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Votre avis sur Les Papas du dimanche ?
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Il faut vraiment avoir une vie bien pauvre pour apprécier ce film. C'est juste l'histoire d'un couple marié avec enfants qui se sépare, c'est à dire un épisode de vie de près de 50% des couples. La première remarque qui vient à l'esprit est: bon ben et alors? réponse du film: ben, c'est difficile à vivre. Ouahh super profond. Non! franchement faut que ce réalisateur aille plus loin dans l'analyse ou ne fasse rien, car voir un film qui nous raconte ce que tout le monde a vécu directement ou par un membre de sa famille n'a aucun intérêt. Faut rajouter un peu plus comme de l'originalité, de l'humour, du tragique ou des sentiments forts. Il n'y a rien de tout ça.
@ Mr Valentino, c'est l'histoire d'un père pas d'un fils de divorcés.
Chaque histoire est différente, ce n'est pas la mienne mais c'en est une. Je ne souhaite à personne d'en être le héros. Apres ce n'est qu'un film, difficile de noter ce genre de sujet.
Chaque histoire est différente, ce n'est pas la mienne mais c'en est une. Je ne souhaite à personne d'en être le héros. Apres ce n'est qu'un film, difficile de noter ce genre de sujet.
La dynastie Becker se poursuit donc au cinéma. Après Jacques et ses parodies de gangsters dans les 50's,puis Jean et ses chroniques champêtres,voici donc Louis qui suit clairement les traces de son père. Une histoire simple,pleine de bons sentiments sur un sujet rebattu(le divorce,la solitude,l'écartèlement des enfants). Un cadre nostalgique et cinégénique(La Rochelle). Et des clichés encensés,nullement détournés. Tout cela fait des "Papas du dimanche" un film positif,probablement trop candide pour être vrai,mené avec sérénité par un Thierry Neuvic attachant avec sa voix de baryton et sa trogne de nounours. Seulement,même en étant preneur,on est éberlué que Louis Becker comprenne si peu la société actuelle. Il ne sait rien sur les jeunes,ceux-là apparaissent franchement anachroniques. Il surligne l'évident de musiques datées. Et le pire du pire,sa mise en scène ne s'élève jamais au-delà du téléfilm France Télévision pour toute la famille. Mais bon,un soir de grisaille,ça fait l'affaire...
defleppard
Le sujet des familles recomposées. J'ai failli arrêter juste avant la rencontre joué par Thierry Lhermitte , le début de cet opus se montrant poussif , lent et ennuyeux. Bien m'en a pris la suite prenant quelques forces menant jusqu'au bout du film. Ca manque un peu d'habillage à l'image de la maison du bord de mer mais cela reste honnête dans l'ensemble. 2 étoiles et demie.
Le thème est beau et peu être très bien exploité. Cependant, on se retrouve sur quelque chose d'assez bancal et peu divertissant
j'ai bien aimé ce petit film simple mais bien sympathique.j'ai bien apprécié le réalisateur change la donne en montrant que ce soit un homme qui cette fois est bien responsabilisant sur le couple la fidélité et les enfants.en effet cette fois c'est la femme qui a été infidèle a laisser tomber son marien allant voir ailleurs qui en plus est un associé de la l'entreprise de son mari(qui fait bien mal pour le père).bonne sensibitilé et intreprétation du père qui est très responsable de ses enfants.
Un téléfilm un peu larmoyant dans sa première partie (à grand renfort de musiques bien lourdes pour surligner les états d’âme du papa divorcé) et qui se rattrape un peu par la suite, s'éloignant du pathos "gratuit" pour nous raconter une histoire cependant bien plate. Dommage, l'idée de raconter le divorce du coté du père qui n'a pas la garde des enfants était en soi une idée sympathique. Encore eut il fallu avoir quelque chose d’intéressant à raconter. Cependant le film n'est pas non plus un désastre, et quelques sourires et petites touches d'émotions s'échappent de temps en temps de ce film un peu fainéant.
