Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Ecran Large
par Sandy Gillet
La forme est aussi intéressante et fait preuve d'une intelligence de regard peu commune dans le " genre ".
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Excessif
par Sophie Wittmer
[Daniel Auteuil] apporte à son personnage une incroyable profondeur qui imprègne "La Mer à boire", également transcendé par l'interprétation des comédiens qui l'entourent et lui donnent la réplique avec une étonnante sincérité. Un film d'une noirceur tranchante.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Marianne
par Danièle Heymann
Aujourd'hui, ,rattrapé par une réalité méchante, [le propos de Jacques Maillot] est devenu encore plus pertinent et sensible. Voici Daniel Auteuil qui est Georges avec une belle tristesse active, on ne l'avait pas vu aussi présent, aussi vivant depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
L'Humanité
par Dominique Widemann
Jacques Maillot réussit un personnage principal que Daniel Auteuil a su habiter d'une belle densité. (...) Mais l'ensemble tient trop à l'orchestration d'une démonstration qui tente de tout rassembler. Personnages et situations se trouvent ainsi souvent ramenés à des archétypes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Un drame social au postulat intéressant car conçu entièrement du point de vue d'un patron, mais d'apparence caricaturale. Or, malgré quelques ambiguïtés idéologiques, le film se termine dans une confusion... lucide.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Franck Garbarz
Maillot travaille intelligemment une pâte humaine fragile, écrasée par la violence sociale du monstre informe qu'incarne la mondialisation.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Daniel Auteuil, lui, trouve là un de ses meilleurs rôles depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Théo Ribeton
On s'ennuie vite de ce film assez machinal voire agaçant, porté par un Daniel Auteuil sans surprise.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
(...) cette "Mer à boire" vire à la panne sèche.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le jeu approximatif de certains jeunes comédiens et des situations très appuyées n'incitent pas à vouloir sauver ce qui peut l'être, notamment la justesse du constat.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Entre personnages archétypaux (...), une virée inutile en Russie et une fin ratée, c'est tout le film qui prend l'eau malgré ses bonnes intentions.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Noémie Luciani
En dehors d'une parenthèse amoureuse russe qui constitue pour le spectateur le point culminant de l'embarras, le film se construit selon une mécanique lassante de temps morts verbeux et de colères.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Hubert Lizé
Avec un solide Auteuil à la barre, ce mélodrame social exhale un attachant parfum seventies à la Sautet. Pourquoi a-t-il fallu que le réalisateur (...) envoie tout couler par le fond avec cette ultime séquence parfaitement grotesque? Mystère.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
La description des stratégies propres à couler ce patron à l'ancienne est précise et captivante. Mais trop de maladresses (notamment dans la peinture des antagonismes sociaux et du monde ouvrier) et une mise en scène un peu terne empêchent le film de convaincre tout à fait.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La rédaction
(...) n'est pas Ken Loach qui veut. La faute d'abord à un scénario mal foutu au possible. Pourtant Daniel Auteuil y met toute sa conviction. (...) Mais cette prestation ne parvient pas à maintenir à flot une embarcation qui coule peu à peu.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Stéphanie Lamome
Dommage, aussi, que le scénario (...) abandonne en cours de route des personnages prometteurs associés à des sous-intrigues significatives.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
L'air du temps, Jacques Maillot le capte d'abord habilement (...).Le cinéaste enferme chaque personnage dans le malheur et abat une chape de plomb sur toutes ces vies broyées. Le catastrophisme tenant lieu de discours, le scénario devient impossible. Et le film perd tout son crédit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Que "La Mer à boire" s'achève par un coup de force et de sang ne le dédouane pas de sa certaine soumission bonhomme à ce qu'il dénonce.
Ecran Large
La forme est aussi intéressante et fait preuve d'une intelligence de regard peu commune dans le " genre ".
Excessif
[Daniel Auteuil] apporte à son personnage une incroyable profondeur qui imprègne "La Mer à boire", également transcendé par l'interprétation des comédiens qui l'entourent et lui donnent la réplique avec une étonnante sincérité. Un film d'une noirceur tranchante.
Le Point
Voir le site du Point.
Marianne
Aujourd'hui, ,rattrapé par une réalité méchante, [le propos de Jacques Maillot] est devenu encore plus pertinent et sensible. Voici Daniel Auteuil qui est Georges avec une belle tristesse active, on ne l'avait pas vu aussi présent, aussi vivant depuis longtemps.
L'Humanité
Jacques Maillot réussit un personnage principal que Daniel Auteuil a su habiter d'une belle densité. (...) Mais l'ensemble tient trop à l'orchestration d'une démonstration qui tente de tout rassembler. Personnages et situations se trouvent ainsi souvent ramenés à des archétypes.
Les Fiches du Cinéma
Un drame social au postulat intéressant car conçu entièrement du point de vue d'un patron, mais d'apparence caricaturale. Or, malgré quelques ambiguïtés idéologiques, le film se termine dans une confusion... lucide.
Positif
Maillot travaille intelligemment une pâte humaine fragile, écrasée par la violence sociale du monstre informe qu'incarne la mondialisation.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Daniel Auteuil, lui, trouve là un de ses meilleurs rôles depuis longtemps.
Critikat.com
On s'ennuie vite de ce film assez machinal voire agaçant, porté par un Daniel Auteuil sans surprise.
L'Express
(...) cette "Mer à boire" vire à la panne sèche.
La Croix
Le jeu approximatif de certains jeunes comédiens et des situations très appuyées n'incitent pas à vouloir sauver ce qui peut l'être, notamment la justesse du constat.
Le Journal du Dimanche
Entre personnages archétypaux (...), une virée inutile en Russie et une fin ratée, c'est tout le film qui prend l'eau malgré ses bonnes intentions.
Le Monde
En dehors d'une parenthèse amoureuse russe qui constitue pour le spectateur le point culminant de l'embarras, le film se construit selon une mécanique lassante de temps morts verbeux et de colères.
Le Parisien
Avec un solide Auteuil à la barre, ce mélodrame social exhale un attachant parfum seventies à la Sautet. Pourquoi a-t-il fallu que le réalisateur (...) envoie tout couler par le fond avec cette ultime séquence parfaitement grotesque? Mystère.
Les Inrockuptibles
La description des stratégies propres à couler ce patron à l'ancienne est précise et captivante. Mais trop de maladresses (notamment dans la peinture des antagonismes sociaux et du monde ouvrier) et une mise en scène un peu terne empêchent le film de convaincre tout à fait.
Ouest France
(...) n'est pas Ken Loach qui veut. La faute d'abord à un scénario mal foutu au possible. Pourtant Daniel Auteuil y met toute sa conviction. (...) Mais cette prestation ne parvient pas à maintenir à flot une embarcation qui coule peu à peu.
Première
Dommage, aussi, que le scénario (...) abandonne en cours de route des personnages prometteurs associés à des sous-intrigues significatives.
Télérama
L'air du temps, Jacques Maillot le capte d'abord habilement (...).Le cinéaste enferme chaque personnage dans le malheur et abat une chape de plomb sur toutes ces vies broyées. Le catastrophisme tenant lieu de discours, le scénario devient impossible. Et le film perd tout son crédit.
Cahiers du Cinéma
Que "La Mer à boire" s'achève par un coup de force et de sang ne le dédouane pas de sa certaine soumission bonhomme à ce qu'il dénonce.