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    Les Adieux à la reine
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    416 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 mars 2012
    Adaptation réussie du roman de Chantal Thomas. La caméra ne lâche pas Lea Seydoux, très convaincante. Diane Kruger et Virginie Ledoyen très justes également dans une scène d'adieux remarquablement filmée.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 mars 2013
    Un long métrage qui, bien plus qu’un simple film d’époque, trouve un réel intérêt dans sa force narrative et sa réalisation. Une belle surprise.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 mars 2012
    Versailles, 1789. Le palais vit au rythme de sa faune, faite de nobles et de serviteurs qui déambulent dans les labyrinthiques couloirs du château. Cet espace coupé du monde où les soucis se résument aux exigences des aristocrates et aux commérages, va être quelque peu ébranlé au lendemain du 14 juillet…

    Avec Les Adieux à la Reine, Benoît Jacquot nous plonge comme cela a rarement été fait dans les coulisses de la cour de Louis XVI. Il promène sa caméra de petits salons en chambres de bonnes, en passant par les nombreux corridors, où toutes les classes se mélangent et où tous les bruits naissent pour répandre ensuite leur écho dans tout le palais. Le château devient un personnage à part entière, une sorte de microcosme dans lequel le spectateur s’engouffre littéralement. S’il semble au départ invulnérable et protecteur, la complexité de son architecture et ses éclairages à la bougie vont rapidement mettre en évidence des zones d’ombres. Il y a bien sûr la Révolution qui va révéler au palais l’existence d’un monde extérieur et venir bouleverser son ordre établi, mais il y a également les ombres propres à la vie à la cour.

    Car en parallèle de cette splendide reconstitution historique des premiers balbutiements de la fin de la monarchie, Benoît Jacquot dresse le portrait d’une « groupie » (dixit le réalisateur) du XVIIIe siècle, dont le Versailles tortueux n’est en fait que le reflet de l’esprit tourmenté. Sidonie est la liseuse de la Reine, et partage donc des instants d’intimité avec elle. Bien que lucide, la jeune fille sublime et fantasme ces instants. Elle se crée alors un amour impossible qu’elle ne pourra réfréner et ne pourra que vivre par procuration. Ainsi malgré les instants de troubles qui dominent le film, Benoît Jacquot par l’intermédiaire de son héroïne crée de véritables instants de douceur et de sensualité où le temps semble suspendu. Il faut dire aussi que Léa Seydoux offre grâce, délicatesse, onirisme, mais aussi force et conviction, à ce qui se révèle être son plus beau rôle. Face à elle, Diane Kruger est une Marie-Antoinette à la fois douce et cruelle, touchante et détestable, mais toujours d’une sensualité irrésistible. Dans les seconds rôles ont remarquera surtout Virginie Ledoyen en incarnation du fantasme et Noémie Lvovsky en protectrice impuissante. La seule erreur de casting est peut-être Xavier Beauvois peu convainquant en Louis XVI.

    Les Adieux à la Reine, par sa mise en scène soignée, son interprétation parfaite, sa reconstitution historique réaliste et ses passions intemporelles, est incontestablement une réussite.