Contrairement à beaucoup de critiques sur ce site, j'ai trouvé ce film touchant, juste, très bien joué. J'ai donc apprécié ce point de vue du papa, sur un sujet qui fait peur à tout papa en couple, le divorce. Thierry Neuvic est excellent, ainsi qu'Olivier Baroux et j'adore Marilyne Canto, que je trouve toujours excellente.
Sur le ton du film "la baule les pins" ce drame familiale moderne n'est pas forcement à partager en famille. C'est sur le thème de la séparation, après les vacances d'été, avec le papa malheureux qui fuit le foyer au détriment de ces enfants.. Une apparition de Thierry Lermite y est présente. Un clin-d’œil à l'interlude russe qui m'a plié en deux. ----Août 2015----
Caine78
Quelle drôle de famille les Becker : d'abord le père, immense réalisateur du cinéma français, auteur de « Casque d'or » et « Le Trou ». Puis le fils, Jean, tentant d'abord de marcher sur les traces de son paternel avant de se limiter à un bon gros « cinéma de papa » (sans mauvais jeux de mots) avec personnages du terroir et pleins de sentiments. Voilà que débarque désormais le petit-fils, Louis, malheureusement plus proche de son papounet que de son grand-père. Alors vous dire que ces « Papas du dimanche » (décidément!) est un supplice serait mentir, et il a même ses bons moments, à l'image de personnages sympathiques, sans oublier quelques répliques bien senties. Mais bon, ça sent quand même le téléfilm à plein nez, l'évolution des personnages et nombre de situations s'avérant très prévisibles, même si elles ont c'est vrai leur petit charme. Peut-être aussi celui d'Hélène Fillières, sans douté aidé par la volonté de Becker de réaliser un « joli film » sur notre époque et les parents célibataires... C'est donc très plat, peu ambitieux et s'oublie on ne peut plus rapidement, mais peut divertir le temps d'un après-midi où on aurait rien à faire : à vous de voir selon votre niveau d'indulgence...
tixou0
Louis Becker (3e génération...) est producteur (d'ailleurs celui de son père Jean, depuis "Effroyables jardins", en 2003) et occasionnellement acteur. C'est son premier essai derrière la caméra, et eu égard aux sommes investies (par lui) - 4.500.000 euros - et le flop majuscule - 48.000 entrées salles environ - on peut imaginer que ce sera (au moins pendant un bon moment) le seul !
7 (!) coscénaristes, dont le metteur en scène (adaptateurs compris - c'est un roman à l'origine), se sont attelés à l'écriture. Pour un résultat modeste. Et en étude de moeurs (de l'effet du divorce sur l'équilibre familial - quel rôle pour le père, en général non gardien des enfants ?), et en étude psychologique (personnalité d'Antoine, le "papa du dimanche" en cause). C'est gentillet et propret. Aucun "point de vue" original, aucune force dans le propos...
Restent l'interprétation, honorable (Neuvic/Fillères, le nouveau couple à l'écran, étaient encore en couple à la ville...), les beaux décors naturels (La Rochelle et ses environs, Angoulins, et Port-des-Barques, dans le Rochefortais) et un savoir-faire "classique" à la mise en scène.
Pourquoi avoir choisi un tel sujet ? Le film est dédié par Louis Becker à ses fils (4e génération ?) - on peut imaginer que l'intéressé est aussi un "Papa du dimanche".... Le style, ou le soin apporté aux dialogues, auraient fait la différence entre un produit banal, courant et une "petite musique" à la Becker. Jean Becker...
7 (!) coscénaristes, dont le metteur en scène (adaptateurs compris - c'est un roman à l'origine), se sont attelés à l'écriture. Pour un résultat modeste. Et en étude de moeurs (de l'effet du divorce sur l'équilibre familial - quel rôle pour le père, en général non gardien des enfants ?), et en étude psychologique (personnalité d'Antoine, le "papa du dimanche" en cause). C'est gentillet et propret. Aucun "point de vue" original, aucune force dans le propos...
