Derniers Avis : Les Adieux à la reine - Page 25

Quel ennui. Histoire plate et creuse. Actrice principale sans subtilité : même expression de visage en permanence, elle récite son texte plus qu'elle ne le joue, aucune subtilité ni émotion. Quand l'actrice principale n'est pas crédible, il est très dur d'entrer dans le film. Quelques acteurs secondaires, jouent mieux et sauveraient la mise si on les voyait plus souvent.

La magnificence "décor" (Versailles) et les costumes somptueux ne sauvent pas une histoire plate et superficielle.

On ne comprend pas ce que disent les acteurs le scénarion est minable. Film sans aucun intérêt.

A l'heure de la débâcle, il faut fuir en hâte, c'est la fin d'un monde. Les Adieux à la reine nous plongent dans cette semaine décisive qui a vu éclore la Révolution Française, par les yeux d'une servante de la Reine. Alors qu'actuellement nous connaissons en temps réel le moindre fait d'actualité sur la surface du globe, l'information circulait bien moins vite en 1789. Il faut plusieurs heures avant de connaître les événements parisiens à Versailles, plusieurs jours pour en prendre la mesure et réagir. C'est sur ce réalisme que repose la tension palpable de ce film pas comme les autres.

Nous faire vivre la chute de la monarchie au sein même du Château de Versailles à travers le regard d’une jeune fille, lectrice au service de la reine Marie-Antoinette et fascinée jusqu’à l’aveuglement par cette dernière, était a priori une bonne idée. Hélas, les failles du scénario et ses faibles enjeux dramatiques ne réussissent pourtant pas à faire ressentir au spectateur les craquelures irréversibles de ce monde de privilégiés qui est en train de se déliter. Les multiples intervenants du récit s’entrecroisent vainement et il faudra attendre le subterfuge monstrueux que propose la reine à Sidonie pour soudainement être piqué au vif. Le problème est que cette résurgence de l'esprit intervient à dix minutes de la fin par ailleurs abrupte de ce film. Face à un gynécée d’actrices de talent, c’est pourtant le vétéran et excellent Michel Robin qui retient toute l’attention. Malgré l’indéniable qualité de la mise en scène, la partition musicale d’excellente facture composée par Bruno Coulais, ces « Adieux à la Reine » déçoivent de la part d’un Benoît Jacquot que l’on a connu plus inspiré.

Dans les couloirs de Versailles, ce qui aurait pu être appelé la face caché de la reine et bien n'est pas des plus passionnantes. Certes la reconstitution historique est bien faite et les actrices croient en ce qu'elles font mais l'aventure ne vas pas plus loin. L'ennuie gagne le spectateur facilement.

J'ai trouvé ce film ennuyeux, il n'a pas retenu mon attention et j'ai dormi par moments. C'est dommage car j'aime cette période, j'aime l'histoire de cette reine. L
e jeu des actrices sonnait faux, je n'y ai pas cru.

Je me suis souvent ennuyé pendant ce film "très féminin" cependant Virginie Ledoyen, Diane Gruger et Lea Seydoux jouent à merveille leur rôle. Elles sont belles, justes, étranges et mystérieuses bien aidés par des dialogues bien écrits...

J'aime: le fait de retrouver ce moment le plus important de l'histoire française vécu par les gens de Versailles. J'aime pas: le scénario est un peu plat, on ne sait pas grand chose de la vie du personnage principal. Même s'il s'agit d'un parti pris.

Benoit Jacquot a décidé de faire un film sur la célèbre Marie Antoinette vu par une servante en totale admiration pour elle. Sauf que quelque chose a changé, et oui notre Marie Antoinette c'est éprise d'une femme. Je n'ai pas accroché à l'histoire que nous a proposé le réalisateur, de plus la prestation des acteurs est moyenne, on à l'impression qu'il ne sont pas vraiment dedans. Je m'attendais à mieux.

On attend une fresque intimiste où se mêlent l’Histoire et le récit du rapport entre une reine de France et sa lectrice. Au bout du compte on a droit à un téléfilm historique digne d’un samedi après midi sur France 3.

Qu’on résume quelques mois d’une Révolution en 3 jours (14, 15 et 16 juillet 1789) ne prête pas à conséquence mais qu’on enferme Marie-Antoinette dans un rôle de lesbienne obsédée par son amour pour Mme de Polignac est pour le moins pathétique. [...]
Bien sur j’avais oublié de vérifier, avant, le nom du réalisateur : Benoit Jacquot pour qui l’esthétisme prime sur tout et qui n’a jamais hésité à balancer l’Histoire et le récit au profit d’une qualité photographique. Comme de nombreux artistes vieillissant le réalisateur s’abandonne avec délice à son obsession non seulement pour le corps des jeunes femmes mais aussi pour leurs relations saphiques. Il construit un film exclusivement féminin où la vieillesse est synonyme de vilénie. La caméra se fait voyeuse au travers des yeux de Léa Seydoux pour découvrir le corps (sublime) de Virginie Ledoyen et de Diane Kruger qu’il fait baver d’envie devant une Lea Seydoux mise à nu. Elle poursuit son cheminement jusqu’à la scène voulue centrale par le réalisateur : le baiser saphique entre les deux actrices… Soit ! [...] Le positif dans tout ça ? Et bien c’est esthétiquement une réussite : Versailles c’est beau et les actrices sont belles ; voilà tout.