    Mes autres critiques sur http://le-monde-de-squizzz.fr
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 064 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2012
    C'est le quatrième film de Jacquot que je vois, jusqu'à présent il ne m'a jamais épaté mais je n'ai jamais détesté un de ses films non plus, c'est un réalisateur honnête je dirai, ni plus ni moins, avec des bonnes idées, d'autres moins bonnes.
    J'étais à une avant première avec la présence de Jacquot et de l'auteure du livre, bon ça n'apprend rien, si ce n'est qu'il y avait un bouquin à la base.
    La première chose qui frappe en voyant le film, c'est le casting qui est énorme, entre Seydoux toujours assez belle et fraîche (enfin fraîche, se laver ne semble guère être la priorité à Versailles), Kruger (bon à la rigueur je m'en cogne complètement d'elle), Ledoyen, mais surtout Beauvois (oui le réalisateur), mais également (et surtout même) Lvovsky (admirable).
    En fait je pense qu'on peut surtout parler de Kruger qui s'amuse à retrouver un accent allemand (autrichien), bon ça fait un peu bizarre, ça ne me dérange pas plus que ça, mais bon, pas certain que ça apporte forcément grand chose, si ce n'est un peu de réalisme en plus, de Seydoux, qui est comme à son habitude, géniale, je veux dire elle est belle, mais elle garde une certaine fragilité, malgré ses airs durs, et ça c'est beau, et puis Lvovsky, qui est juste géniale dans son tout petit rôle où elle va chuchoter des ordres aux oreilels de Seydoux, mais dans sa voix on sent toute la lassitude qu'elle peut avoir, c'est vraiment brillant. Cette femme est clairement une grande actrice, et heureusement qu'elle joue dans des films qui sont biens, qui le lui rendent, entre les beaux gosses, 17 filles, l'Apollonide (très récemment), c'est que du bonheur de la voir.
    Après on ne peut que se féliciter des choix de films de Seydoux qui malgré qu'elle se fasse connaître à l'étranger arriver à être brillante et à briller en France, sans s'enticher de rôles de cruches ou autre.
    Après c'est un film féministe, enfin très axé sur les femmes, leurs désirs, mais bon ça ne me gène pas, surtout que comme c'était dit lors de la présentation du film c'est inédit la révolution française vue depuis les femmes.
    Et Versailles, alors là, c'est clairement le personnage du film, c'est juste génialement fait. Je pense bien que le film n'avait pas un très gros budget, et on pourrait sentir ici et là des trucs qui font un peu cheap, mais malgré ça, Jacquot arrive à nous immerger dans ce Versailles, et le rendre parfaitement crédible, et réaliste. Je veux dire, on sait qu'à Versailles il faisait sombre (il y a plus de pièces que de fenêtres, cherchez le problème), que des nobles venaient s'y entasser pour voir le roi et ceci bien qu'ils aient des châteaux en province (par contre ce n'était pas la peine de le dire explicitement dans le film, ça gâche un peu tout, surtout qu'on le sait), et cette atmosphère est retranscrite parfaitement. Pire encore, on sent vraiment cette panique des nobles lors de la prise de la Bastille, les petits mots qui s'échangent en douce pour éviter que tout le monde ne le sache. Pour moi le film est avant tout un prétexte (bien qu'il ait ses qualités narratives propres, bien que des films sur le passage à l'âge adulte, on ait vu bien mieux) pour explorer ce Versailles, cette atmosphère de fin du monde, et pour moi, le film vaut surtout là dessus, dans ses décors nocturnes, la photographie qui joue sur le clair obscure, non c'est du beau boulot.
    Après la mise en scène est un peu étrange je dirai par moment, Jacquot refuse le champ contre champ, et balade sa caméra ça donne parfois un effet assez étrange, pas très naturel.
    Mais avec les décors et la photo, je pense qu'il faut souligner certaines compositions musicales, qui viennent accentuer cette atmosphère (pas forcément toutes les musiques, mais certaines rendent très bien).
    Ce film si ce n'est pas forcément un chef d'oeuvre, c'est un film pensé, agréable, bien joué, qui vaut le détour.
    darkfish
    darkfish

    41 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2012
    J'aime :
    * la belle distribution : de l'espiègle Léa Seydoux ♥ à la divine Diane Kruger, en passant par l'intrigante Virginie Ledoyen.
    * la réalisation vivante et sensible
    * l'Histoire racontée sans lyrisme pompeux
    * les corsets et décolletés ultra boobs

    J'aime pas :
    * quand la grandeur de l'histoire fait défaut dans le ressenti final
    * quand il manque le petit truc en plus qui fait un grand film
    * la subtilité présente mais trop peu développée
    * la cruauté de l'amour
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 mars 2012
    14 juillet 1789, le peuple s'empare de la Bastille, et les tumultes liés à cet évènement se répandent jusqu'à la cours de Versailles. Dans la précipitation et la peur, ils se mettent à éveiller des tumultes plus intimes. Comme pour le Marie-Antoinette de Coppola, le contexte politique sert d'avantage à représenter un thème cher à l'auteur plutôt qu'une reproduction exemplaire des faits historiques. Ce thème c'est celui de la passion, transfigurée par le désir et l'aveuglement, ou le désir d'aveuglement.

