Du bon et du moins bon pour ce nouveau found-footage espagnol qui n'a ni le budget d'un "Rec" ni le sens de la mise en scène d'un "Paranormal Activity" à faire valoir. En revanche il y a des idées et surtout un rythme assez effréné pour le genre, c'est également plutôt pas mal foutu et les nombreux jump-scares font leur petit effet. Par contre le comportement des personnages est proprement hallucinant, des plus incohérent, strictement rien n'est logique dans ce métrage, de plus la photographie n'est pas toujours très inspirée, tout comme le script et les acteurs sont un peu limite. Du coup, le mauvais annihilant le bon et vice versa on est somme toute devant une honnête Série B et un divertissement acceptable mais le genre est loin d'être révolutionné. Vite oublié.
Connaissez vous ces petites blagues à la con qui circulent sur internet et qui consistent à fixer une image pendant un certain temps et d'un coup bouh !! un truc qui fait peur apparaît ? Et bien c'est ce genre de procédé puéril et facile qui est utilisé par Carles Torrens pour véhiculer l'angoisse dans ce film. Et encore, mises bout à bout, les scènes de « tension » doivent à peu près occuper 7min30 d'un film qui en fait 80. Utilisant le procédé found footage, « Emergo » se contente de singer bêtement et mollement ce qui a déjà été plus ou moins bien fait en la matière, sans aucun souci d'innovation créative ou de prise de risque artistique. Et comme un malheur n'arrive jamais seul, le scénario est idiot et la fin bâclée. 1 point généreux pour les acteurs qui tentent de patauger dans ce bouillon mais vraiment pas grand chose à sauver dans ce film d'horreur espagnol fade et sans relief.
Enième film d'horreur ayant pour thème la possession et la maison hantée, "Emergo" utilise le principe de la caméra embarquée tant utilisé depuis quelques années dans le cinéma de genre. Rien d'original donc de ce côté... ni ailleurs du reste.... Il faut donc se raccrocher aux scènes d'épouvante mais là encore, le caractère trop prévisible du film le rend assez plat et finalement peu effrayant. Tout sent le réchauffé.... "Emergo" ne se distingue donc nullement de la masse de film d'horreur dont les américains nous arrosent continuellement.
Même s'il ne révolutionne en rien le genre, Emergo parvient à surprendre et s'imposer comme un petit film de trouille plutôt honorable dans le désormais vaste et inégal univers du found footage. Lire notre critique sur le site terreurvision !
Ah, encore un found footage (façon de parler). Je commence à en avoir marre d'utiliser ces mots. Celui-ci est une énième variation autour du thème lieu hanté façon reportage parascientifique. Plans désormais classiques entre caméra subjective qui bouge n'importe comment et caméras de surveillance qui ne bougent pas assez. Ça m'a évoqué une hybridation 'Phénomènes Paranormaux'/'Le Dernier Exorcisme' (deux daubes) + 'Grave Encounters' (moyen plus). Bonne surprise cependant, ce petit film est bien écrit, plutôt bien joué et bien tourné. La recette fonctionne encore un peu, notamment grâce à un récit plus travaillé. On ne s'ennuie pas donc, mais pour ce qui est de susciter la peur c'est autre chose. Le style s'épuise à recycler toujours les mêmes effets. Heureusement on peut compter sur des dialogues intéressants (en VO en tous cas) et une galerie globalement bien rendue de personnages avec du contenu. Pas une référence mais surnage dignement dans la soupe des séries B.
Voilà qui est fait !! Une bonne grosse pétoche comme on les aime !! Le scénario reste basique, les acteurs moyens mais le gros point fort du film ce sont les deux ou trois sursauts monumentaux !! Cardiaques s'abstenir... Restez bien jusqu'au bout !!!!
c'est un melange de films style poltergeist , l'exorciste , paranormal activity ,un film qui n'apporte pas vraiment quelque chose de neuf niveau idées ,mais qui donnera du plaisir tout de meme au fan de ce genre de film fantastique de par ces scènes très choc !
film camera a l epaule l hstoire et confus on comprend pas bien tout sinon ca se laisse regarder A quand un film camera a l epaule a la hauteur de la fin de REC quand ils arrivent au grenier