Votre avis sur My Movie Project ?
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Je viens de voir ce film et voici ma critique qui est aussi une réaction à la critique de Haycem.
Oui j'ai vu avant la bande annonce, oui je savais que ce n'était pas un film "intelligent" mais ce qui est montré dans la bande annonce est très soft par rapport au film entier.
On s'attend à bien rigoler, on ne pense pas que ce film puisse être aussi honteux,
Je suis pourtant très bon public, j'aime tous les genres de film mais là franchement c'est une insulte pour le cinéma.
Comment oser dépenser de l'argent pour faire une horreur pareille ?
5 personnes présentes sur 12 dans la salle sont parties avant la fin et elles ont eu raison car plus le film avance, pire c'est.
Oui j'ai vu avant la bande annonce, oui je savais que ce n'était pas un film "intelligent" mais ce qui est montré dans la bande annonce est très soft par rapport au film entier.
On s'attend à bien rigoler, on ne pense pas que ce film puisse être aussi honteux,
Je suis pourtant très bon public, j'aime tous les genres de film mais là franchement c'est une insulte pour le cinéma.
Comment oser dépenser de l'argent pour faire une horreur pareille ?
5 personnes présentes sur 12 dans la salle sont parties avant la fin et elles ont eu raison car plus le film avance, pire c'est.
mais ç'est quoi ce film???? non mais sérieusement! on nous prend vraiment pour des idiots! on nous colle un casting de rêve pour attirer! mais ça ne vaut pas 1 clou! Hugh jackman avec une paire de testicules sur la gorge... on aura tout vu, mais on s'en serait bien passé...
humour pipi caca à souhait: couille, caca, menstruations, masturbation...tout y passe de maniere tres deguelasse de surcroit
(...) My Movie Project n’est autre qu’un bric-à-brac à l’intérêt plus que douteux dans lequel personne, ni les réalisateurs, ni les acteurs, ne semble prendre le moindre plaisir à être présent devant comme derrière la caméra. Si même eux ne parviennent pas à croire en cette foutaise… Une belle arnaque dans les règles de l’art qui ne mise que sur les noms reconnaissables sur une affiche et oublie le plus important : avoir une âme.
Je savais un peu ce que j'allais voir mais c'était pire encore que ce que je croyais.
Je pensais que c'était tout de même plus sérieux et drôle.
Un réalisateur hollywoodien complètement taré a écrit plusieurs petites histoires débiles, dégoûtantes, pas drôles du tout, insultantes, et ce qui est encore plus incompréhensible c'est que des acteurs connus, appréciés et réputés, aient accepté de tourner dans ce film, si on peut appeler ça un film.
C'est une insulte au cinéma.
Je pensais que c'était tout de même plus sérieux et drôle.
Un réalisateur hollywoodien complètement taré a écrit plusieurs petites histoires débiles, dégoûtantes, pas drôles du tout, insultantes, et ce qui est encore plus incompréhensible c'est que des acteurs connus, appréciés et réputés, aient accepté de tourner dans ce film, si on peut appeler ça un film.
C'est une insulte au cinéma.
Quand j'ai vu la bande annonce pour la première fois je me suis "enfin une comédie politiquement incorrect qui a l'air d'oser et de n'avoir peur de rien" et si d'un côté il est clair que c'est le cas, il va tellement loin que ça en devient pitoyable, l'adjectif qui convient le mieux pour ce My Movie Project (pourquoi ne pas avoir garder Movie 43 ?!?). Je n'ai pas l'habitude de donner une telle note à un film, je pars du principe que si je dois en venir là, c'est qu'on est très proche du navet et qu'il n'y a strictement rien à retenir de ce que je viens de visionner, avec un casting aussi bien fourni en stars et en acteurs talentueux, on était en droit de s'attendre à un bon film, pas à une (attention coup de gueule) merde pareille, comment a-t-on pu autoriser ce truc à sortir en salle ?!? Il ne mérite même pas un direct-to-dvd c'est dire ! Aucun sketch n'est à la hauteur et leurs trop grand nombre donne un arrière goût d'inachevé à ceci (surtout concernant les premiers), on change d'histoire toutes les 5 minutes sans connaître la fin du sketch ni le pourquoi du comment, les personnages sont inintéressants en plus d'être parfois mal joué (en même temps je vois très mal comment on peut donner vie à ça) et les transitions entres ceux-ci sont ratés et totalement débiles, c'est elles qui sont censées constituer l'histoire de ce navet, et à quel histoire nous avons droit !!! Deux adolescents attardés font appel à ce qui semble être un pro de l'ordinateur pour trouver un film qui n'existe pas (une diversion afin que l'un des deux pirate l'ordinateur du "geek") mais qui en fait existe, et ces sketchs sont en fait le résultat des recherches des abrutis sur internet. Mais ce qui manque le plus au long-métrage est bien sur l'humour car se faire un tatouage de b*te sur le visage ou encore voir un chat rêver de ba*ser avec son maître (pour ne citer que ça) ne s'appelle pas de l'humour mais du mauvais-goût, et, à ce niveau-là My Movie Project en atteint le summum. En plus d'être extrêmement lourd il met aussi mal à l'aise surtout dans le sketch avec Naomi Watts et Liev Shreiber où on voit un jeune se faire bizuter par son père, se faire voler sa copine par ce même parent et se faire embrasser sur la bouche par sa mère, tout ça afin de lui apprendre ce qu'est la vie de lycéen, en un mot : désespérant (le sketch pas la vie de lycéen). Seul le court bêtisier du générique à réussi à me faire sourire (un exploit), plus que le reste du film en tout cas.
