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    Les Adieux à la reine
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    416 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 mars 2012
    Les adieux à la reine" de Benoît Jacquot, adaptation du roman éponyme de Chantal Thomas, est portée par Léa Seydoux comme l'étaientt "La vie de Marianne", "La fille seule" par Virginie Ledoyen. Le personnage de Sidonie fait office de caméra se faufilant partout. Ledoyen a dit de Jacquot qu'il aimait à filmer des acteurs en train de jouer leurs personnages : c'est confirmé. D'ailleurs on trouve dans ce film pléthore d'acteurs, dont certains d'un grand âge qu'un sujet contemporain, hélas, reléguerait aux clichés. La mise en scène est très bonne, l'angle complètement inédit. On apprend sur les usages et codes de l'époque tout en ressentant de manière intérieure la tension et l'atmosphère de chaos, de fin imminente qui menacent les sujets. La musique de Bruno Coulais est superbe et est un personnage à lui tout seul. Par contre on peut regretter les inclinations de Jacquot à ne faire tourner le film qu'autour d'UNE actrice. Le film tourne autour de Seydoux comme "La désenchantée" tournait autour de Godrèche (etc). Etant donné l'importance qu'il avait apportée à Ledoyen qui portait deux de ses films on est étonné de la fugacité de celle-ci dans "Les adieux à la reine" -et on attend toujours le retour de celle-ci qui n'avaient enchaîné que les films marquants dans les années 90.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 mai 2012
    Benoît Jacquot rejoint le mouvement du téléfilm sur grand écran
    coup de gueule au cinéma de paresseux.
    LIRE TOUTE LA CRITIQUE SUR : http://pelliculart.canalblog.com/archives/2012/05/15/24271040.html
    Eselce
    Eselce

    1 396 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 mars 2017
    Il m'a été agréable de retrouver Versailles et son château. Les costumes et les accessoires sont assez justes. Quant aux acteurs, ils récitent au départ, puis leur jeu s'affine à mesure de l'intrigue : Les derniers jours de la monarchie française dont l'on ressent, ici, qu'elle coule depuis longtemps et que rien n'aurait pu l'éviter. Ici, la reine et sa servante sont présentées comme indécentes et ayant un certain penchant pour le sexe faible et la lecture tandis que le personnel du château s'attend à piller les lingeries et bijoux de la reine. Je trouve que le film manque terriblement d'ambition et ne présente d'intérêt que pour ses décors et costumes. Il n'y a pas grand chose à voir en dehors de quelques pièces et vues extérieures du château. Très décevant !
    loulou451
    loulou451

    120 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2014
    Avec les "Adieux à la reine", on est bien loin ici des superproductions historiques qui fleurissent ici et là à grands renforts d'effets spéciaux. Prenant le contre-pied de la grande histoire, Benoît Jacquot s'attache ici à l'intime, à la quotidienneté de ce monde à l'agonie, qui en trois jours, passe de vie à trépas. C'est par ce petit bout de la lorgnette que l'exceptionnelle Léa Seydoux nous fait pénétrer, touche après touche, dans l'intimité de la reine et l'histoire, cette fois-ci, avec un grand A. Car c'est là tout le génie de ce film, proposer au spectateur un raccourci de l'histoire qui emmène avec lui plus de 1.500 ans de monarchie française. Un excellent film.
    Akamaru
    Akamaru

    3 098 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 septembre 2012
    Encensé à peu près partout,ce film d'auteur historique,certes pétri de qualités,souffre largement de ne pas valoriser son cadre et son histoire,et de se complaire dans le minimalisme.Explications.Benoît Jacquot suit pas à pas la jeune liseuse de Marie-Antoinette les 3 jours précédant la chute de Versailles.On comprend assez vite que le cinéaste de la femme parle d'un sujet bien actuel:la vie par procuration,les premiers émois amoureux,la naïveté bafouée.Sous cet angle,"les Adieux à la reine" est parfaitement réussi.Le regard froid et envieux de Léa Seydoux se heurtant au maniérisme et au narcissisme toqué de Diane Kruger(la souveraine idéale,tant par ses origines germaniques que par son âge).Mais(il était attendu!),Jacquot ne parle ni de la Révolution en marche,ni de véritables intrigues de cour.Le manque de matière narrative finit par lasser,et même si l'on admire sa caméra portée et son style aussi réaliste que naturaliste,il faut avouer que c'est insuffisant.Je sais qu'on n'est pas chez Sofia Coppola,mais Jacquot manque l'opportunité de sortir du carcan auteuriste,pour livre une oeuvre plus populaire,ou du moins plus tourmentée.
    elbandito
    elbandito

