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    Les Adieux à la reine
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    416 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 décembre 2012
    Le chauvinisme enflammé de la presse, et mon gout de plus en plus prononcé pour les films historiques, m'a fait me pencher sur ce film
    Et finalement, rien de bien palpitant. Léa Seydoux joue pas mal et c'est déjà ça.
    landofshit0
    landofshit0

    274 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 décembre 2012
    Sans être réellement passionnante,cette histoire d'amour dans une France en plein chamboulement,puisque l'action se déroule pendant la révolution française,ne doit son intérêt qu'a la mise en scène de Benoit Jacquot,car le reste et tout même plutôt approximatif.Notamment les pièces vidés de tout leurs accessoires.Si Jacquot veut montrer la mauvaise hygiène de l'époque avec un rat mort et quelques autres petits détails.Tout ça peine à convaincre,vu que les décors ressemblent à des musées aseptisés sans la moindre trace de vie,n'arrivant qu'a rendre tout ça que factice.Des acteurs en perruques posés dans des lieux historiques,nettoyés au karcher par les petits hommes verts de la ville de paris.C'est le niveau zéros question reconstitution historique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 février 2013
    Incroyable et envoûtant. Pourtant les 5 premières minutes hésitantes nous font douter, jusqu'à l'arrivée dans l'intimité de la reine où se crée une ambiance unique, prenante qui ne nous lâche plus durant tout le film. On est pris dans l'intimité de la cour et, lorsque les évènements sociaux prennent le dessus, on se retrouve bouleversé comme cette cour où Benoît Jacquot nous emmène si bien, s'ensuit une plongée en apnée, pesante dans ce monde qui s'effondre.
    Mais ce qui plaît d'avantage reste sans conteste le traitement de l'amitié forte entre deux femmes, les excellentes Diane Kruger et Virginie Ledoyen, contraintes de se séparer, tout comme Léa Seydoux qui n'ose avouer toute l'amitié qu'elle porte à la Reine. Le tout mis magnifiquement en scène et filmé avec là encore beaucoup d'intimité. Pourtant, si Benoît Jacquot filme si bien ces petits riens qui révèlent beaucoup sur les personnages et installent cette atmosphère, il perd malheureusement de son talent dans les plans plus général.
    Les Adieux à la reine est donc un film intimiste qui nous transporte sur toute sa durée en se concentrant sur le regard innocent de la jeune liseuse de la reine.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 3 décembre 2012
    Ayant du mal avec les films dans lesquels les acteurs semblent avoir oublié leur talent dans la loge, je me suis vite ennuyée. L'intrigue amoureuse n'est vraiment pas intéressante (peut-être que Marie-Antoinette était amoureuse d'une femme... Oui? Et alors?) et les aristos sont complètement ridicules dans leur peur panique. L'intérêt du film semble être basé sur ce dernier point. Cela ne suffit pas.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 28 novembre 2012
    C’est assez rare mais là je ne comprends vraiment pas l’avis de la presse… Qu’à ce film de particulier ? je n’ai pas la réponse, j’ai eu l’impression de vivre un long calvaire attendant quelque chose émerger de ce néant… les acteurs pas dingue, les décors rien d’extraordinaire, l’histoire, la mise en scène, je cherche encore…
    Grouchy
    Grouchy

    123 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 novembre 2012
    Film historique qui, au lieu de nous faire rentrer dans l'action et les turbulences de la Révolution, nous emmène dans un univers intime concernant l'espace royal, décrivant les classes sociales, les relations entre servant et maitre, sans paraître un faux documentaire. L'image que nous montre Jacquot fait preuve d'une finesse et d'une sensualité visible ; si l'histoire se concentre sur l'intériorité des personnages, on n'a pas l'impression de ressentir une quelconque évolution, la fin étant un peu brutale. Le film de Benoît Jacquot possède un charme, aussi bien au niveau du casting que du visuel.
    Salim S
    Salim S