Allez ne vous faites pas de mal et ne perdez pas votre temps à regarder ce film, restez-en à la bande annonce, bien plus marrante que le long-métrage (là au moins c'est pêchu et les gags ne tombent pas à l'eau), regardez plutôt Ted qui, avec le même type d'humour est beaucoup plus réussi et n'est pas obligé de jouer sur la surenchère de gros mots pour tenter de faire sourire.
Allez ne vous faites pas de mal et ne perdez pas votre temps à regarder ce film, restez-en à la bande annonce, bien plus marrante que le long-métrage (là au moins c'est pêchu et les gags ne tombent pas à l'eau), regardez plutôt Ted qui, avec le même type d'humour est beaucoup plus réussi et n'est pas obligé de jouer sur la surenchère de gros mots pour tenter de faire sourire.
un des plus gros navets que j'ai jamais vu
incroyable malgré la pleyade d'acteurs
du 36ème degrés peu etre , mais je trouve que cela ne fonctionne pas du tout
incroyable malgré la pleyade d'acteurs
du 36ème degrés peu etre , mais je trouve que cela ne fonctionne pas du tout
En ce mercredi de folie médiatique autour de la sortie de SUPERMAN, j’ai été voir MY MOVIE PROJECT
car je suis toute la carrière de Kate Winslet depuis TITANIC en 1998.
En dehors de quelques pages de pub dans la presse, aucun média – même les journaux gratuits-
ne signale et ne chronique la sortie de ce film qui va vite être retiré de l’affiche au bout d’une semaine !
PREMIÈRE Massacre le film comme quoi il a même été renié par ses comédiens !
Grosse surprise, alors que Kate n’avait plus sa voix française de TITANIC de Anneliese Fromont depuis 3-4ans (même pour les films évènements de 2009), elle l’a retrouve !
Comme je m’y attendais, si le sketch Winslet-Jackman est très bon et original,
la suite est très inégale avec des sketches profondément débiles, vulgaires, cochons et répugnants !
Les pets et le pipi-caca ça va un moment mais là il y avait de quoi dégueuler dans la salle !
J’ai bien aimé les séquences avec les super-héros et celle avec Seann William Scott et Johnny Knoxille.
Je me suis demandé si c’était bien eux : je ne les avais pas revu dans un film depuis SHÉRIF FAIS-MOI PEUR à l’été 2006 et Seann est devenu bouffi et obèse...
Quant à Johnny il a une tête de cancéreux !!!
Les 1h35 sont bien longues et le générique final qui n’en finissait pas m’a laissé une impression très mitigée, surtout qu’on ne revoit plus Kate qu’au générique de fin quelques secondes grâce à une scène ratée.
Mais qu'est-ce que ces comédiens sont allés faire dans cette galère ?!
1 / 10
car je suis toute la carrière de Kate Winslet depuis TITANIC en 1998.
En dehors de quelques pages de pub dans la presse, aucun média – même les journaux gratuits-
ne signale et ne chronique la sortie de ce film qui va vite être retiré de l’affiche au bout d’une semaine !
PREMIÈRE Massacre le film comme quoi il a même été renié par ses comédiens !
