (...) une créature tragique à la fois monstrueuse et magnifique (...) qu'il filme avec une réelle compassion.
L'Express
"Bullhead" est une oeuvre très impressionnante. Un polar de chemins de traverse qui avance à son rythme, entre scènes suspendues et fulgurances violentes.
L'Obs
"Bullhead" s'impose en force comme une révélation tonitruante.
Le Journal du Dimanche
Le formidable Matthias Schoenaerts révèle un charisme qui crève l'écran (...). Un drame que le cinéaste aborde avec humanité, alternant des pics d'intensité avec des moments de grâce.
Les Inrockuptibles
On peut certes trouver qu'une fois lancé à fond sur les rails de la fatalité (sentimentale) le film perd un peu de son mystère initial. Le réalisme devient poétique et la dimension policière s'estompe. L'essentiel est l'impression que produit le film, le sentiment que Michaël R. Roskam a réalisé un des plus beaux films noirs européens vus depuis longtemps.
Libération
Film noir aux influences américaines évidentes, "Bullhead" prend à bras-le-corps une intrigue qui ne ferait pas injure au fin fond d'un patelin du Midwest, où obscurantisme, frustration sexuelle et violence à fleur de peau font le meilleur des ménages.
Paris Match
Abrupt et brutal, ce thriller flamand sert de toile de (mauvais) fond au portrait d'un homme rustre, frustre et frustré dont, peu à peu, nous sera dévoilé le drame originel.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
CinemaTeaser
Un premier long-métrage étouffant et dérangeant, qui nous en met plein la tronche.
Ecran Large
Si "Bullhead" permet ainsi la révélation d'un acteur d'exception, il signe aussi un premier essai en forme de remarquable maîtrise technique.
L'Humanité
C'est ici la désintégration à l'oeuvre filmée avec une stupéfiante puissance d'image, une stylisation épurée afin que se libèrent les lignes de force. Celles aussi de l'émotion à quoi contribuent le travail de la caméra, celui des acteurs, dont bien sûr Matthias Schoenaerts.
Le Figaroscope
Une réalisation époustouflante souligne l'interprétation [de Matthias Schoenaerts]. (...) "Bullhead" mêle avec brio le polar, la description du monde paysan (...) et le drame intimiste.
Le Parisien
Avec son héros tragique en quête de rédemption, ce thriller brutal, sélectionné à l'Oscar du meilleur film étranger, accroche le spectateur sans le ménager.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Virtuose et touchant à la fois, cette première oeuvre belge convoque une partie de l'esprit du cinéma de Nicolas Winding Refn pour le replacer au coeur du portrait d'une brute blessée.
Ouest France
Un sujet fort et original, qui ne parle pas seulement des veaux aux hormones. (...) l'exceptionnel Matthias Schoenaerts (...) traverse avec sa dégaine imposante les embûches d'un quotidien noir et secret, tout au long d'un thriller aux formes de polar et de western. Impressionnant.
Positif
Au genre criminel, "Rundskop" emprunte des meurtres, des autos maquillées, des bandes rivales, des hasards malheureux mais aussi un principe moral : la corruption (...). La violence crève les apparences. Elle est à la fois passionnelle et meurtrière. (...) L'art du cinéma consiste ici à montrer du désir véhément et sans objet défini.
Première
Envie de tripes, de nouveauté, et de beau bizarre ? C'est ici que ça se passe.
Télérama
Matthias Schoenaerts (...) porte le film sur ses épaules hypertrophiées (...). Plastiquement aussi, les couleurs sombres dominent, avec des plans magnifiquement léchés, où les percées de lumière semblent citer Rembrandt.
Cahiers du Cinéma
Il y a là un premier tour de force (s'inscrire dans un contexte très local tout en réveillant une dimension fantasmatique) qui offre une belle alternative à la copie stérile des sous-standards US (...) Mais une fois passée la mise en place, la méthode vire au systématisme et étouffe la fiction plutôt qu'elle ne la déploie.
Le Figaroscope
Tous les ressorts de la tragédie sont là (...). Ce polar (...) est servi par un acteur au jeu minimaliste et intense [qui] dégage une force intérieure qui amplifie cette ténébreuse affaire.
Le Monde
"Bullhead", premier long métrage de Michaël R. Roskam (...) révèle un metteur en scène dont la maîtrise impressionne, d'autant plus qu'elle s'applique à un genre, le polar, où rien n'est jamais gagné.
TéléCinéObs
Ce thriller flamand sur fond d'industrie bovine s'éparpille entre ses deux sujets : un trafic d'hormones qui tourne mal et le désir d'amour contrarié d'un éleveur de bétail castré à l'adolescence et accro aux anabolisants.
Critikat.com
Sur la lutte désespérée de l'antihéros pour se sentir homme pèse désormais la menace de complaisance du polar dans le pessimisme, tendance à envoyer les personnages au casse-pipe non par conviction sincère sur la façon dont le monde tourne, mais parce que le genre l'exige pour mieux se la jouer.