Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Ciné Live
par Marc Toullec
Hautement jouissif. (1998)
Le Figaro
par Emmenuèl Frois
Une satire délirante.
Libération
par Michel Roudevitch
Une fresque conjugale, violente, délirante et provocante. (18 novembre 1998)
Télérama
par François Gorin
Sexe, violence et gags dingos. Détonnant.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
On glissera rapidement sur le trait de Plympton (moins poétique que celui de Burton, moins lisible que celui de Groening), sur sa technique d'animation artisanale et quelque peu sommaire (mais cet artiste indépendant ne dispose ni de la technologie ni des moyens financiers de Disney ou Dream Works) et sur les quelques petites longueurs de son film pour insister sur ce qu'il y a de meilleur ici : l'imagination délirante de Plympton et sa sympathique nature d'obsédé sexuel. (1998)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Magazine
par T.C.
Ce mélange étonnant - et pourtant personnel - de Crumb, Tex Avery et Tarantino est une pure jubilation. (1998)
Ciné Live
Hautement jouissif. (1998)
Le Figaro
Une satire délirante.
Libération
Une fresque conjugale, violente, délirante et provocante. (18 novembre 1998)
Télérama
Sexe, violence et gags dingos. Détonnant.
Les Inrockuptibles
On glissera rapidement sur le trait de Plympton (moins poétique que celui de Burton, moins lisible que celui de Groening), sur sa technique d'animation artisanale et quelque peu sommaire (mais cet artiste indépendant ne dispose ni de la technologie ni des moyens financiers de Disney ou Dream Works) et sur les quelques petites longueurs de son film pour insister sur ce qu'il y a de meilleur ici : l'imagination délirante de Plympton et sa sympathique nature d'obsédé sexuel. (1998)
Studio Magazine
Ce mélange étonnant - et pourtant personnel - de Crumb, Tex Avery et Tarantino est une pure jubilation. (1998)