Grosse surprise, alors que Kate n’avait plus sa voix française de TITANIC de Anneliese Fromont depuis 3-4ans (même pour les films évènements de 2009), elle l’a retrouve !
Comme je m’y attendais, si le sketch Winslet-Jackman est très bon et original,
la suite est très inégale avec des sketches profondément débiles, vulgaires, cochons et répugnants !
Les pets et le pipi-caca ça va un moment mais là il y avait de quoi dégueuler dans la salle !
J’ai bien aimé les séquences avec les super-héros et celle avec Seann William Scott et Johnny Knoxille.
Je me suis demandé si c’était bien eux : je ne les avais pas revu dans un film depuis SHÉRIF FAIS-MOI PEUR à l’été 2006 et Seann est devenu bouffi et obèse...
Quant à Johnny il a une tête de cancéreux !!!
Les 1h35 sont bien longues et le générique final qui n’en finissait pas m’a laissé une impression très mitigée, surtout qu’on ne revoit plus Kate qu’au générique de fin quelques secondes grâce à une scène ratée.
Mais qu'est-ce que ces comédiens sont allés faire dans cette galère ?!
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Inutile d'écrire une critique plus longue, que le scénario : ce film est une sombre bouse, absolument rien à sauver !.
sans queue ni tête, enfin si, des queues, y'en a... un film pipi-caca-bite-couilles-nichons qui vole vraiment pas haut....
très déçu par ce film !
très déçu par ce film !
Ben le film est nul de chez nul, à ras les pâquerettes, humour de gamin, ou humour débile. Le réalisateur a pris les acteurs renommés, afin que le public se dise à ben s'il y a : Gerard Butler, Kate Bosworth, Kristen Bell, Halle Berry, Elizabeth Banks, Kieran Culkin, Josh Duhamel, Anna Faris, Richard Gere, Terrence Howard, Hugh Jackman, Greg Kinnear, Johnny Knoxville, Justin Long, Dennis Quaid, Chris Pratt, Seann William Scott, Emma Stone, Uma Thurman, Naomi Watts, Kate Winslet...etc...ben c'est que le film doit être bon, voir super. Mais les acteurs n'ont rien à voir, ils jouent ce qu'on leur demande d'interprété, l'idée, le concept est nul, mais nul, en-dessous de médiocre. C'est plus de petites histoires sex, pipi-caca, nichons, mais dans l'aberration, le scato. Au début voir Hug Jackman avec des couilles sous le menton, c'est rigolo, mais au bout d'un moment, assez vite d'ailleurs on part dans l'humour lourd, mais très, très lourd ! Je me suis même endormi pendant le film tellement que ça partait dans l'esprit maternelle. Et même après le générique vous avez un petit film avec Josh Duhamel et Elizabeth Banks, ou il est question du chat de Josh, chat virtuel, qui se masturbe devant des photos de lui. Cela peut faire penser au vieux films français Tarzoon La Honte De LA Jungle des années 1980. Mais là, on a vraiment envie de d'arrêter. Donc, non, déçu !
Une vraie punition visuelle et mentale.
Le Citizen Kane du stupide!
Le Citizen Kane du stupide!
Sorti aux US dans l'indifférence générale face aux poids lourds des Oscars « Happiness Therapy » « Django Unchained » « Zero Dark Thirty » ou encore « Les Misérables », « My Movie Project » (Movie 43 en Version Originale) débarque seulement maintenant chez nous, timidement face au triomphe assuré « Man of Steel ».
Ce film à sketches bénéficie pourtant de l'une des plus prestigieuses distributions d'ensemble jamais rassemblées au cinéma, avec notamment Richard Gere, Halle Berry, Gerard Butler, Anna Faris, Hugh Jackman, Justin Long, Kristen Bell, Elizabeth Banks, Kate Bosworth, Johnny Knoxville, Christopher Mintz-Plasse, Seth MacFarlane, Chris Pratt, Chloë Grace Moretz, Dennis Quaid, Uma Thurman, Jason Sudeikis, Naomi Watts & Liev Schreiber, Josh Duhamel, Tony Shalhoub, Kieran Culkin, Seann William Scott, Terrence Howard, Emma Stone, Greg Kinnear, Stephen Merchant et Kate Winslet.
