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    Les Adieux à la reine
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    floramon
    floramon

    81 abonnés 1 423 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juin 2019
    Je me suis ennuyée tout au long du film, je ne comprend pas l'intérêt du film malgré les décors et costumes plaisants qu'on a déjà vu dans plusieurs films d'époque, l'histoire n'est pas captivante, à éviter.
    SansCrierArt
    SansCrierArt

    54 abonnés 420 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 décembre 2012
    La nouvelle de la prise de la Bastille, ce 14 juillet 1789, vient perturber la vie insouciante et fantasque de la Cour de Versailles. Rapidement au cours des journées du 15 et 16 juillet, la panique gagne le château et les courtisans de la Reine et son Roi.

    Benoit Jacquot nous fait revivre ces évènements à travers le regard de Sidonie, la très dévouée et énamourée lectrice de la Reine. Par ce regard, on perçoit parfaitement le basculement de ce monde machiavélique entre insouciance et ignominie. On découvre aussi les conditions de vie au château, les dédales de la ruche qu'est le palais, les amitiés-amoureuses féminines de Marie-Antoinette.
    Léa Sédoux tient le film de bout en bout aidée par Diane Kruger plus vraie que nature en Marie-Antoinette et une série de seconds rôles tous parfaits : Noémie Lovsky, Pierre Robin, Dominique Reymond, Xavier Beauvois, Virginie Ledoyen...
    Le rythme est haletant, l'éclairage à la bougie amplifie l'atmosphère fantasmagorique et crépusculaire, la mise en scène vise juste. Un très beau film.
    Aussi sur http://zabouille.over-blog.com
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 mars 2012
    Très beau film sur le pouvoir des sentiments, vécu comme une malédiction à l'un des moments les plus troubles de l'histoire de France.
    -Vinz-
    -Vinz-

    38 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 mai 2012
    Une belle réalisation, mais qui ne me passionne pas...
    Lanaa_
    Lanaa_

    22 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 février 2014
    Pas beaucoup d'action, je me suis vite ennuyée. Heureusement qu'il y a les décors et les costumes qui apportent de belles images.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 avril 2012
    Excellent film, intelligent, touchant, qui colle aux basques de son ingénue héroïne, au milieu d'un Versailles désincarné, sale, pauvre même. Remarquable interprétation, Léa Seydoux bien sûr, mais aussi les seconds rôles (mention spéciale à Julie Marie Parmentier et le formidable Michel Robin)
    Marie-Saphire Von HANOVER
    Marie-Saphire Von HANOVER

    18 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 novembre 2016
    J'ai regardé deux fois ce film dans Le mois tellement il m'a plu, et J ai enchaîne ensuite avec d'autres romans de Chantal Thomas. Benoît Jacquot a réussi à ramener dans le présent cette mémoire du passé que l'on lit dans les romans de C. Thomas. Le petit monde que formait Versailles avant la chute de la monarchie sert de point de vue original dans cette histoire qui raconte un événement central de l histoire de France , la prise de la Bastille . Lea Seydoux rentre si bien dans le personnage de Sidonie Laborde... elle est parfaite dans cette lectrice de la reine soumise par sa naissance à une obéissance qui finit par tant d'admiration et d'amour que j'ai pu lire dans les critiques qu'elle était amoureuse de la reine. Je ne suis pas d'accord je trouve que c'est plus une relation de dévotion qui devait existait dans la monarchie entre Le peuple et la noblesse. La reine en use d'ailleurs de manière perverse, elle la caresse, elle la séduit et va même jusqu'à mettre sa vie en jeu. C'est l'illustration de l'exercice du droit de vie ou de mort sur le peuple qui se retourne contre cette royauté avec cet évènement historique relate dans le film image avec la liste des têtes à couper qu'on voit circuler dans les couloirs de Versailles .
    Le reste du casting est aussi très agréable à regarder notamment Virginie Ledoyen en Gabrielle de Polignac, Noémie Lvovsky très bien en Mme Campan, Diane Krüger en reine de France et Michel Robin en Mr Moreau. Mais même si le personnage de Marie- Antoinette est très complet je ne sais pas si on peut se permettre de lui inventer une homosexualite ... c'est un peu loin de la vérité historique et en même temps ce film a quelque chose de très réel , c'est beaucoup plus qu'une reconstitution historique.
    Les dialogues finissent de nous remémorer ce 18 e siècle avec parfois quelques anachronismes très rafraîchissants .
    C'est dommage que Lea Seydoux n'est pas reçu de prix pour ce film elle le méritait bien et Benoît Jacquot a choisi des plans qui épousent si bien son visage et son corps que ça en est très émouvant .
    klap2fin
    klap2fin

