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Votre avis sur Troupe d'élite : l'ennemi intérieur ?
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Mais quelle merveille....! Le premier était pas mal sans plus plus, celui la je le met trés haut dans mon top film. Scénario archi prenant, archi vif, bref je le recommande chaudement, faut presque etre un chanceux pour le voir en fait, parce qu'il faut le trouver avant!
Bref attendez pas, hésitez pas.
Bref attendez pas, hésitez pas.
Plus politisé que le premier,on rentre dans les problèmes intérieur de corruption et magouille au Brésil.C'est intéressant et courageux de la part du réalisateur! 3,5/5
Une suite encore plus puissante que le premier volet, José Padilha élargit son propos social tout en gardant la même énergie et le même réalisme. Chronique d'un Brésil pourri de l'intérieur, le scénario raconte la suite du commandant de la BOPE 13 ans après le premier film, ou les narcotrafiquants sont tombés pour laissé place aux flics ripoux et aux milices armées, une chronique qui s'étend désormais sur le terrain politique, un regard dur et travaillé sur un milieu politique et policier gangréné par la corruption et l'appat du gain, et le combat d'un homme face a cette pieuvre qui semble invincible, passionnant et vraiment réaliste ! Commandant de la BOPE dans le premier volet, Wagner Moura change de registre mais a toujours cette rage, cette conviction dans ses croyances qui se lit dans ses yeux, aidé de seconds rôles caricaturaux mais réussis. Avant de découvrir son remake hollywoodien de Robocop, José Padilha prouve qu'il est le fer de lance d'un cinéma brésilien énergique et vraiment bon, avec une mise en scène puissante, choc et qui sait utiliser la force des images pour faire passer son message.
Un très bon polar d'action, remarquablement travaillé et visuellement puissant !
Un très bon polar d'action, remarquablement travaillé et visuellement puissant !
Xavi_de_Paris
Une suite qui en dit long sur l'état de corruption qui gangrène la police brésilienne, ainsi que le domaine politique. Ici, la terreur et la violence viennent bien plus du côté de l'ordre que de celui des gangs des favelas. La mise en scène assez dynamique permet de maintenir un intérêt certain à l'ensemble.
On retrouve dans ce deuxième opus le lieutenant Nascimento, boss de la BOPE dans le premier volet. Contrairement au premier qui traite principalement de l'unité d'élite brésilienne, la BOPE, l'escouade policière à la tête de mort qui combat les trafics dans les favelas, dans celui ci l'histoire parle de la corruption qui règne dans ce pays, des petits trafiquants en passant par les forces de l'ordre et jusqu'au sommet de l'Etat. Encore un film très réussi, aussi bien que le premier même si le sujet n'est pas identique, j'adore.
Je suis, à l'image des critiques unanimes de mes confrères allocinéens, très satisfait par ce Tropa de Elite 2. A l'aide d'une réalisation très intelligente, José Padilha structure à merveille un film qui en devient meilleur que son prédécesseur. S'attaquant non plus uniquement à la corruption et à la violence policières, le réalisateur se permet une dénonciation sans ambages du système polycéphale et si difficile à abattre d'une société brésilienne pourrie. J'ai beau n'avoir une vision que très étriquée du cinéma sud-américain, le peu que j'ai pu en avoir entre les mains ressemble à du pain béni. A voir, vous l'aurez compris.
Aussi bon voire meilleur que le premier opus, "Tropa de Elite 2" est plus centré sur l'action, le rythme est accentué par une très bonne réalisation. Le scénario est parfait et rend le long-métrage très réaliste grâce au jeu convainquant des acteurs. On passe donc un pur moment d'action, nous divertissant et nous touchant donc c'est un film très réussi.