« My Movie Project », co-réalisé et produit par Peter Farrelly, fut tourné sur une période de plusieurs années et connut une production chaotique. En effet, plusieurs comédiens, sentant venir le naufrage à des kilomètres, ont vainement tenté de quitter le navire, de Richard Gere à Gerard Butler, sans succès. Tandis que d'autres ont préféré abandonner le projet avant même le début du tournage : George Clooney, mais aussi Colin Farrell.
Synopsis Allociné : Un célèbre acteur d'Hollywood approche un grand studio de cinéma avec une idée de scénario qui, selon lui, a le potentiel de devenir le film le plus rentable au monde. Peter et Bobby Farrelly ont décidé de s'atteler à une comédie dingue et bluffante, réunissant le plus gros casting jamais rassemblé à ce jour …
Éreinté par la critique US (4% d'avis favorables sur le très respectable site « Rotten Tomatoes » et un score de 19/100 sur Metacritic), le qualifiant de « pire film jamais produit », « My Movie Project » est effectivement l'un des plus grands navets de l'histoire du cinéma.
Délaissé sur le tapis rouge par la plupart de ses acteurs – seule Chloë Moretz est venue défendre les couleurs du film au moment de la traditionnelle promo – il faut dire que « My Movie Project » est produit par Ryan Kavanaugh, l'homme derrière quelques bons coups (remember le succès surprise de « Act of Valor » l'an dernier, ou encore le récent « Safe Haven »), mais surtout à la tête de plusieurs bouses immondes comme « Cowboys & envahisseurs », « Le Dernier des templiers », « Skyline », « Kung Fu Nanny », « Baby Mama », « My soul to take », ou encore le troisième volet de la saga « Mon beau-père et ».
L'ensemble des sketchs est réuni autour d'un fil conducteur absurde et incompréhensible – trois adolescents recherchent un film, Movie 43, inventé pour un Poisson d'Avril et durant leur labeur, ils verront quatorze films interdits de diffusion dans certains pays – prétexte à des transitions pataudes entre les différents court-métrages.
Dans « The Catch », segment réalisé par Peter Farrelly, Hugh Jackman se ridiculise en posant littéralement ses couilles sur le visage et attention les yeux, la bouche de Kate Winslet. True Story ! Le Jean Valjean des « Misérables » aurait-il été nommé à l'Oscar du meilleur acteur si « My Movie Project » était sorti avant le 31 décembre 2012 ? Mmmhh, permettons-nous légitimement d'en douter.
« Homeschooled » lui succède. Mis en boîte par Will Graham (créateur et producteur d'une série télé us à succès, « The Onion News Network »), le short film, sans doute le plus drôle de tous, met en scène le couple – à l'écran comme à la ville – Naomi Watts & Liev Schreiber dans le rôle de parendolescents strange qui traumatisent & martyrisent leur progéniture. Pas mal la séance d'auto-dérision !
C'est ensuite au tour de « The Proposition », de Steve Carr, l'auteur de quelques pitreries à l'étonnante notoriété outre-Atlantique « Are We Done Yet ? », « École paternelle », « Next Friday », « Paul Blart, super vigile », ou du déjà plus connu « Dr. Dolittle 2 ». Ce morceau, incroyablement mal fagoté, est axé autour d'une demande un peu particulière et surtout very potache (« Will you poop on me ? ») d'Anna Faris au séduisant Chris Pratt. Surprenant certes (quoique aperçu dans le trailer), mais pas drôle. Rajoutez à cela un t-shirt « Bless this dump », un burritos utilisé comme laxatif, un festival de pets, un geyser d'excréments au milieu de la route et vous obtiendrez un big uppercut au sommet de la vulgarité débilitante.
Le quatrième sketch, « Veronica », signé Griffin Dunne, le type à l'origine des « Ensorceleuses » (le film pas très magique de 1998, oui oui oui), prend pour cadre un supermarché où le jeune Kieran Culkin déblatère des saloperies à la pétillante Emma Stone à l'aide d'un micro branché. M'ouais, bof bof là encore, même si Emma Stone qui jure « Do you still like fingers in your butt hole? », c'est sexuellement parlant plutôt poilant.
Fausse publicité ensuite avec « iBabe », Richard Gere & Kate Bosworth au générique et Steven Brill (« Little Nicky », « Drillbit Taylor, garde du corps ») au poste de réalisateur. Un advertisement court tout d'abord, mais déjanté, pastichant la marque Apple, puis dans un second temps le film en lui-même, présentation d'une poupée gonflable iRéelle pourrait-on dire. Désopilant et grossier une fois de plus.