    50 abonnés 500 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 novembre 2012
    Monotone, lent, ennuyant, sans (aucun) intérêt : Il faudrait peut être laisser la jeunesse reprendre la main et empêcher les réalisateurs "raseurs" de continuer à faire des films qui ne touche que trop peu de personne.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 13 novembre 2012
    Je suis impressionnée. J'ignorais qu'on pouvait créer une hérésie à la fois au cinéma et à l'Histoire d'un seul coup. En fait, si. Le film m'évoque sérieusement un téléfilm de France 2 accompagné de plein de rumeurs fausses sur l'époque auxquelles beaucoup croient encore aujourd'hui. Quoique je dois souligner le jeu excellent de Diane Kruger, parfois exagéré par les exigences d'un mauvais scénario, et les détails prosaïques que le réalisateur a su intégrer sur la vie des domestiques.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 novembre 2012
    Les Adieux à la reine est un film qui pour moi et l'un des films importants de 2012. Servi par une superbe distribution, avec notamment une prestation splendide de Léa Seydoux qui prouve qu'elle va être une actrice qui compte dans le cinéma français , les seconds rôles sont bien servis. Mais les acteurs sont bien aidés par la mise en scène de Jacquot très stylisée dotée d'une puissant modernité ce qui permet au film de ne pas tomber dans une ancienneté dû à l'histoire du film. Ce qui m'amène à parler des décors du film qui sont parfaits et qui rentrent parfaitement dans la mise en scène de Jacquot. Le seul minuscule reproche que l'on peut faire qui m'empêche de mettre 5 étoiles , mais ce n'est qu'un avis personnel, c'est finalement de ne parler que très peu de la Grande Histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 octobre 2012
    Un film sincèrement oui nul on peut le dire!! Des actrices qui jouent (très) mal la comédie, des dialogues inaudibles pour la plupart, une vérité historique déformée de bout en bout, une histoire décevante, insipide
    On peut romancer l'Histoire mais pas en faire un tissu de mensonges grossiers, le réalisateur a t- il payé la critique pour qu'elle lui accorde ses éloges, car c'est un pur navet dont on ne ferait même pas une soupe!
    jd78
    jd78

    7 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 octobre 2012
    Adapté du roman éponyme de Chantal Thomas, « Les adieux à la Reine » se déroule pendant les dernières heures de la monarchie et se focalise sur le personnage fictif de Sidonie Laborde (Léa Seydoux), la lectrice de Marie-Antoinette. Construit comme un huis clos à l’intérieur du château de Versailles dans lequel chaque scène est vue à travers son regard, le film retrace les 4 jours consécutifs à la prise de la Bastille et le bouleversement que cela y engendre. Un parti pris de mise en scène original et passionnant qui permet de placer Sidonie et le spectateur en observateur privilégié du fascinant petit monde versaillais et de sa cour, vu de l’intérieur.

    On suit en effet Sidonie à travers les chambres miteuses des servantes, dans la cave qui leur sert de salle à manger, qui n’en remonte la plupart du temps que pour se rendre dans la chambre de la reine et lui lire les ouvrages qu’elle a sélectionnés pour elle. On est témoin de l’agitation qui secoue le château, notamment lors d’un excellent plan séquence de nuit où la fourmilière de la cour prend peur à la découverte de la liste des têtes à couper, alors que la rumeur gronde à l’extérieur.

    Le château devient alors un personnage à part entière, magnifié par la caméra de Benoît Jacquot qui nous offre une très belle reconstitution entre ombre et lumière, des décors aux costumes en passant par les éclairages naturels ou à la bougie. Au fur et à mesure que les heures passent, la tension devient de plus en plus palpable, et envahit chaque scène. Benoît Jacquot y réunit également une cour de seconds rôles excellents. Parmi les plus marquants, on retiendra Noémie Lvovsky, en femme à tout faire de la Reine, Julie-Marie Parmentier, en servante indiscrète, Xavier Beauvois en Louis XIV qui sait rester digne, ou encore Michel Robin, dans le rôle du vieux bibliothécaire bouleversé par les événements.

    À travers cette histoire de fin de règne, « Les adieux à la Reine » propose trois portraits de femmes qui prennent la forme d’un triangle amoureux : la lectrice, la Reine et sa favorite. Cette servante dont on ne sait rien, en premier lieu, qui semble vivre sa vie par procuration, toute fascinée et obsédée qu’elle est pour la reine. Elle n’existe qu’à travers elle et comme elle le dira à la fin du film, « bientôt je ne serai plus rien ». Léa Seydoux lui prête sa jeunesse et sa naïveté, femme de l’ombre souvent antipathique à force d’obsession pour son idole.

    Marie-Antoinette (Diane Kruger), que l’on voit à chaque fois à travers les yeux de Sidonie, apparaît elle comme une reine cyclothymique qui peut se montrer aussi bien compatissante et amicale envers sa lectrice et son entourage que condescendante et tyrannique. Malgré les humiliations qu’elle lui fait subir, Sidonie conservera pour elle un dévouement (voire une dévotion) total, un amour inconditionnel et unilatéral. La Reine, en effet, ne la voit souvent pas, comme dans une scène où Sidonie se tient en retrait ou derrière elle la nuit où elle prépare son départ pour Metz.