Malgré que très peu connu en France, "Tropa de Elite 2" a été un franc succès au Brésil. Une véritable plongée dans les troupes du Bope mais d'avantage axé sur la corruption politique plus que sur le véritable trafic de drogue dans les favelas. La narration pessimiste de l'acteur principal est efficace. On aurait néanmoins apprécier un rythme un peu moins lunatique. Tantôt le film est une véritable bombe, tantôt certains passages sont d'un ennuie à mourir. Malgré ce petit détail le film est passionnant de A à Z si on est un minimum intéressé par le scénario, les séquences filmées dans les favelas sont extrêmement réalistes d'autant plus que les acteurs sont convaincants dans l'ensemble sans pour autant briller. Un réalisateur brésilien et pourtant certaines scènes semblent être tout droit tirer d'un film hollywoodien. Une agréable surprise dans l'ensemble où nous pouvons faire abstraction des petits défauts que le film comporte pour le simple fait que ce n'est pas tous les jours que l'on regarde un film brésilien aussi captivant et qui donne l'impression de maîtriser le sujet de A à Z.
Bien que l'on ait une phrase au début qui nous rappelle que ceci est de la fiction, on a tendance à confondre avec la réalité. Un film qui se passe au Brésil mais qui pourrait se dérouler dans de nombreux pays tant le sujet est universel. José Padilha cherche à dénoncer la corruption qui règne dans la ville de Rio mais il oublie un peu le scénario qui aurait pu être plus développé.
Suite tout aussi bonne que son original! Moins porté sur l'action mais plus sur la corruption des policiers et la politique, le film en garde tout au moins toute sa violence et toute sa portée dénonciatrice! Tout aussi coup de poing et prenant que la premier, le film se doit d'être diffusé en France!
rien d'original dans le scénario c'est du déja vue plus le film avance et plus ont l'impression de regarder un tv film sur les favelas la voix off en devient soulante à la longue et casse l'intensité du film et le doublage des voix sont une catastrophe ça donne envie d'arrété le film
"Troupe d’élite : L'ennemi Intérieur" – Quand Nascimento troque la rue pour l'open space
Bon, on ne va pas se mentir, j'ai mis du temps à découvrir que Nascimento et sa bande remettaient le couvert. Je craignais le syndrome de la suite qui se casse la gueule, mais me voilà rassuré : le BOPE version 2.0 est là, prêt à dégainer sa paperasse et ses dossiers Excel pour éclater la corruption depuis un bureau aussi anonyme que l'identité de Batman.
On ne retrouve plus le carnage des favelas, mais ne t’inquiète pas, la tension est toujours aussi palpable. Certes, l’ambiance est moins immersive que la voix off du premier film qui nous plongeait direct dans l’enfer de Rio. Mais ce deuxième opus se la joue Game of Thrones à la brésilienne : plus de politique, plus de coups bas, moins de fusils, mais toujours autant de putain de tension.
Cette fois, on monte d’un cran. Fini les trafiquants de base, on s'attaque aux vrais boss, ceux qui tirent les ficelles du haut de leur tour d’ivoire. Les politiciens, ces enfoirés bien planqués, voient leur petit monde s'effriter, et nous, on kiffe de voir Nascimento les faire trembler comme si c'était Thanos qui débarquait pour claquer des doigts.
On reprend les mêmes et on recommence : Wagner Moura, toujours aussi charismatique, et Sandro Rocha qui lui donne une réplique de malade. Ils nous offrent un duel à la hauteur d’un combat final de Super Saiyan. L’un dans son costume de flic, l’autre dans son rôle de salaud ultime, ces deux-là écrasent tout sur leur passage.
Rares sont les suites qui tiennent la route, et pourtant, José Padilha réussit le pari. Il aurait pu se planter en beauté, mais au lieu de ça, il nous livre un film qui, sans atteindre le niveau choc du premier, reste un uppercut dans ta face. Loin de se contenter d'une redite, il étoffe le propos, creuse là où ça fait mal, et ça marche. Bravo l'artiste !
Au final, "Troupe d’élite : l'ennemi intérieur" est une suite qui tient la route, bien qu’un peu moins hardcore que l’original. Mais le boulot est fait, et bien fait. Alors ouais, c'est moins trash, mais ça tape fort là où ça compte. Si tu veux voir Nascimento se battre contre les vrais méchants, ceux qui te pourrissent la vie sans jamais se salir les mains, fonce !