Ça enchaîne fissa fissa sur « Super Hero Speed Dating », James Duffy aux commandes, Justin Long (« Robin »), Katrina Bowden (« une femme »), Kristen Bell (« Supergirl »), Uma Thurman (« Lois Lane ») , Bobby Cannavale (« Superman »), Leslie Bibb (« Wonder Woman »), John Hodgman (« Le pingouin »), Will Carlough (« Riddler ») et Jason Sudeikis (« Batman ») face caméra. Une idée suffisamment loufoque pour se démarquer, mais résultat pas folichon en dehors des onomatopées, la faute aux répliques écrites à l'arrache sur un coin de nappe et à la chute balourde.
Next One is « Machine Kids », écrit et réalisé par Jonathan Van Tulleken, naze et qui n'a sérieusement rien à foutre en plein milieu.
Elizabeth Banks propose ensuite son premier essai en tant que réalisatrice, « Middleschool Date », faisant intervenir Redmist Christopher Mintz-Plasse, Hit-Girl Chloë Grace Moretz et le jeune Jimmy Bennett (« Otage ») au cours d'un « incident menstruel ». Toujours aussi gras et minable, malgré les têtes d'affiche.
Le fragment suivant, « Happy Birthday », réunit à l'écran le « Jackass » Johnny Knoxville et Steve Stifler alias Seann William Scott (+ Gerard Butler en guest dans le rôle improbable d'un Leprechaun), avec Brett Ratner derrière le magnéto, ça annonce d'ores et déjà la couleur. Du sang, des frères lutins qui castagnent et deux comédiens à paralysie faciale ne sauvent guère l'entreprise. La réplique « I suck cocks for gold coins » de la fée incarnée par le mannequin israélien Esti Ginzburg face aux acteurs ensanglantés rattrape fort heureusement le bloc.
Halle Berry et Stephen Merchant (CV bien garni puisqu'il n'est autre que le co-créateur de « The Office ») interprètent Emily & Donald dans le tronçon « Truth or Dare », piloté par Peter Farrelly. Pétrifié par des dialogues et situations minimalistes, ainsi que par des prothèses ridicules, « Truth or Dare », non seulement ne décolle jamais, mais tombe in finale dans le fichtrement pathétique.
L'antépénultième séquence, « Victory's Glory » est l'œuvre de Rusty Cundieff, un inconnu. Elle met en scène un coach de basket-ball incarné par Terrence Howard, en train de motiver ses joueurs avant un match crucial en leur balançant leurs mensurations péniennes. Consternant !
Enfin, « Beezel » clôture la marche sous forme de scène post-générique, occupée par Elizabeth Banks et Josh Duhamel (qui s'étaient déjà croisés à l'occasion du film choral « Happy New Year ») et dont le cerveau se nomme James Gunn, autrement dit le réalisateur des « Gardiens de la Galaxie » à venir. Elle intronise un personnage cartoonesque – mal incrusté dans le décor – le chat Beezel, source de conflits conjugaux au sein d'un couple en apparence sain. Séquence barjo, mais assez tordante.
Bilan : Ce devait être THE comédie 2013. Hélas plombé par le studio et les acteurs themselves, « My Movie Project » est un summum d'obscénités en tout genre, maladroitement monté et dynamité par des boutades inexpressives et rebutantes. On peine à croire que ce sont les auteurs des fabuleux « Kingpin » et « Deux en un » derrière cette immondice sans queue ni tête, où un adolescent se masturbe en pensant involontairement à sa mère. Quand on pense que cette farce, affreusement embarrassante dans un CV, a tout de même coûté 6 millions de dollars, on rit jaune.
Ce film à sketches bénéficie pourtant de l'une des plus prestigieuses distributions d'ensemble jamais rassemblées au cinéma, avec notamment Richard Gere, Halle Berry, Gerard Butler, Anna Faris, Hugh Jackman, Justin Long, Kristen Bell, Elizabeth Banks, Kate Bosworth, Johnny Knoxville, Christopher Mintz-Plasse, Seth MacFarlane, Chris Pratt, Chloë Grace Moretz, Dennis Quaid, Uma Thurman, Jason Sudeikis, Naomi Watts & Liev Schreiber, Josh Duhamel, Tony Shalhoub, Kieran Culkin, Seann William Scott, Terrence Howard, Emma Stone, Greg Kinnear, Stephen Merchant et Kate Winslet.
