Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Excessif
par Romain Le Vern
Parfaite "Apollonide", rose sur un tas de fumier et reine du royaume en tête d'une distribution en or, Léa Seydoux possède cette carnation pâle des filles en fleurs, filmée amoureusement par Benoît Jacquot. Grâce à elle, il signe l'un de ses plus beaux films (...).
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Eric Libiot
(...) un chef-d'oeuvre. (...) Le film est passionnant parce qu'il saisit le mouvement de l'Histoire en lui collant aux chausses sans faire de lyrisme pompeux. (...) Le film est touchant parce que tous les comédiens (Seydoux, Kruger, Ledoyen, Beauvois...) y sont à leur juste place. Une merveille (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
Un film magnifique qui se déroule sur trois jours. "Les Adieux à la reine" se passent hier mais parlent peut-être d'aujourd'hui. (...) Drame intime, affaires publiques. Une sacrée réussite.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Benoît Jacquot s'empare de Marie-Antoinette et de Versailles dans une oeuvre très belle, très chère, vibrante et sensuelle, captant avec une incroyable intensité le basculement d'un monde. Disons-le d'emblée : "Les Adieux à la reine" est un film virtuose et majestueux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
S'emparant de l'histoire au présent, Benoît Jacquot orchestre un face-à-face cruel entre Léa Seydoux et Diane Kruger, et signe l'un de ses meilleurs films.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Benoit Jacquot n'a pas son pareil pour transformer en spectacle palpitant et gracieux ce petit théâtre machiavélique du désir et de ses détours. Il réussit cette fois à le projeter dans un paysage tout aussi chaotique mais plus ample. La collision est fracassante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gérard Lefort
Une débâcle misérable et mesquine, assez jubilatoire par sa mise en scène cruelle et crépusculaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Léa Seydoux, convaincante de bout en bout, tout comme ses consoeurs d'ailleurs, endosse au pas de charge cette admirable fin de règne qui n'est pas sans en rappeler une autre.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Théo Ribeton
Benoît Jacquot, à bien des égards, sort le film en costumes de sa sclérose. [...] La finesse de l'approche historique, loin des convenances maniérées de l'intrigue amoureuse, vaut à elle seule qu'on retienne bien ces "Adieux".
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Laure Beaudonnet
Un trio de comédiennes que l'on n'avait jamais vu aussi bien jouer au service d'un récit foisonnant et presque toujours passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Florence Ben Sadoun
Ce film, adapté du livre de Chantal Thomas, est un pur ravissement pour le regard et l'esprit.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Benoît Jacquot signe un film au charme entêtant comme un parfum qui mêle à la vie quotidienne foisonnante les signaux secrets de l'histoire, annonçant un changement d'époque.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Ce climat incertain, Benoît Jacquot l'aiguise et le sublime savamment autour de l'amour reliant trois femmes, entre admiration et perversité, tendresse et célébrité. Il lui confère ainsi une résonance aussi savoureuse qu'actuelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
La pauvre Sidonie (...) finit par ne plus distinguer le rêve de la réalité. C'est le motif central de ce beau film qui abolit en même temps la frontière qui sépare le songe du cauchemar (...) [et] qui s'affranchit miraculeusement des corsets, amidon et postiches de la reconstitution historique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir le site du Point
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Marianne
par Danièle Heymann
La reine ou le symbole chancelant d'un monde qui s'effondre : tout est dit, avec une élégance... royale.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La rédaction
Épatante Léa Seydoux au regard froid et déterminé (...) [et une] souveraine imprévisible et égocentrique racontée par une lumineuse Diane Kruger.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Jean-Loup Bourget
Le dialogue trouve le ton juste en combinant les tournures (...) désuètes et les expressions plus (...) modernes. La musique de Bruno Coulais (...) accompagne l'action comme si elle était contemporaine. Voici une oeuvre qui allie la densité à la finesse.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
Cinéaste de la femme, Jacquot met en scène une cour inédite, pas moins fascinante que celle des grands hommes, qui nous fait découvrir les alcôves et les cuisines, les patrons (...) et le crochet. Il filme surtout passionnément Léa Seydoux (...) dans le plus beau rôle de sa jeune carrière (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
Benoit Jacquot livre une oeuvre intemporelle sur la complexité des sentiments portée par des actrices magnifiques, loin des codes attendus du film historique en costumes.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Aurélien Férenczi
Le soin apporté à chaque second rôle (...) donne vie à cette apocalypse sous les ors et sert à merveille ce qui passionne Benoit Jacquot : l'élégant décorticage de la psyché d'une jeune fille. Sans anesthésie, avec humour : délectable vivisection !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
"Les Adieux à la reine" perd sur les deux tableaux : trop loin de son prétexte (la Révolution), pas assez près de son horizon réel (une affaire de couloirs amoureux), il en devient presque aussi aveuglé que son héroïne, figure passive qui n'a pas le coup d'oeil et l'intuition des vrais bons témoins.