    344 abonnés 964 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 avril 2012
    Si les actrices sont bonnes et les costumes et décors somptueux, les derniers jours de Marie-Antoinette à Versailles vus par Benoît Jacquot sont d’un inintérêt absolu, tant sur le plan historique qu’intimiste. Des adieux à la fois sensuels et soporifiques effectués par Léa Seydoux, impeccable jeune lectrice, qui a construit sa vie sur les bases d’un dévouement total et absolu à sa Reine, Diane Kruger, parfaite elle aussi dans ce rôle...
    landofshit0
    landofshit0

    275 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 décembre 2012
    Sans être réellement passionnante,cette histoire d'amour dans une France en plein chamboulement,puisque l'action se déroule pendant la révolution française,ne doit son intérêt qu'a la mise en scène de Benoit Jacquot,car le reste et tout même plutôt approximatif.Notamment les pièces vidés de tout leurs accessoires.Si Jacquot veut montrer la mauvaise hygiène de l'époque avec un rat mort et quelques autres petits détails.Tout ça peine à convaincre,vu que les décors ressemblent à des musées aseptisés sans la moindre trace de vie,n'arrivant qu'a rendre tout ça que factice.Des acteurs en perruques posés dans des lieux historiques,nettoyés au karcher par les petits hommes verts de la ville de paris.C'est le niveau zéros question reconstitution historique.
    Julien D
    Julien D

    1 199 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2012
    Jusqu’ici le seul film à avoir traité la page la plus glorieuse de l’histoire de notre pays, la Révolution de 1789, (LA MARSEILLAISE, Jean Renoir, 1937) se focalisait sur des insurgés du sud de la France. C’est à croire que la fin de la monarchie et les causes de notre fête nationale n’ont jamais inspirées les cinéastes hexagonaux. Benoit Jacquot, en adaptant le roman de Chantal Thomas, met en image cet événement d’un point de vue inattendu, celui d’une fervente lectrice au service de la reine Marie-Antoinette qui voit vivre ces trois jours à Versailles. Outre cette approche originale, la réussite provient de l’image pleine de réalisme et peu affichée lors des visites de l’ancien château royal autour de la vie très rude des serviteurs de l’aristocratie dans les latrines du palais. Cette opposition aux appartements, jardins et autres salons chastes de la classe dirigeante fait de Versailles une image de cette société coupée en deux mais où ici, contrairement à l’extérieur où l’insurrection a débuté, le manque de respect envers les maitres est inenvisageable. La ferveur de la jeune et naïve Sidonie envers la monarque donne un sentiment de fatalisme tragique à cette reconstitution pleine de réalisme alors que sa découverte de la passion de la reine pour la duchesse de Polignac lui insuffle un ton romanesque au récit et créer une sorte de triangle amoureux inavoué source d’une sensualité poignante. Dans ces splendides décors et ces costumes taillés sur mesure, Léa Seydoux, pleine de grâce, nous offre une prestation inoubliable qui rend ce film aussi majestueux qu’émouvant.
    Acidus
    Acidus

    721 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mars 2012
    "Les adieux à la reine" traite de manière originale les jours succédant à la prise de la Bastille en sa faisant à travers le regard d'une domestique de la reine. Le rendu vaut le coup d'oeil puisque l'époque, parfaitement restranscrite, immerge le spectateur dans la folie des couloirs de Versailles et la peur ressentie par ses habitants. Les acteurs tiennent parfaitement leur rôle et je ne peut que saluer, en particulier, la performance de Léa Seydoux. Je regrette toutefois une mise en scène trop faiblarde qui n'est pas à la hauteur d'une tel projet et un rythme qui s'essouffle dans de rares moments.
    Nyns
    Nyns

