Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Le Monde
par Thomas Sotinel
Adapté d'une pièce d'un dramaturge démodé, (...) ce film bouleverse malgré (ou peut-être à cause de) son ancrage dans le passé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Marianne
par Danièle Heymann
Rarement sentiments violents auront été traités avec tant de délicatesse. La passion comme maladie enviable, les regrets comme viatique durable, on a vécu une merveilleuse plongée dans la profonde mer bleue de la mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Il est des histoires d'amour qui sont autant de leur époque que de l'éternité. Celle que raconte "The Deep Blue Sea", dernier chef-d'oeuvre de Terence Davis, en fait partie.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Pierre Murat
La beauté, chez Terence Davies, tient au mouvement permanent : les personnages semblent constamment muer sous nos yeux. (...) Tout étonne dans ce film qui glace autant qu'il brûle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Parvenir à émouvoir avec cette histoire classique de cas de conscience d'une héroïne tragique écrasée par l'enclume des conventions n'est pas chose aisée. C'est pourtant ce que parvient à faire Davies.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Carole Millerili
Adaptation de la pièce éponyme de Terence Rattigan, montée en 1952, "The Deep Blue Sea" est un film déroutant : son atmosphère feutrée et oppressante marque les esprits longtemps après la fin de la projection.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Perrine Quennesson
Le crépuscule d'une passion vu par un cinéaste qui invoque les fantômes de Visconti et Sirk. Un mélodrame d'une infinie beauté !
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Julien Welter
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Dominique Widemann
Terence Davies adapte ici une pièce écrite au siècle précédent par le grand auteur britannique Terence Rattigan. Le cinéaste parvient à broder ses propres motifs, son goût pour la chanson et les mélodrames cinématographiques des années 1940 et 1950.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Quand il se repose sur les seules vertus visuelles du cinéma (...), Davies n'est pas indigne d'Hitchcock. Il reste certes un poète délicat et impressionniste. (...) Sans doute pas un film majeur ni parfait, mais sans doute la plus nue et vibrante des adaptations rétro de récente mémoire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
"The Deep Blue Sea" fait preuve d'un art consommé de l'alternance, entre ampleur et sécheresse.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un mélodrame classique comme on n'en fait malheureusement plus assez, porté par des acteurs superbes.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Elle
par Françoise Delbecq
Grâce [au jeu de Rachel Weisz] tout en souffrance et en délicatesse, cette histoire d'amour sans lendemain se révèle d'une confondante modernité.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Tout est admirablement pensé et exécuté, cependant on ne se sent pas pris à la gorge comme on aimerait l'être.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Terence Davies signe un long métrage oppressant et étrangement froid.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
La rencontre des deux Terence (Davies et Rattigan) peine à convaincre, malgré une interprétation remarquable, dominée par Rachel Weisz.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Isabelle Danel
A force de fidélité au texte d'origine, le mélo ne prend pas, les dialogues tombent à plat. Dans cet univers compassé, l'émotion est rare. Elle vient des rôles secondaires.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Excessif
par Romain Le Vern
La mise en scène bride la moindre émotion et le résultat, s'il ne manque pas de qualités, manque juste de coeur.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Libération
par La Rédaction
Pourquoi la belle Hester (...) a-t-elle voulu mettre fin à ses jours ? (...) Hélas, ce mélo grand ouvert sur les courants d'air de la mémoire et du désespoir est si raide et mécanique en tout point que l'on ne se passionne guère pour la réponse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Jérôme Vermelin
"The Deep Blue Sea" est porté par son duo d'acteurs (...). Dommage que la mise en scène ultra-stylisée de Terence Davies nous tienne à l'écart de leur jeu tout en nuances.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Seuls les comédiens, épousant jusqu'au vertige l'opacité versatile de leurs caractères, sauvent l'entreprise de la caricature.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Monde
Adapté d'une pièce d'un dramaturge démodé, (...) ce film bouleverse malgré (ou peut-être à cause de) son ancrage dans le passé.
Le Point
Voir le site du Point.
Marianne
Rarement sentiments violents auront été traités avec tant de délicatesse. La passion comme maladie enviable, les regrets comme viatique durable, on a vécu une merveilleuse plongée dans la profonde mer bleue de la mélancolie.
Positif
Il est des histoires d'amour qui sont autant de leur époque que de l'éternité. Celle que raconte "The Deep Blue Sea", dernier chef-d'oeuvre de Terence Davis, en fait partie.
Télérama
La beauté, chez Terence Davies, tient au mouvement permanent : les personnages semblent constamment muer sous nos yeux. (...) Tout étonne dans ce film qui glace autant qu'il brûle.
20 Minutes
Parvenir à émouvoir avec cette histoire classique de cas de conscience d'une héroïne tragique écrasée par l'enclume des conventions n'est pas chose aisée. C'est pourtant ce que parvient à faire Davies.
Critikat.com
Adaptation de la pièce éponyme de Terence Rattigan, montée en 1952, "The Deep Blue Sea" est un film déroutant : son atmosphère feutrée et oppressante marque les esprits longtemps après la fin de la projection.
Ecran Large
Le crépuscule d'une passion vu par un cinéaste qui invoque les fantômes de Visconti et Sirk. Un mélodrame d'une infinie beauté !
L'Express
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L'Humanité
Terence Davies adapte ici une pièce écrite au siècle précédent par le grand auteur britannique Terence Rattigan. Le cinéaste parvient à broder ses propres motifs, son goût pour la chanson et les mélodrames cinématographiques des années 1940 et 1950.
Les Inrockuptibles
Quand il se repose sur les seules vertus visuelles du cinéma (...), Davies n'est pas indigne d'Hitchcock. Il reste certes un poète délicat et impressionniste. (...) Sans doute pas un film majeur ni parfait, mais sans doute la plus nue et vibrante des adaptations rétro de récente mémoire.
Cahiers du Cinéma
"The Deep Blue Sea" fait preuve d'un art consommé de l'alternance, entre ampleur et sécheresse.
CinemaTeaser
Un mélodrame classique comme on n'en fait malheureusement plus assez, porté par des acteurs superbes.
Elle
Grâce [au jeu de Rachel Weisz] tout en souffrance et en délicatesse, cette histoire d'amour sans lendemain se révèle d'une confondante modernité.
L'Obs
Tout est admirablement pensé et exécuté, cependant on ne se sent pas pris à la gorge comme on aimerait l'être.
La Croix
Terence Davies signe un long métrage oppressant et étrangement froid.
Les Fiches du Cinéma
La rencontre des deux Terence (Davies et Rattigan) peine à convaincre, malgré une interprétation remarquable, dominée par Rachel Weisz.
Première
A force de fidélité au texte d'origine, le mélo ne prend pas, les dialogues tombent à plat. Dans cet univers compassé, l'émotion est rare. Elle vient des rôles secondaires.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Excessif
La mise en scène bride la moindre émotion et le résultat, s'il ne manque pas de qualités, manque juste de coeur.
Libération
Pourquoi la belle Hester (...) a-t-elle voulu mettre fin à ses jours ? (...) Hélas, ce mélo grand ouvert sur les courants d'air de la mémoire et du désespoir est si raide et mécanique en tout point que l'on ne se passionne guère pour la réponse.
Metro
"The Deep Blue Sea" est porté par son duo d'acteurs (...). Dommage que la mise en scène ultra-stylisée de Terence Davies nous tienne à l'écart de leur jeu tout en nuances.
TéléCinéObs
Seuls les comédiens, épousant jusqu'au vertige l'opacité versatile de leurs caractères, sauvent l'entreprise de la caricature.