Excessif
Parfaite "Apollonide", rose sur un tas de fumier et reine du royaume en tête d'une distribution en or, Léa Seydoux possède cette carnation pâle des filles en fleurs, filmée amoureusement par Benoît Jacquot. Grâce à elle, il signe l'un de ses plus beaux films (...).
L'Express
(...) un chef-d'oeuvre. (...) Le film est passionnant parce qu'il saisit le mouvement de l'Histoire en lui collant aux chausses sans faire de lyrisme pompeux. (...) Le film est touchant parce que tous les comédiens (Seydoux, Kruger, Ledoyen, Beauvois...) y sont à leur juste place. Une merveille (...).
L'Humanité
Un film magnifique qui se déroule sur trois jours. "Les Adieux à la reine" se passent hier mais parlent peut-être d'aujourd'hui. (...) Drame intime, affaires publiques. Une sacrée réussite.
La Croix
Benoît Jacquot s'empare de Marie-Antoinette et de Versailles dans une oeuvre très belle, très chère, vibrante et sensuelle, captant avec une incroyable intensité le basculement d'un monde. Disons-le d'emblée : "Les Adieux à la reine" est un film virtuose et majestueux.
Les Fiches du Cinéma
S'emparant de l'histoire au présent, Benoît Jacquot orchestre un face-à-face cruel entre Léa Seydoux et Diane Kruger, et signe l'un de ses meilleurs films.
Les Inrockuptibles
Benoit Jacquot n'a pas son pareil pour transformer en spectacle palpitant et gracieux ce petit théâtre machiavélique du désir et de ses détours. Il réussit cette fois à le projeter dans un paysage tout aussi chaotique mais plus ample. La collision est fracassante.
Libération
Une débâcle misérable et mesquine, assez jubilatoire par sa mise en scène cruelle et crépusculaire.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Léa Seydoux, convaincante de bout en bout, tout comme ses consoeurs d'ailleurs, endosse au pas de charge cette admirable fin de règne qui n'est pas sans en rappeler une autre.
Critikat.com
Benoît Jacquot, à bien des égards, sort le film en costumes de sa sclérose. [...] La finesse de l'approche historique, loin des convenances maniérées de l'intrigue amoureuse, vaut à elle seule qu'on retienne bien ces "Adieux".
Ecran Large
Un trio de comédiennes que l'on n'avait jamais vu aussi bien jouer au service d'un récit foisonnant et presque toujours passionnant.
Elle
Ce film, adapté du livre de Chantal Thomas, est un pur ravissement pour le regard et l'esprit.
Le Figaroscope
Benoît Jacquot signe un film au charme entêtant comme un parfum qui mêle à la vie quotidienne foisonnante les signaux secrets de l'histoire, annonçant un changement d'époque.
Le Journal du Dimanche
Ce climat incertain, Benoît Jacquot l'aiguise et le sublime savamment autour de l'amour reliant trois femmes, entre admiration et perversité, tendresse et célébrité. Il lui confère ainsi une résonance aussi savoureuse qu'actuelle.
Le Monde
La pauvre Sidonie (...) finit par ne plus distinguer le rêve de la réalité. C'est le motif central de ce beau film qui abolit en même temps la frontière qui sépare le songe du cauchemar (...) [et] qui s'affranchit miraculeusement des corsets, amidon et postiches de la reconstitution historique.
Le Point
Voir le site du Point
Marianne
La reine ou le symbole chancelant d'un monde qui s'effondre : tout est dit, avec une élégance... royale.
Ouest France
Épatante Léa Seydoux au regard froid et déterminé (...) [et une] souveraine imprévisible et égocentrique racontée par une lumineuse Diane Kruger.
Positif
Le dialogue trouve le ton juste en combinant les tournures (...) désuètes et les expressions plus (...) modernes. La musique de Bruno Coulais (...) accompagne l'action comme si elle était contemporaine. Voici une oeuvre qui allie la densité à la finesse.
Première
Cinéaste de la femme, Jacquot met en scène une cour inédite, pas moins fascinante que celle des grands hommes, qui nous fait découvrir les alcôves et les cuisines, les patrons (...) et le crochet. Il filme surtout passionnément Léa Seydoux (...) dans le plus beau rôle de sa jeune carrière (...).
Télé 7 Jours
Benoit Jacquot livre une oeuvre intemporelle sur la complexité des sentiments portée par des actrices magnifiques, loin des codes attendus du film historique en costumes.
Télérama
Le soin apporté à chaque second rôle (...) donne vie à cette apocalypse sous les ors et sert à merveille ce qui passionne Benoit Jacquot : l'élégant décorticage de la psyché d'une jeune fille. Sans anesthésie, avec humour : délectable vivisection !
Cahiers du Cinéma
"Les Adieux à la reine" perd sur les deux tableaux : trop loin de son prétexte (la Révolution), pas assez près de son horizon réel (une affaire de couloirs amoureux), il en devient presque aussi aveuglé que son héroïne, figure passive qui n'a pas le coup d'oeil et l'intuition des vrais bons témoins.