    Elle n’a d’yeux que pour la duchesse de Polignac (Virginie Ledoyen), sa favorite imbuvable qu’elle aime plus que tout, et qui n’hésitera pas une seconde à l’abandonner à son sort, préférant fuir en Suisse que de rester auprès d’elle alors que les têtes s’apprêtent à tomber. Un amour pour lequel Sidonie acceptera au final de se sacrifier lors d’une ultime humiliation, car elle ne peut « rien refuser » à la reine.

    « Les adieux à la Reine » est un drame brillant et moderne sur la fin d’une époque, où se mêlent tension, passion et érotisme, et qui n’épargne rien aux femmes qui en sont les héroïnes. Merci à Benoît Jacquot de m’avoir réconcilié avec Marie-Antoinette au cinéma. Là où Sophia Coppola m’avait laissé complètement dubitatif devant sa version anachronique et esthétisante de la Reine au destin tragique, le réalisateur de « La fille seule » livre un film beaucoup plus intéressant et captivant de bout en bout, où il démontre une fois encore son talent pour le portrait de femmes.
    Valerie M
    Valerie M

    35 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 octobre 2012
    Je n'ai pas dépassé les 20 minutes: ça récite ça récite!!!!!!!!!!!! Trop dur pour mes oreilles! A croire que je dois être la seule...!
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 octobre 2012
    Le vingtième film de Benoît Jacquot est comme pour neuf de ses oeuvres précédentes l'adaptation d'un roman, à savoir "Les Adieux à la reine" de Chantal Thomas. Celle-ci avait écrit une première version de son récit du point de vue de l'historiographe officiel du roi, Jacob-Nicolas Moreau (joué dans le film par Michel Robin, comme toujours parfait). Puis elle s'est dit que cette histoire des trois jours qui ont suivi la prise de la Bastille devait être racontée depuis un autre point de vue, celui d'une femme, et elle a trouvé dans l'Almanach de 1789 la trace d'une lectrice adjointe, Madame Laborde. Chantal Thomas a expliqué qu'elle avait puisé son inspiration dans "La Semaine Sainte", "un des romans de l'histoire par excellence", où Aragon racontait du point de vue de l'entourage de Louis XVIII le retour de Napoléon de l'Île d'Elbe, autre moment de basculement d'une période.
    Dans le roman, Sidonie Laborde a l'âge qu'avait la véritable lectrice adjointe de la Reine, c'est-à-dire une quarantaine d'années. Benoît Jacquot a choisi de la rajeunir considérablement, et de lui donner l'âge de beaucoup de ses héroïnes, la fille seule, la désenchantée, ou Lili dans "A tout de suite". Cela permet de donner au personnage de Sidonie un regard qui est à la fois celui de sa condition -presque rien au service de la frivolité des plus grands- et de sa jeunesse face à l'effondrement d'un monde séculaire. Sidonie est lectrice, donc cultivée ; elle jette d'ailleurs à la Reine dans un moment-clé du film : "Les mots sont ma seule possession". Et si elle montre souvent de l'intelligence et même de la lucidité, elle n'en a pas moins une vision reserrée de cet univers en vase clos que représente Versailles, et que Benoît Jacquot compare à un navire, le Titanic en l'occurence ou plus près de nous le Costa Concordia : " Il était le plus beau palais au monde, le plus neuf, le plus moderne, même nombre d'habitants ou de passagers, 3 000 environ, mêmes fêtes et dîners, pareille insouciance, isolement identique, mêmes signes d'un naufrage possible, mêmes mouvements de panique, même manque d'informations, semblables effets de ruche, disparition du capitaine, calèches et chaloupes, tout correspond."
    Il y a dans le film deux parties distinctes : avant et après que la nouvelle de la prise de la Bastille n'arrive au château. La première partie correspond paradoxalement à la journée du 14 juillet, où du fait de la distance qui sépare Versailles de Paris, la vie d'insouciance et de superficialité se poursuit alors même que le monde bascule. C'est l'occasion de nous montrer les deux faces de Versailles : les ors et le luxe de l'entourage immédiat du Roi et de la Reine, mais aussi la promiscuité et l'insalubrité dues à l'entassement de milliers de courtisans et de serviteurs, qui se manifestent par la présence de rats et de moustiques. Les préoccupations de tout ce monde sont à l'image de celles de Marie-Antoinette, futiles et versatiles. Car tous partagent l'avis exprimé par un personnage : "La vérité, c'est qu'à Versailles, rien ne peut vous arriver".