    Un triangle passionnel se forme autour de Marie-Antoinette (Diane Kruger), avec deux femmes aux natures diamétralement opposées. D'un côté une jeune femme prude et dévouée, fragile et mystérieuse (Sidonie Laborde/Léa Seydoux) ; de l'autre une femme frivole, sensuelle et égoïste (Duchesse de Polignac/Virginie Ledoyen). Nous suivons l'évolution chaotique des évènements au travers des yeux de Sidonie. Nous partageons ses craintes, son envie de protéger et de rassurer la reine, son enlisement dans des rêves romantiques qui se mêlent aux cauchemars contextuels. Ancrée avec toujours plus de profondeur dans son dévouement, dans son fanatisme sans failles, elle se perd progressivement au cœur de ce château déserté, vidé de ses richesses et de ses bienfaits, qui semblent anéantir toute vie jusqu'alors resplendissante, à peine fleurie.

    Rongée de l'intérieur, Sidonie se contient à merveille devant la reine, cache ses troubles les plus intenses pour rester la servante qu'elle a toujours été. Et à l'heure où tout bien matériel semble quitter l'environnement, où toute fraîcheur et toute beauté semblent dépérir, entraînant dans leur chute la reine, seul reste les promesses et les prouesses de Sidonie : Quelques lectures, quelques paroles rassurantes, une broderie.
    Mais cela n'est pas suffisant, Marie-Antoinette a d'autres besoins, d'autres désirs, qui ne peuvent être comblées que par une seule femme : La duchesse de Polignac.

    À peine entrevue, ce personnage reste cela dit un élément phare du film. Sa beauté et son assurance l'élève au statut de divinité, lui confère cette l'omnipotence qui lui sied à merveille. Objet de désir et de jalousie, perçue à travers un corps irrésistible, qui fait perdre raison à la reine et qui fascine Sidonie. Virginie Ledoyen illumine l'écran, et ses apparitions, aussi brèves soient-elles, sont toujours remarquées.
    Marie-Antoinette et Sidonie deviennent donc des objets, liées par le même chagrin, celui de la perte et de l'amour insatisfait. Pour mieux retranscrire le vide qui s'installe au château et chez les personnages, Benoît Jacquot joue évidemment sur la vacuité qui ne cesse de gagner l'espace, sur le ciel qui ne cesse de s'assombrir, sur la folie qui ne cesse de s'immiscer chez ces femmes. Pour ce faire il livre une réalisation intimiste, somb re, sensuelle et désexualisée. Gros plans, panoramiques fluides, plongées inquiétantes sur la cour, profondeurs de champ en symboles de perdition ; et tant de procédés qui renforcent l'aspect dramatique de l'histoire.

    Le récit, au-delà de s'accommoder de ce trio formidable, combine avec une justesse sans retenue l'évolution heure par heure de la chute imminente du système royaliste, entre cérémonies, échanges d'informations et cacophonies, tout gronde autour de nous, en prémisse d'un orage sans précédent. Pour accompagner cette ambiance quasi-horrifique, nous sommes soumis à des dialogues intenses, parfaitement écrits et au riche vocabulaire, choisit avec précision. L'échange en un seul plan-séquence entre Marie-Antoinette et la duchesse de Polignac est vraiment l'un des exemples de toute la maîtrise du réalisateur, qui tant dans l'écriture que dans la mise en scène sait exactement ce qu'il veut faire et comment il doit le faire.