    17 abonnés 376 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 septembre 2012
    Les prémices de la révolution française vues depuis Versailles, à travers le prisme de la vie au quotidien de la lectrice officielle de la reine et de ses divers états d’âmes suscités par l’amour impossible qu’elle lui porte. L’ambiance de relative panique contenue à la cour du roi est, je pense, plutôt bien évoquée, mais on reste cependant très loin d’une reconstitution fidèle de ce qui a dû réellement se passer durant ces moments décisifs. Le film volontairement lent est néanmoins agréable à voir pour peu que l’on aime les évocations historiques de cette période de l’histoire de France et ses petits secrets d’antichambres. Une œuvre bien réalisée, au très bon casting et aux interprétations parfaites, mais qui manque du petit quelque chose qui aurait pu en faire un bon film.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    632 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2012
    Une histoire de coeur révélatrice et sensible de l'une des premières figure féminine excentrique de l'Histoire : Marie Antoinette, déjà visitée par Sofia Coppola il y a quelques années. Narré sous le point de vue de sa liseuse adorée et toute dévouée, Sidonie Laborde, "Les adieux à la reine" retrace une histoire d'amour déchirante et impossible dans les jours suivants le 14 juillet 1789, prise de la Bastille par le peuple ; le basculement d'un monde, d'une époque. Le personnage central, réservé et attentif, simplement interprété par Léa Seydoux, observe avec effroi ces changements auprès de la reine Marie Antoinette, à laquelle elle fait la lecture et pense obstinément. Diane Kruger est époustouflante dans le rôle ambiguë de cette star du XVIIIéme siècle, à la fois extrêmement tendre et attachante et parfois imprévisible et cruelle. Elle délivre une prestation riche en émotion et captivante. Le scénario laisse deviner la tension qui règne à la cour, la décrépitude des lieux et la sensibilité foisonnante chez les aristos. Benoît Jacquot filme brillamment ce panelle de femmes par de nombreux gros plans tremblotants et saisit justement les bribes de l'Histoire, le contexte, si bien qu'on l'éprouve comme un suspense. La musique vient d'ailleurs participer au mystère, soulève la tension sans étouffer les émotions des actrices. Amoureuse désespérément de la reine, ambiguïté partagée, cette jeune liseuse est prête à tout pour prouver son dévouement à la reine qui n'hésite pas à abuser de son pouvoir de manipulation. Virginie Ledoyen, peu présente mais au rôle déterminant, sème le trouble au sein de cette relation et va y marquer le point final. L'intrigue, fidèle à l'Histoire, est pleine de rebondissements. Je ne me suis pas ennuyé, contrairement à ce que j'aurais pu penser, les films d'auteur, et encore plus d'Histoire me bottent pas du tout, mais là, la débauche des sentiments et la splendide Diane Kruger m'ont conquis. Simple remarque : j'avoue que je me serais passé des quelques scènes où Seydoux se casse la gueule, ça n'apportait rien et rendait la scène ridicule (c'était peut-être très psychologique comme choix mais j'ai pas compris), heureusement il n'y a que ça qui m'a gêné...
    alain-92
    alain-92

    318 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2012
    Trait d’union entre un beau livre et un film parfaitement réussi, un scénario bien écrit, souvent percutant et qui sonne toujours juste. Même si certains passages du livre sont ici occultés, comme les préparatifs de la fuite de toute la coterie des Polignac ou le va et vient incessant des nobles affolés, Benoît Jacquot réussit parfaitement ses Adieux à la Reine. Un Versailles pas si reluisant que celui montré à maintes reprises, peut étonner. Mais la documentation est poussée, et la reconstitution fidèle à cette vie en dehors de la réalité de celle du pays. Pas un film de plus sur la reine Marie Antoinette, mais une vision qui démontre avec une évidente connaissance de l’Histoire les jours qui ont suivi la prise de la Bastille par ces "habitants" de Versailles totalement ignorants de la vie des parisiens. Les lumières magnifiques, les costumes et les décors parfaitement reconstitués complètent la réalisation de ce beau moment de cinéma. Mais il y a plus … Un casting magnifique du rôle principal à la simple participation. Il serait injuste d’en citer une ou un, par égard à l’ensemble des acteurs qui contribuent tous à la réussite du film. Du grand et beau cinéma. http://cinealain.over-blog.com/article-les-adieux-a-la-reine-99254518.html
    Fabien S.
    Fabien S.