    La nouvelle arrive précédée par la rumeur, et Sidonie monnaie la confirmation de cette information contre un travail de broderie car dans ce monde d'apparence, savoir donne du pouvoir. Comme le spectateur vit cette histoire à travers ses yeux, et du fait de sa condition qui malgré sa proximité de la Reine la tient à distance, c'est souvent par son regard, au sens premier du terme, que l'on suit l'action : quand elle observe par la fenêtre la fuite nocturne des courtisans, ou quand elle écoute cachée derrière un rideau fleurdelisé le discours que prononce devant l'assemblée le Roi qui reste hors champ. Si elle vit ces événements avec tant d'intensité, ce n'est pas parce qu'elle a conscience de la nature des bouleversements à venir, mais parce qu'elle comprend intuitivement qu'ils vont remettre en cause la relation qu'elle a avec Marie-Antoinette.
    Relation est un bien grand terme, comme la suite de l'histoire le montrera. Si elle voue une véritable culte à la souveraine, on ne peut pas dire que cette dernière attache la même importance à celle qui n'est qu'une lectrice adjointe, cornaquée par les dames de compagnie, et notamment Madame Campan, jouée avec une grande subtilité par Noémie Lvovski. La Reine peut s'enquérir de ses boutons de moustiques, mais dans son comportement bipolaire l'oublier ou s'agacer de sa présence l'instant d'après. Il y a d'ailleurs une scène redoutable, où Marie-Antoinette lui demande "Vous êtes toujours là ?", alors qu'il lui aurait suffi de tourner légèrement la tête pour s'en assurer. Diane Kruger donne beaucoup de vérité à ce personnage complexe d'enfant gâtée, rendant plausible l'amour que lui vouaient quelques uns et la détestation que lui portait le plus grand nombre.
    Il était écrit que Léa Seydoux prête sa blondeur enfantine et charnelle à celui qui a déjà tourné cinq films avec Isild Le Besco. Présente à l'écran d'un bout à l'autre du film, elle combine un phrasé littéraire propre à son rôle de lectrice à une modernité de sa posture et de sa démarche. C'est d'ailleurs là que le film fait écho au " Marie-Antoinette" de Sofia Coppola, dont Jacquot dit avec beaucoup d'humour : "Quant aux baskets et aux macarons, je ne dirai certes pas que ça ne se fait pas, mais que ça ne se refait pas."
    Dans ses quatre derniers films, Benoît Jacquot racontait l'histoire d'une femme qui abandonne tout pour partir à l'aventure. C'est à la fois cette situation et son antithèse dont parle "Les Adieux à la Reine" : Marie-Antoinette veut partir (contrairement au film de Sofia Coppola où elle assume son destin) mais ne le peut pas, alors que Sidonie qui ne veut rien d'autre que rester aupès d'elle devra partir, sacrifiée par l'amour que la Reine porte à Gabrielle de Polignac. Sans déflorer la fin, le départ du château de Versailles donne à Sidonie bien plus que les atours d'une grande dame, en lui conférant brièvement le premier rôle, avant de ne redevenir plus personne et de pouvoir vivre enfin sa vie.
    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 octobre 2012
    Après visionnage de ce film, c'est la première fois que je retourne sur le site d'allociné pour vérifier et lire les critiques élogieuses de la presse et je ne comprend toujours pas l’engouement de la presse. Ce film m'a profondément déçu sur tous les points de vues mis à part le charisme des actrices de premier plan et les costumes je me suis ennuyé. La bande sonore est en-dessous de tout, le scénario d'un basique, on attend le moment ou le film peut enfin démarrer mais rien. J'ai eu l'impression de tomber sur un téléfilm d'une des chaines française bien populaire. A éviter...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 9 octobre 2012
    Un film qui annonce beaucoup par son idée principale et la réputation des acteurs.
    Mais qui sonne épouvantablement creux.
    Les acteurs semblent tous croire détenir le premier rôle et ne communiquent pas entre eux.
    Le rythme est lent est insipide.
    La mise en scène est saccagée par des cadrages grossiers et tape à l'oeuil.
    Il est très difficile de comprendre de telles éloges de la part de la presse.
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