« My Movie Project », co-réalisé et produit par Peter Farrelly, fut tourné sur une période de plusieurs années et connut une production chaotique. En effet, plusieurs comédiens, sentant venir le naufrage à des kilomètres, ont vainement tenté de quitter le navire, de Richard Gere à Gerard Butler, sans succès. Tandis que d'autres ont préféré abandonner le projet avant même le début du tournage : George Clooney, mais aussi Colin Farrell.
Synopsis Allociné : Un célèbre acteur d'Hollywood approche un grand studio de cinéma avec une idée de scénario qui, selon lui, a le potentiel de devenir le film le plus rentable au monde. Peter et Bobby Farrelly ont décidé de s'atteler à une comédie dingue et bluffante, réunissant le plus gros casting jamais rassemblé à ce jour …
Éreinté par la critique US (4% d'avis favorables sur le très respectable site « Rotten Tomatoes » et un score de 19/100 sur Metacritic), le qualifiant de « pire film jamais produit », « My Movie Project » est effectivement l'un des plus grands navets de l'histoire du cinéma.
Délaissé sur le tapis rouge par la plupart de ses acteurs – seule Chloë Moretz est venue défendre les couleurs du film au moment de la traditionnelle promo – il faut dire que « My Movie Project » est produit par Ryan Kavanaugh, l'homme derrière quelques bons coups (remember le succès surprise de « Act of Valor » l'an dernier, ou encore le récent « Safe Haven »), mais surtout à la tête de plusieurs bouses immondes comme « Cowboys & envahisseurs », « Le Dernier des templiers », « Skyline », « Kung Fu Nanny », « Baby Mama », « My soul to take », ou encore le troisième volet de la saga « Mon beau-père et ».
L'ensemble des sketchs est réuni autour d'un fil conducteur absurde et incompréhensible – trois adolescents recherchent un film, Movie 43, inventé pour un Poisson d'Avril et durant leur labeur, ils verront quatorze films interdits de diffusion dans certains pays – prétexte à des transitions pataudes entre les différents court-métrages.
Dans « The Catch », segment réalisé par Peter Farrelly, Hugh Jackman se ridiculise en posant littéralement ses couilles sur le visage et attention les yeux, la bouche de Kate Winslet. True Story ! Le Jean Valjean des « Misérables » aurait-il été nommé à l'Oscar du meilleur acteur si « My Movie Project » était sorti avant le 31 décembre 2012 ? Mmmhh, permettons-nous légitimement d'en douter.
« Homeschooled » lui succède. Mis en boîte par Will Graham (créateur et producteur d'une série télé us à succès, « The Onion News Network »), le short film, sans doute le plus drôle de tous, met en scène le couple – à l'écran comme à la ville – Naomi Watts & Liev Schreiber dans le rôle de parendolescents strange qui traumatisent & martyrisent leur progéniture. Pas mal la séance d'auto-dérision !
C'est ensuite au tour de « The Proposition », de Steve Carr, l'auteur de quelques pitreries à l'étonnante notoriété outre-Atlantique « Are We Done Yet ? », « École paternelle », « Next Friday », « Paul Blart, super vigile », ou du déjà plus connu « Dr. Dolittle 2 ». Ce morceau, incroyablement mal fagoté, est axé autour d'une demande un peu particulière et surtout very potache (« Will you poop on me ? ») d'Anna Faris au séduisant Chris Pratt. Surprenant certes (quoique aperçu dans le trailer), mais pas drôle. Rajoutez à cela un t-shirt « Bless this dump », un burritos utilisé comme laxatif, un festival de pets, un geyser d'excréments au milieu de la route et vous obtiendrez un big uppercut au sommet de la vulgarité débilitante.
Le quatrième sketch, « Veronica », signé Griffin Dunne, le type à l'origine des « Ensorceleuses » (le film pas très magique de 1998, oui oui oui), prend pour cadre un supermarché où le jeune Kieran Culkin déblatère des saloperies à la pétillante Emma Stone à l'aide d'un micro branché. M'ouais, bof bof là encore, même si Emma Stone qui jure « Do you still like fingers in your butt hole? », c'est sexuellement parlant plutôt poilant.