    544 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 décembre 2020
    Un très bon film de Benoît Jacquot sur la reine Marie Antoinette incarnée brillamment par Diane Kruger.
    Shawn777
    Shawn777

    584 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 septembre 2019
    Ce film, réalisé par Benoît Jacquot et sorti en 2012, n'est pas mal mais sans plus. Le film est adapté du roman homonyme de Chantal Thomas mais ne l'ayant pas lu, je ne peux pas savoir si le film en est fidèle ou non. Le film raconte en tout cas ici les quelques jours autour du 14 juillet 1789 et plus précisément la fuite de certains nobles de Versailles. Je précise que je ne suis pas féru d'Histoire en général mais j'avoue qu'ici, le film en lui-même m'intriguait, ainsi que son sujet. Même si je n'en ai pas été spécialement déçu car je n'en attendais pas grand-chose, je l'ai tout de même trouvé dans l'ensemble assez plat. C'est assez dommage car l'histoire qui y ai racontée est pourtant intéressante, à la fois d'un point de vue historique et cinématographique. Même si le film mélange fiction et réalité, notamment avec de personnage de Sidonie Laborde, on en apprend tout de même un peu plus sur le comportement de la Reine et sur ses relations. Comme je l'ai précisé plus haut, je ne m'y connais pas vraiment en Histoire et je ne peux donc pas savoir si le film est très représentatif de la réalité et notamment des personnages. Enfin bon, malgré tout, je trouve l'intrigue ici un peu plate car mis-à-part fuir Versailles, il n'y a pas vraiment de but et on se demande quelques fois vers quoi le film veut nous emmener. Et puis au final, l'histoire se termine assez brutalement sans réellement d'explications vers la suite des évènements, mis-à-part un petit discours de trois phrases (enfin en ce qui concerne Sidonie). Le film est également dans l'ensemble assez mou et sonne trop film d'auteur à la française, nous n'avons finalement pas grand chose entre les larmes et les grands discours. La réalisation n'est quant à elle pas trop mal et le cadre est magnifique. En ce qui concerne les acteurs, nous avons principalement Léa Seydoux, Diane Kruger et Viriginie Ledoyen qui jouent très bien. "Les Adieux à la reine" n'est donc pas si extraordinaire que ça.
    cristal
    cristal