    215 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2015
    Un film d'actrices. L'histoire on la connait, nous sommes à l'avant veille du 14 juillet 1789, date à laquelle la France a marqué son histoire, la révolution. La lorgnette est du côté de la noblesse, enfin plus exactement de la lectrice de la reine Marie Antoinette, amoureuse de celle ci en secret. On peut facilement être déçu de ces oeillères volontaires que nous colle le réalisateur, mais le film est axé comme cela. C'est une histoire d'amour impossible en fait. Léa Seydoux, étoile montante du cinéma français, ne signe pas ici sa meilleure prestation. Un peu trop fade, on ne lui en aurait pas voulu d'être plus expressive. Mais la magnifique Diane Kruger quant à elle, crève l'écran dans ce rôle de reine acculée.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    276 abonnés 2 880 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2019
    Incursion plutôt réussie dans le film en costumes pour Benoît Jacquot, avec ces portraits de femmes qui s'entrecroisent, à l'aube de la Révolution française. Beaucoup de sobriété dans la mise en forme de l'intrigue, où les silences en disent souvent plus long. Les actrices sont bien dirigées et investissent pleinement leur rôle, la mise en images est impeccable. En soi, le scénario ne fait pas la révolution dans son genre, ce serait même un peu trop basique, mais le film constitue un bel exercice de style, classieux et à méditer.
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 avril 2012
    Magnifique film. Ce sont les trois jours -clé de juillet 1789, vus à Versailles à partir du quartier des domestiques. De la table de cuisine où se retrouvent, pour le petit déjeuner ou le dîner, femmes de chambre, valets et gardes. Des arrière couloirs délabrés et crasseux où l'on se rencontre pour aller aux informations, où la domesticité croise ces aristocrates qui vivent dans des appartements miteux, incrustés dans le Chateau comme des bulôts -pour le seul bonheur d'être près du Roi, et de le voir, de temps en temps! Ce Versailles vu des coulisses, c'est formidable. Il y a une vie extraordinaire dans cette peinture -on nous montre rarement cet espèce de mixage social dans un chateau surpeuplé-, et on pense forcément à Que la fête commence, Benoit Jacquot met le même soin que Tavernier à la reconstitution historique qui fait que l'on s'y croit, aux vêtements, aux lumières; et il y pose ce même oeil -faussement- détaché.

    Sidonie, l'exquise Lea Seydoux avec son visage encore enfantin est la lectrice d'une reine qui, à vrai dire, ne prise guère la lecture (à part Marivaux, peut être) parce qu'elle préfère feuilleter ses catalogues de mode. Diane Kruger représente à merveille Marie Antoinette; qu'elle lui ressemble n'est peut être pas exact, mais elle a le même morphotype, visage étroit aux traits fins, gracieux, aimable, et en même temps sec, fermé. Egoïste, capricieuse, exigeante -le réalisateur ne l'a pas gâtée.... Le postulat du film, c'est qu'elle éprouvait une grande, une irrésistible passion pour Gabrielle de Polignac (Virginie Ledoyen) un de ses mauvais génies -probablement pas concrétisée, d'ailleurs. Sur les tendances saphiques de la Reine, les historiens ne s'accordent pas. Moi, je l'imagine plutôt complètement frigide, écrasée par une mère trop intelligente et trop forte, puis livrée trop jeune aux assauts infructueux d'un mari tout aussi jeune, et de plus peu aidé par la nature. Il y a de quoi vous couper toute libido, non?

    16 juillet, les nouvelles en provenance de Paris, même parcellaires, sont alarmantes, la Reine prépare une fuite à Metz en faisant dessertir ses bijoux, les premiers carosses démarrent en catastrophe, petites bonnes et aristocrates s'en vont dépendre l'épouse d'un des bûlots qui s'est suicidée.... chacun s'agite, on va d'une grille à l'autre, pour voir passer le Roi et ses frères, supputer ce qui se passe....

    Sidonie aime passionnément la reine. Orpheline, sans amoureux, elle a reporté tous ses sentiments sur cette femme -déesse, pour laquelle elle est prête à tout. Industrieuse, on la suit courant, on la suit trottant, souvent de dos, dans les cours et les couloirs. Quelquefois, elle s'étale, d'ailleurs.... Cette reine qui va lui demander, égoïstement, comme toujours, un énorme sacrifice pour sauver sa chère Gabrielle, que le peuple déteste entre tous. Elle s'en va, sans savoir qu'elle ne la reverra plus.

    Toute la distribution est magnifique, de Noemie Lvovsky, Madame Campan, à l'archiviste Moreau Michel Robin, en passant par les petites femmes de chambre, Julie-Marie Parmentier, Lolita Chammah. Xavier Beauvois est un Louis XVI plutôt terne, mais au physique vraiment pas très Bourbon....