    Tous les à-côtés sont eux aussi très riches, grâce à la grande qualité des second rôles (Noémie Lvovsky et Julie-Marie Parmentier en tête) et s'orchestrent idéalement autour du thème principal, pour mieux mettre en valeur l'isolement dans lequel la reine et sa lectrice semblent s'auto-condamner. L'une ne peut pas quitter son château, l'autre ne peut pas quitter sa reine, et elles sont donc toutes deux prisonnières de leurs propres esprits. Et la séquence finale, ou plutôt la séquence des " adieux ", est extrêmement touchante. Après avoir subi le charme de la reine au même titre que Sidonie, nous comprenons son silence et son désespoir.

    Les adieux à la reine se révèle donc, sans surprises, un film historique profondémment intime, poétique et passionné, qui mêle avec brio causes politiques et conséquences personnelles pour proposer une expérience qui mérite qu'on s'y attache avant autant d'emprise que celle des personnages. En plus de cela, le charme des actrices, des costumes, et des décors, sont un véritable régal pour les yeux.
    cristal
    cristal

    177 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 février 2012
    Comme toujours chez Benoit Jacquot, l'exploration d'un siècle perdu tiens plus à la recherche d'une substance visuelle et cérébrale qu'à la consistance d'une dramaturgie fondée sur l'expression des sentiments humains. Pourtant l'un, par définition, traite de l'autre. Tout comme son travail de metteur en scène d'opéra ; trouver une matière esthétique et rythmique à un récit déjà créé et porté par la musicalité - voir son "Werther" joué à Bastille en 2010. Dans "Les Adieux à la reine", adapté de l'écrivain Chantal Thomas, son ambition semble être tout simplement de transposer cette démarche à un décor nouveau, déployé, celui de la Cour de Versailles, à partir d'un matériau romanesque déjà développé dans le livre, ou la relation mystérieuse de fascination et de haine d'une jeune lectrice dévouée pour sa Reine. Comme tout cinéaste un minimum talentueux, Benoit Jacquot ne rate pas LE plan du film ; un baiser saphique échangée entre la Reine et la servante endossant subitement le rôle de Gabrielle de Polignac, la figure féminine causant le trouble sexuel et identitaire de Marie-Antoinette alors même que le pouvoir s'effondre après la prise de la Bastille. Tandis que Sidonie, la jeune servante et fidèle lectrice de la Reine, vit à genoux face à l'icône qu'elle sert, le film développe une manipulation des apparences ; Sidonie, jeune et naïve, se croit préférée des autres aux yeux de Marie-Antoinette. Mais cette dernière, cruauté ultime du pouvoir et de l'amour, va se servir peu à peu de Sidonie pour sauver la vie de Gabrielle, la femme qu'elle aime en secret. De ce triangle amoureux entre femmes, gardé sous silence pendant tout le film, ne subsiste donc que ce plan magnifique où les lèvres d'une femme de l'ombre se posent sur celles d'une femme de la lumière et du pouvoir qui y voit la projection, par le costumage identique, de l'être aimée. Le plan, simplement effleuré et forcément hyper-sensuel puisqu'il est le point d'orgue féminin d'une tragédie sourde, prouve la vitalité du cinéma de Benoit Jacquot quand il s'agit d'être simplement confronter à l'évidence. Malheureusement son langage, de plus en plus, semble à tout prix se contenter d'être anti-expressif, d'être 'pensé' , raide et ancré dans une vieille tradition de film costumé français. Chaque comédien - à l'exception de la fascinante Léa Seydoux - semble ne pas rentrer dans ses costumes ; ni Diane Kruger n'atteint la dimension forcément sacralisée de la Reine que nous partageons par le regard de Sidonie, ni Noémie Lvovsky ne se départit de ce rôle de patronne que le cinéma français lui a maintes fois offert jusqu'à la caricature, et encore moins Xavier Beauvois, dernier venu d'un petit groupe d'amis-réalisateurs dont l'expression de comédiens frise définitivement le grotesque. Tout dans "Les Adieux à la reine" pâtit de cette petite foi en un cinéma privé, fait par un cercle de connaissances qui pourtant n'appartiennent pas du tout à l'imagerie attendue d'une reconstitution. Certes c'est peut-être là la modernité