    177 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 février 2012
    Comme toujours chez Benoit Jacquot, l'exploration d'un siècle perdu tiens plus à la recherche d'une substance visuelle et cérébrale qu'à la consistance d'une dramaturgie fondée sur l'expression des sentiments humains. Pourtant l'un, par définition, traite de l'autre. Tout comme son travail de metteur en scène d'opéra ; trouver une matière esthétique et rythmique à un récit déjà créé et porté par la musicalité - voir son "Werther" joué à Bastille en 2010. Dans "Les Adieux à la reine", adapté de l'écrivain Chantal Thomas, son ambition semble être tout simplement de transposer cette démarche à un décor nouveau, déployé, celui de la Cour de Versailles, à partir d'un matériau romanesque déjà développé dans le livre, ou la relation mystérieuse de fascination et de haine d'une jeune lectrice dévouée pour sa Reine. Comme tout cinéaste un minimum talentueux, Benoit Jacquot ne rate pas LE plan du film ; un baiser saphique échangée entre la Reine et la servante endossant subitement le rôle de Gabrielle de Polignac, la figure féminine causant le trouble sexuel et identitaire de Marie-Antoinette alors même que le pouvoir s'effondre après la prise de la Bastille. Tandis que Sidonie, la jeune servante et fidèle lectrice de la Reine, vit à genoux face à l'icône qu'elle sert, le film développe une manipulation des apparences ; Sidonie, jeune et naïve, se croit préférée des autres aux yeux de Marie-Antoinette. Mais cette dernière, cruauté ultime du pouvoir et de l'amour, va se servir peu à peu de Sidonie pour sauver la vie de Gabrielle, la femme qu'elle aime en secret. De ce triangle amoureux entre femmes, gardé sous silence pendant tout le film, ne subsiste donc que ce plan magnifique où les lèvres d'une femme de l'ombre se posent sur celles d'une femme de la lumière et du pouvoir qui y voit la projection, par le costumage identique, de l'être aimée. Le plan, simplement effleuré et forcément hyper-sensuel puisqu'il est le point d'orgue féminin d'une tragédie sourde, prouve la vitalité du cinéma de Benoit Jacquot quand il s'agit d'être simplement confronter à l'évidence. Malheureusement son langage, de plus en plus, semble à tout prix se contenter d'être anti-expressif, d'être 'pensé' , raide et ancré dans une vieille tradition de film costumé français. Chaque comédien - à l'exception de la fascinante Léa Seydoux - semble ne pas rentrer dans ses costumes ; ni Diane Kruger n'atteint la dimension forcément sacralisée de la Reine que nous partageons par le regard de Sidonie, ni Noémie Lvovsky ne se départit de ce rôle de patronne que le cinéma français lui a maintes fois offert jusqu'à la caricature, et encore moins Xavier Beauvois, dernier venu d'un petit groupe d'amis-réalisateurs dont l'expression de comédiens frise définitivement le grotesque. Tout dans "Les Adieux à la reine" pâtit de cette petite foi en un cinéma privé, fait par un cercle de connaissances qui pourtant n'appartiennent pas du tout à l'imagerie attendue d'une reconstitution. Certes c'est peut-être là la modernité que l'on accorde à Benoit Jacquot mais sa direction d'acteurs est à ce point austère et définitive dans sa volonté de redonner au corps la fonction d'une marionnette et à la voix celle d'un son brut et sans contours que son film est immédiatement figé dans une sensation de 'Faux' permanent. La rigueur de sa vision de metteur en scène dément les vrais pouvoirs de la fiction historique comme de sa réalité ; le film ne semble jamais assez romanesque et cinématographique, et paradoxalement, il ne semble jamais assez juste et concevable. On ne croit ni à l'invention d'une mascarade et d'un déguisement de Sidonie qui acceptera héroïquement, mais dans l'ombre, de se faire passer pour Gabrielle de Polignac, autant que les détails plus précis comme les chorégraphies de scène de groupe ou de figurants qui ne semblent jamais être autre chose justement qu'une illusion, celle d'une reconstitution. Ce monde qui vacille, cette Reine sur le déclin, cette jeune Sidonie troublée par la mort si proche de celle à qui elle lit quelques lignes de Marivaux, la vie dans le château, les ombres troublantes qui animent les regards entre servant et servi, tout dans le film n'est qu'une vaste mise en scène plaquée image par image, séquence par séquence. Il y a à ce sujet une superbe scène où enfin la réalisation semble se fondre dans la matière recherchée, et c'est le seul moment remarquable du film, où à l'annonce de la liste des décapités dans un des couloirs du château, les pensionnaires et les serviteurs s'activent en pleine nuit, entre hystérie silencieuse et effroi. Les flammes dansent dans des couloirs bruns magnifiquement éclairés, les silhouettes frôlent les murs à n'en plus finir, il y a là un mouvement vital dans un endroit mort, restreint, une atmosphère de vie de château, quelquechose d'enfin vrai, d'enfin conquis. Le reste ne semble être qu'une vaine carcasse dévidée et c'est à la fin que l'on croit que le film commence. Las! Ce sont déjà les adieux.
    Parkko
    Parkko

    159 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2012
    Prenez le rendez-vous en Février 2013 pour voir ce film dans les Césars. Au moins dans la catégorie Meilleurs costumes. Bref, à travers l'Histoire, Benoît Jacquot nous offre une vision plus féministe de la Révolution française - enfin n'exagérons rien, il n'est pas là question d'Histoire mais de fiction principalement -. On y voit un Versailles qui sombre, à la dérive, face à des personnages qui semblent plus préoccupés par leurs propres vies que par ce qu'il se noue véritablement. Mais c'est terriblement vrai tout ça. J'ai pas été non plus chamboulé par ce film, mais je reconnais ses qualités.
    Thierry M
    Thierry M

    160 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 mars 2012
    Tres penible ce film , malgres l' effort des actrices , cela est bien pale, seul Lea Seydoux s' en sort bien.
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