    Benoit Jacquot a fait récemment pour l'Opéra de Paris une mise en scène de Werther simple, lisible, belle, à contre courant des délires du Regietheater; il vient maintenant de réaliser un beau, beau, grand film français.
    Audrey L
    Audrey L

    639 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 mai 2017
    Vivement recommandé, lentement décevant. C'est avec la meilleure volonté que l'on s'attend à un film plein d'émotions (des "adieux" laissent au moins présager quelques séquences sentimentales) si ce n'est un brin historique. Mais ni l'un ni l'autre, Les Adieux à la reine se révèle être purement soporifique. Aucune émotion tant espérée dans le jeu des acteurs (Kruger et Seydoux en tête, que l'on a connu bien plus en forme ailleurs...), une histoire très libre sur le plan de la grande Histoire, et un néant d'action (rien, pas un combat, une course-poursuite ou même un petit mouvement brusque pour réveiller le spectateur...). La presse n'a, avec tout mon respect, apparemment pas vu le même film que moi. Sans les critiques spectateurs, j'aurais eu peur d'être passée à côté d'un film passionnant. De grandes attentes, un ennui ferme.
    Jo D
    Jo D

    28 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2012
    Histoire ô combien cruelle qui nous permet de suivre les 3 jours suivant la Révolution française du 14 juillet 1789 au travers du regard d'une liseuse, Sidonie Laborde (incarnée par une Léa Seydoux complètement habitée par le rôle), au service de la Reine Marie-Antoinette. Période difficile et fatale à la cour du roi magnifiquement mise en scène par Benoit Jacquot. Beaucoup aurait pû être tenté de se positionner dans la peau de Marie-Antoinette, mais l'effet de surprise et le résultat final aurait été largement en deçà de ce qu'on aurait pu attendre.
    Les décors et les costumes sont somptueux, l'ambiance décontractée par moment ne fait que renforcer le plaisir que l'on peut prendre à regarder ce film.
    Les actrices secondaires (Diane Kruger, Virginie Ledoyen, sans oublier Noémie Lvovsky) témoignent toutes d'une justesse incroyable. Les émotions très changeantes et versatiles de la Reine sont d'ailleurs très bien marquées par D.Kruger.
    spoiler: La scène finale où Sidonie, pourtant toujours fidèle à la Reine, se fait humilier par celle-ci quand elle lui demande d'être un "appât" afin de protéger Gabrielle de Polignac sur la route de la Suisse est tout simplement terrifiante.

    La fin est brutale, on aurait eu envie d'en redemander encore un peu, voir comment B.Jacquot aurait traité la suite de l'histoire. Mais faut avouer qu'on serait un peu sorti du cadre. Les adieux à la Reine avaient déjà été faits...

    En tout cas nous avons là pour moi le premier grand film français de l'année 2012. L'année est encore longue, mais sans trop m'avancer je pense que quelques nominations aux César seront décernés à ce film, dont assurément Léa Seydoux dans la catégorie de la meilleure actrice. Rendez-vous dans 1 an pour vérifier.
    Housecoat
    Housecoat

    123 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 février 2018
    Bien, au moins j'aurais rattrapé mon retard de sommeil. Les Adieux à la Reine est d'un ennui proportionnellement inverse à son absence total d'intérêt. Si le but est de nous montrer la panique de la population de Versailles suite au soulèvement populaire de la Prise de la Bastille, pourquoi ne se concentrer que sur des relations étroites entre Marie-Antoinette et des personnages inintéressants dont tout le monde se fiche ? Son soi-disant saphisme n'était ni une caractérisation majeure de cette personne ni la rumeur la plus connue à son égard et qui de toute façons n'a eu importance dans sa vie publique ni dans sa chute. Quelle perte de temps de ne la juger que de ce point de vu. Quelle perte de temps de tout nous montrer de façon minimaliste que du point de vue d'une servante qui n'a que comme seul trait de personnalité d'être attirée par la reine. Quelle perte de temps de mettre comme fil rouge principal sa jalousie envers une proche que l'on ne connaît ni d'Adam ni d’Ève. Comme un aveu d'échec, Benoît Jacquot nous dira involontairement à la moitié du film et dans sa conclusion que l'on ne sait rien de la femme que l'on a suivit pendant une heure et que l'on ne se souviendra pas d'elle alors qu'il ne s'est encore rien passé d'important. Exactement comme ce film qui fait parler des éléments tellement dérisoires et délaissant tellement la révolution qui se passe à côté que je vais très rapidement l'oublier. Quand il ne se passe rien, on ne dit rien, c'est aussi simple que ça.
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