Fausse publicité ensuite avec « iBabe », Richard Gere & Kate Bosworth au générique et Steven Brill (« Little Nicky », « Drillbit Taylor, garde du corps ») au poste de réalisateur. Un advertisement court tout d'abord, mais déjanté, pastichant la marque Apple, puis dans un second temps le film en lui-même, présentation d'une poupée gonflable iRéelle pourrait-on dire. Désopilant et grossier une fois de plus.
Ça enchaîne fissa fissa sur « Super Hero Speed Dating », James Duffy aux commandes, Justin Long (« Robin »), Katrina Bowden (« une femme »), Kristen Bell (« Supergirl »), Uma Thurman (« Lois Lane ») , Bobby Cannavale (« Superman »), Leslie Bibb (« Wonder Woman »), John Hodgman (« Le pingouin »), Will Carlough (« Riddler ») et Jason Sudeikis (« Batman ») face caméra. Une idée suffisamment loufoque pour se démarquer, mais résultat pas folichon en dehors des onomatopées, la faute aux répliques écrites à l'arrache sur un coin de nappe et à la chute balourde.
Next One is « Machine Kids », écrit et réalisé par Jonathan Van Tulleken, naze et qui n'a sérieusement rien à foutre en plein milieu.
Elizabeth Banks propose ensuite son premier essai en tant que réalisatrice, « Middleschool Date », faisant intervenir Redmist Christopher Mintz-Plasse, Hit-Girl Chloë Grace Moretz et le jeune Jimmy Bennett (« Otage ») au cours d'un « incident menstruel ». Toujours aussi gras et minable, malgré les têtes d'affiche.
Le fragment suivant, « Happy Birthday », réunit à l'écran le « Jackass » Johnny Knoxville et Steve Stifler alias Seann William Scott (+ Gerard Butler en guest dans le rôle improbable d'un Leprechaun), avec Brett Ratner derrière le magnéto, ça annonce d'ores et déjà la couleur. Du sang, des frères lutins qui castagnent et deux comédiens à paralysie faciale ne sauvent guère l'entreprise. La réplique « I suck cocks for gold coins » de la fée incarnée par le mannequin israélien Esti Ginzburg face aux acteurs ensanglantés rattrape fort heureusement le bloc.
Halle Berry et Stephen Merchant (CV bien garni puisqu'il n'est autre que le co-créateur de « The Office ») interprètent Emily & Donald dans le tronçon « Truth or Dare », piloté par Peter Farrelly. Pétrifié par des dialogues et situations minimalistes, ainsi que par des prothèses ridicules, « Truth or Dare », non seulement ne décolle jamais, mais tombe in finale dans le fichtrement pathétique.
L'antépénultième séquence, « Victory's Glory » est l'œuvre de Rusty Cundieff, un inconnu. Elle met en scène un coach de basket-ball incarné par Terrence Howard, en train de motiver ses joueurs avant un match crucial en leur balançant leurs mensurations péniennes. Consternant !
Enfin, « Beezel » clôture la marche sous forme de scène post-générique, occupée par Elizabeth Banks et Josh Duhamel (qui s'étaient déjà croisés à l'occasion du film choral « Happy New Year ») et dont le cerveau se nomme James Gunn, autrement dit le réalisateur des « Gardiens de la Galaxie » à venir. Elle intronise un personnage cartoonesque – mal incrusté dans le décor – le chat Beezel, source de conflits conjugaux au sein d'un couple en apparence sain. Séquence barjo, mais assez tordante.
Bilan : Ce devait être THE comédie 2013. Hélas plombé par le studio et les acteurs themselves, « My Movie Project » est un summum d'obscénités en tout genre, maladroitement monté et dynamité par des boutades inexpressives et rebutantes. On peine à croire que ce sont les auteurs des fabuleux « Kingpin » et « Deux en un » derrière cette immondice sans queue ni tête, où un adolescent se masturbe en pensant involontairement à sa mère. Quand on pense que cette farce, affreusement embarrassante dans un CV, a tout de même coûté 6 millions de dollars, on rit jaune.
honnêtement, un casting de fou , et pourtant une nullité extrême ! le film n'a n'y queue n'y tête, les histoires sont justes ...nulles..très décevant c'est dommage
Dans le genre WTF ...Le meilleur moment certainement la pub tampax au milieu de cette grosse bouse et de sa flopée de stars à la mode d'Hollywood....A fuir....