Restent l'interprétation, honorable (Neuvic/Fillères, le nouveau couple à l'écran, étaient encore en couple à la ville...), les beaux décors naturels (La Rochelle et ses environs, Angoulins, et Port-des-Barques, dans le Rochefortais) et un savoir-faire "classique" à la mise en scène.
Pourquoi avoir choisi un tel sujet ? Le film est dédié par Louis Becker à ses fils (4e génération ?) - on peut imaginer que l'intéressé est aussi un "Papa du dimanche".... Le style, ou le soin apporté aux dialogues, auraient fait la différence entre un produit banal, courant et une "petite musique" à la Becker. Jean Becker...
Rien de très original dans le sujet traité. Mais le ton est juste. La réalisation conventionnelle peut se rapprocher de celle d’un téléfilm réussi. Qu’importe ! Je n’étais pas le seul à être emporté par ces beaux moments de sincérité et par l’amour de ce père pour ses trois enfants. Et quel père ! Thierry Neuvic, sobre, touchant, élégant, triste, et parfaitement juste. Il est tout simplement magnifique. À ses côtés Olivier Baroux et Marilyne Canto, en amis fidèles, sont parfaits aussi. Hélène Fillières est juste. Et les trois enfants … épatants ! Un très joli moment de cinéma en plein cœur de la Charente Maritime. Une très belle surprise.
Dans l'ensemble, j'ai été assez déçu du rendu final. Histoire trop classique avec beaucoup de déjà vu. Et puis, il faut dire qu'il y a pas mal de choses qui ne sont pas trop réalistes, je ne préfère pas m'aventurer dans une liste car elle serait beaucoup trop longue et ennuyeuse. Cependant, on retrouve deux bons acteurs (principaux) de "Mafiosa", qui arrivent à convaincre, en particulier Thierry Neuvic. Quant à Marilyne Canto, elle m'avait impressionné dans "Les neiges du Kilimandjaro" et je trouve dommage que l'on ne la voit que trop peu. Nina Rodriguez poursuit sa lancée après une prestation très encourageante dans "No et moi". Musicalement, c'est pas mal non plus même s'il persiste quelques hics. J'ai bien aimé les liens qu'il y avaient entre frères et sœurs et entre père et enfants. C'est assez simple mais efficace pour ma part. La fin est comme ... je ne sais pas comment dire ... prématurée et c'est ce que je souhaitais car d'habitude, on a le droit à des montagnes de fausses émotions inutiles. Donc, j'ai passé un bon moment, sans plus. 10/20.
(Rédigé le 31 janvier) Avec des acteurs totalement inconnus (de moi en tout cas), à part Olivier Baroux et une brève apparition de Thierry Lhermite, on a ici un joli petit film très crédible dans son déroulement. Antoine, se sépare brutalement de sa femme quand il découvre qu'elle le trompe avec son associé, Jean-Paul. Il est anéanti, et se retrouve brutalement "papa du dimanche", avec toutes les difficultés relationnelles que cela représente vis-à-vis de ses jeunes enfants. Son entourage l'aidera cependant à reprendre le dessus et même, on le devine, à refaire sa vie, tout en gardant une place importante pour ses enfants. Le déroulement de l'évolution psychologique d'Antoine est très bien décrite. Des sentiments bien transcrits, de l'amitié, de l'affection et beaucoup de tendresse dans ce film qui, hélas, compte tenu du contexte programmatique actuel, ne fera sans doute pas long feu dans nos salles... PS (rédigé le 1er février) : j'avais raison, ce film a été déprogrammé après une semaine. Quand donc laissera-t-on une petite chance aux petits films français ?
Premier long métrage pour le cinéaste " Louis Becker " qui signe la un très beau filme remplie d'amour et d'émotion , , de très bon comédien mention a ( Sandra Trillat qui joue le fille d'Antoine ) de très bonne mise en scènes , le scénario n'en reste qu'un simple scénario facile a mette en boite , une réalisation classique , quelques scènes inutile ! enfin breff un bon petit film bien émouvant , voir très émouvant !!
bon film dans l'ensemble !!
bon film dans l'ensemble !!
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