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Bon, on ne va pas se mentir, j'ai mis du temps à découvrir que Nascimento et sa bande remettaient le couvert. Je craignais le syndrome de la suite qui se casse la gueule, mais me voilà rassuré : le BOPE version 2.0 est là, prêt à dégainer sa paperasse et ses dossiers Excel pour éclater la corruption depuis un bureau aussi anonyme que l'identité de Batman.
On ne retrouve plus le carnage des favelas, mais ne t’inquiète pas, la tension est toujours aussi palpable. Certes, l’ambiance est moins immersive que la voix off du premier film qui nous plongeait direct dans l’enfer de Rio. Mais ce deuxième opus se la joue Game of Thrones à la brésilienne : plus de politique, plus de coups bas, moins de fusils, mais toujours autant de putain de tension.
Cette fois, on monte d’un cran. Fini les trafiquants de base, on s'attaque aux vrais boss, ceux qui tirent les ficelles du haut de leur tour d’ivoire. Les politiciens, ces enfoirés bien planqués, voient leur petit monde s'effriter, et nous, on kiffe de voir Nascimento les faire trembler comme si c'était Thanos qui débarquait pour claquer des doigts.
On reprend les mêmes et on recommence : Wagner Moura, toujours aussi charismatique, et Sandro Rocha qui lui donne une réplique de malade. Ils nous offrent un duel à la hauteur d’un combat final de Super Saiyan. L’un dans son costume de flic, l’autre dans son rôle de salaud ultime, ces deux-là écrasent tout sur leur passage.
Rares sont les suites qui tiennent la route, et pourtant, José Padilha réussit le pari. Il aurait pu se planter en beauté, mais au lieu de ça, il nous livre un film qui, sans atteindre le niveau choc du premier, reste un uppercut dans ta face. Loin de se contenter d'une redite, il étoffe le propos, creuse là où ça fait mal, et ça marche. Bravo l'artiste !
Au final, "Troupe d’élite : l'ennemi intérieur" est une suite qui tient la route, bien qu’un peu moins hardcore que l’original. Mais le boulot est fait, et bien fait. Alors ouais, c'est moins trash, mais ça tape fort là où ça compte. Si tu veux voir Nascimento se battre contre les vrais méchants, ceux qui te pourrissent la vie sans jamais se salir les mains, fonce !
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Une claque ! (encore) Le 1er décrivait avec réalisme la traque des narco dans les Favélas de Rio par les brigades d'intervention ; le curseur se déplace ici et devient plus politique (mais tout aussi captivant)
. Les deux protagonistes du 1er évoluent professionnellement : l'un vers les arcanes du pouvoir, et l'autre, déchu, veut retrouver sa place auprès des Bope. Rio a changé, les trafiquants sont remplacés par les flics ripoux. Film label "todo bem"
. Les deux protagonistes du 1er évoluent professionnellement : l'un vers les arcanes du pouvoir, et l'autre, déchu, veut retrouver sa place auprès des Bope. Rio a changé, les trafiquants sont remplacés par les flics ripoux. Film label "todo bem"
Les rapports entre les politiques, la police et la vie dans les favelas à Rio. Ce film est un immense coup de point dans la gueule. Il décrit comme je crois aucun autre film que j'ai vu, les rapports qui unissent les personnes qui dirigent un pays. Ici on est au Brésil, mais dans une moindre mesure il est évidemment que cela s'applique à d'autres pays. aux Etats-Unis il faudrait y ajouter le pouvoir militaire et financier, en France la momenklatura de la fonction publique et syndicale. Il est rare d'associer aussi finement histoire personnelle et histoire du pays. Le film aidé en cela par des acteurs prodigieux, a un côté documentaire par moment. On rêve de voir un film aussi radical en France. Le plus incroyable est qu'il n'utilise pas l'analyse paresseuse de droite ou de gauche, mais celle du non partisan, qui utilise encore son cerveau sans idées préconçues. Le plus grand film politique jamais tourné.
Un film d'une rare justesse, d'une honnêteté intellectuelle, sans concession. Porteur d'un message international. Un film faisant clairement partit, comme le premier, de mon Top 10.
C'est un must-see. On ne peut pas ne pas regarder ce film. Avec le premier opus : il doit être vu.
C'est un must-see. On ne peut pas ne pas regarder ce film. Avec le premier opus : il doit être vu.
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