La totalité de la critique sur le site IGTBB http://itsgoodtobeback.com/2012/03/j’ai-vu-les-adieux-a-la-reine/

Sans grand intérêt à part la beauté des costumes et des décors.

beau décors, belles actrices, mais que ressort on de ce film as part avoir été proche d'une reine, et quelle reine !!!

un peu soporifique quand même .

Film inégal ... De très bonnes actrices mais une adaptation ratée du bouquin, on y a fait les mauvaises coupes l histoire passe mal ... Dommage. La réalisation hésite beaucoup entre ci et ça, et la musique me manque ... Les filles sont très bien cependant ce qui rend le tout "ok-ish". Mais pas un grand film. Dommage, elles le méritaient bien

Marie-Antoinette est de loin la reine de France qui a été la plus mise en scène au cinéma. De Norma Shearer à Kirsten Dunst, en passant par Michèle Morgan et bien d'autres. Fascinant personnage, dont la personnalité semble comme décalée dans sa propre époque et dont la fin tragique en fait une sorte de Rock star sacrifiée sur l'autel de ses propres vanités. Si elle est au centre du dernier film de Benoît Jacquot, entre splendeur et décadence, le cinéaste a eu le bon goût, en s'appuyant sur le livre de Chantal Thomas, d'élargir son propos au Versailles de juillet 1789, qui, tel le Titanic, prenait eau de toutes parts. Une petite souris, la lectrice de la reine, nous guide dans les couloirs de la cour. Pour une fois, nous ne voyons pas que les ors et les lambris, mais aussi le cloaque des antichambres et l'obscurité des couloirs où l'on devine qu'une odeur nauséabonde devait régner. Cette lectrice donc est une jeune fille candide qui ne sait plus distinguer le rêve de la réalité, en pâmoison devant Marie en toilettes, témoin des amours supposées de sa majesté et de la duchesse de Polignac. Les adieux à la reine est admirable par le foisonnement de ses personnages, son aspect charnel et charnu, sa mise en scène nerveuse qui lui donne des allures de thriller sentimental. Peu importe que la réalité historique soit respectée à la lettre, le film pop de Sofia Coppola en était encore plus éloignée, c'est une oeuvre passionnante et incarnée qui, d'ailleurs, aurait pu durer une bonne heure de plus. Léa Seydoux, superbe, y gagne ses galons de grande actrice ; Diane Kruger est tout simplement royale ; Virginie Ledoyen, dans un rôle minuscule, personnifie à merveille l'objet du désir. Ce trio de charme est un vrai palais des grâces.

Je crains de ne pas partager l'enthousiasme de Première et de la presse en général à propos de ce nouveau film de Benoït Jacquot; réalisateur qui ne m'est pas indifférent puisqu'il à la même date de naissance que moi ! Bref, je m'attendais effectivement à un film avec beaucoup plus d'envergure à la hauteur du poids historique des personnages et de l'importance des événements qui ont tout simplement vu naitre en France, quelques années plus tard, la 1ère République rien que ça. Bon effectivement on savait que ce film n'était pas une reconstitution de la révolution française mais plutôt le récit des trois jours qui ont suivi la prise de la Bastille, du côté de la cour à Versailles et plus particulièrement autour de Marie-Antoinette et de sa lectrice Sidonie Laborde; un récit basé sur le livre de Chantal Thomas s'intitulant.....Les adieux à la reine.
Je pensais naïvement que Benoit Jacquot arriverait à nous proposer une autre vision de la révolution française vu par, tout aussi captivante avec d'autres enjeux et d'autres intérêts. Malheureusement, le film a vraiment du mal à nous emporter et ne nous offre pas toute l'intensité historique de cette période, celle à qui on doit la fin de la monarchie absolu de droit divin.
Et ce malgré la présence d'une actrice exceptionnelle comme Diane Kruger qui est magistrale en Marie-Antoinette, reine autoritaire qui a toute la cour à ses pieds. Le film se concentre néanmoins beaucoup plus sur Sidonie Laborde alias Léa Seydoux qui est le personnage principal autour duquel le film tourne, entre ses vraies ou fausses copines servante, son travail à la cour et son admiration sans limite pour une reine capricieuse.
Je pense que ce passage de notre histoire méritait enfin un gros film digne de ce nom, un film de 2H30, avec des centaines de figurants, un peuple en révolte et une monarchie en perdition, un roi à la déroute face à la gronde populaire, une musique lourde avec tambours et cymbales, un contraste avec la dureté du monde rural et les privilèges de la cour.
Tout ceci ne nous est que trop suggéré et l'histoire de ce film repose uniquement sur les états d'âmes de deux femmes qui voient leur destin basculer.
Un 2.5 étoiles quand même pour les superbes interprétations de la magnifique Diane Kruger et de Léa Seydoux, et aussi pour les costumes et les décors qui nous fascinent toujours autant (Versailles, les perruques, les robes, les collants...). Rare au cinéma, Virgine Ledoyen en revanche ne fait pas vraiment sensation....

Je me suis beaucoup ennuyé dans ce château à suivre une histoire à laquelle je n'ai pas cru une seconde, rien vn'a retenu mon intérêt, j'ai même failli m'endormir... La présence de Léa Seydoux n'arrangeant rien puisque je n'ai jamais compris l'intérêt qu'il y avait autour de cette comédienne qui ne dégage rien... Par chance Virginie Ledoyen, que je n'aime pas, ne fait que de la figuration... Je n'ai vu aucun génie qui puisse être associé à ce film.... Seul, le marchand de sable, est passé par là !!