que l'on accorde à Benoit Jacquot mais sa direction d'acteurs est à ce point austère et définitive dans sa volonté de redonner au corps la fonction d'une marionnette et à la voix celle d'un son brut et sans contours que son film est immédiatement figé dans une sensation de 'Faux' permanent. La rigueur de sa vision de metteur en scène dément les vrais pouvoirs de la fiction historique comme de sa réalité ; le film ne semble jamais assez romanesque et cinématographique, et paradoxalement, il ne semble jamais assez juste et concevable. On ne croit ni à l'invention d'une mascarade et d'un déguisement de Sidonie qui acceptera héroïquement, mais dans l'ombre, de se faire passer pour Gabrielle de Polignac, autant que les détails plus précis comme les chorégraphies de scène de groupe ou de figurants qui ne semblent jamais être autre chose justement qu'une illusion, celle d'une reconstitution. Ce monde qui vacille, cette Reine sur le déclin, cette jeune Sidonie troublée par la mort si proche de celle à qui elle lit quelques lignes de Marivaux, la vie dans le château, les ombres troublantes qui animent les regards entre servant et servi, tout dans le film n'est qu'une vaste mise en scène plaquée image par image, séquence par séquence. Il y a à ce sujet une superbe scène où enfin la réalisation semble se fondre dans la matière recherchée, et c'est le seul moment remarquable du film, où à l'annonce de la liste des décapités dans un des couloirs du château, les pensionnaires et les serviteurs s'activent en pleine nuit, entre hystérie silencieuse et effroi. Les flammes dansent dans des couloirs bruns magnifiquement éclairés, les silhouettes frôlent les murs à n'en plus finir, il y a là un mouvement vital dans un endroit mort, restreint, une atmosphère de vie de château, quelquechose d'enfin vrai, d'enfin conquis. Le reste ne semble être qu'une vaine carcasse dévidée et c'est à la fin que l'on croit que le film commence. Las! Ce sont déjà les adieux.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 mars 2012
    Vient de le voir au label des spectateurs ugc à la défense. Ont étai 50 dans la salle dais le début 6 personne on quitte la salle pour ma part ce film est nul des décors un peu spéciale je ne savais pas qu’il avait des interrupteurs en 1796 très mal masquer un jeu d’acteur sans aucun intérai une histoire à dormir debout et très mal interpréter une caméra qui bouge tous les temps à vomir sur un écran de 20 mètre les costume ça passe mais sa sarrète ne pas aller voir ce film le zapper. Sur 1 ans peut être 0.01% de film français son bon arrêter le cinéma français laisser les professionnelles sens charger ca évitera de perdre de l’argent que ça soit pour banque qui prête et pour les acteurs qui qui pourrai ce concentre sur des projets plus ambitieux que ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 17 février 2012
    Mais c'est quoi ce film?!!?! En format téléfilm a la limite mais de grâce pas au cinéma!
    Acteurs inégaux, aucun rythme, mise en scène ridicule, non vraiment rien de bien! A fuir!! A croire que j'aime me faire mal, j'suis resté jusqu'au bout!
    asheline2911
    asheline2911

    3 abonnés 300 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 juillet 2012
    je n'attendais à un point de vue des domestiques sur la révolution à versailles, pas aux fantasmes d'une lectrice à la reine, que le personnage jouer par Seydoux pense être son amie ! c'est un grand délire lesbien ou la reine vit une relation avec la Poliniac, et la Seydoux qui est totalement subjugé par Marie-A ! Malgrè les beaux costumes et la beauté de Versailles, la confusion de certaines scènes, le fait qu'on passe du coq à l'âne et les dialogues baragouinés et parfois incompréhensibles, et enfin une fin en demi-teinte,ce film tiré du livre de Chantal Thomas ne convainc pas !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 31 mars 2012
    Quelle déception. Étant friand de ce genre d'univers je me suis ennuyé à mourir. Film sans intérêt, nous aurions mérité un biopic de qualité sur un tel personnage. Des facettes ne sont pas traités c'est bien dommage
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