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Tarasboulaba
32 abonnés
155 critiques
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0,5
Publiée le 19 octobre 2011
C'est bizarre que depuis que la notation d'Allo-ciné" est passé de 4 à 5 étoiles, les pires navets obtiennent plus que la moyenne...Avant ils ne décolaient pas de 1 sur 4, mais maintenant, les pires daubes obtiennet 3 (soit plus que la moyenne). Bon, vous l'aurez compris, je n'ai pas du tout aimé cette daube. Bouder devrait refaire de la pub pour orangina...là au moins, il était drôle !!! A part quelques crétins, je ne vois pas qui peut apprécier un tel film ???
Je l'ai vu en avant-premiere avec les 3 acteurs principaux et le realisateur qui sont venus. Il est execelent, drôle, acteur bon, tres bon casting!! Jean claude vandame etc....
J'ai quand même tenu 45min avant de m'énerver et de me casser... 45min pendant lesquelles j'ai subit les inepties de cette comédie même pas drôle. Beaucoup de clichés, des personnages sans profondeurs et improbables, un propos faussement social et un pseudo appel à la tolérance pour tenter désespérément de crédibiliser l'ensemble... et voilà je pense avoir tout résumer!! Et pourtant, je rappelle que je n'ai même pas vu la fin...!!
Vu en avant première à Lyon avec l'équipe de film. J'étais un peu inquiet car échaudé par le navet affligeant qu'est "La Planque" et qui joue un peu dans le même registre. Mais absolument rien à voir, film vraiment très drôle, scénario assez cohérent malgré l'improbabilité des situations, très bons acteurs. On passe vraiment un bon moment sans regarder sa montre pour savoir quand s'arrêtera le supplice comme pour le film cité plus haut.
c'est pas la comédie du siecle, mais on passe un bon petit moment. C'est vrai qu'on sourit plus qu'on eclate de rire. Les blagues feront surtout rire un public jeune
Un très mauvais film ainsi qu'une très mauvaise comédie comme chacun des films de ce réalisateur . Toujours le meme thème qui est toujours aussi ennuyeux et plat que sa filmographie . A éviter donc car aucun humour , des clichés répétitif un casting qui est moyen . Une mauvaise comédie donc .
Djamel Bensalah doit être un des gars les plus sociables qui soit vu le nombre de visages connus qu'il a réunit dans ce film. Ben voilà, j'ai tout dit... Non, en fait être vraiment sociable c'est une très grande qualité. Mais entre un sociable qui est capable de réunir tant de visages connus, mais est parfaitement incapable de la moindre notion scénaristique, de la moindre direction d'acteurs, de la moindre maîtrise du rythme, et un asocial qui sait ce qu'est la réalisation, qui sait ce qu'est l'écriture scénaristique et qui sait ce qu'est la direction d'acteurs... ben je choisis sans hésiter la plus petite seconde l'asocial. Tout ça pour avoir un argument plus consistant que "c'est nul"...
Le prix du plus gros navet 2011 est attribué à égalité à "BEUR SUR LA VILLE" et "118-318" et après les français se plaignent que leur cinéma ne s'exporte pas assez... un conseil: si vous voulez que vos films sortent dans le monde entier : bossez, écrivez des scénarios DES SCENARIOS!!! et embauchez de vrais acteurs, DES ACTEURS!!!!!!!! grossomodo : pour faire un bon film : un bon réalisateur, un bon scénario, des acteurs (des vrais) et voilà, vous savez ce qui vous reste à faire pour la prochaine fois... si il y'en a une... ce film est vide, nul à chier, jusqu'à la fin on attend une fin... j'attends encore...
A quoi bon réaliser un film de cet acabit alors que la mode de la comédie lourdaude type "Les Charlots" a fait son temps depuis au moins 20 ans...? L'espoir que le film deviendra culte ? la nostalgie d'une époque révolue ? Quoiqu'il en soit, on hésite entre l'indulgence et la consternation: plus lourd que ça tu meurs. Sandrine Kiberlain devait s'ennuyer ou payer ses impôts. Le reste fait peine à voir. Le délire régressif, pourquoi pas, mais se contenter de réaliser une comédie 80's comme si on y était n'apporte pas grand chose.
Djamel Bensalah tente de retrouver le cocktail détonnant et drôle de « Neuilly Sa mère » avec un nouveau film sur fond de contraste entre banlieue et grand Paris, entre les communautés elles mêmes et musclant sa substance comique par un impressionnant défilés de guest stars. Si cela marchait bien dans Neuilly Sa mère qui trouvait un bon dosage dans l'application de la recette, je trouve ce Beur sur la Ville beaucoup moins réussi. Malgré de bonnes intentions, le film est plus maladroit dans la manière de traiter son sujet malgré un bon départ et quelques bonnes idées. Il manque des scènes percutantes sur le plan comique aussi bien au niveau des gags que des dialogues. Le personnage de Booder, bien que constituant un archétype comique à gros potentiel, est trop surfait ( malgré une bonne interprétation du comédien qui n'est ici pas en cause). J'ai eu en effet du mal à croire au personnage alors que dans Neuilly Sa mère, les personnages étaient parfois volontairement proche de la caricature mais c'était mieux dosé ( et surtout plus drôle). Par ailleurs, la dernière partie développe un peu trop l'aspect policier du film alors que c'est sur le plan de la comédie que l'on attend avant tout le film. Ou alors, il aurait fallu jouer la carte du thriller parodique dès le début mais ce n'était visiblement pas la cible recherchée qui est vraisemblablement un public de comédie « classique ». Bref, malgré quelques scènes amusantes, ce « Beur sur la ville » est pour moi une légère déception.
Beur sur la ville est une comédie qui manque de finesse. Plus bête que drôle par ces multi-clichés (sur la police, les couleurs, les religions et les banlieues) et pourtant il y a de bons acteurs qui défilent et sauvent la face de ce film... brouillon.
Alors ce film est bourré de bonne volonté que se soit du réalisateur qui a voulu truffé le film de Guest star et de clin d'oeil ou des acteurs qui certains joue des rôles a contre emploi.Mais le scénario est laborieux et bourré de maladresse La mise en scène part en roue libre complètement, la réalisation est classique.Les messages véhiculés sont mal dit. Malgré tous certains gag sont drôle mais beaucoup ne marche pas.Un essai loupé.
D. Bensalah avait déjà commis des productions ("films" serait trop honorable) aussi mal réalisés que ridicules, mais avec "Beur sur..." il touche définitivement le fond. Le box office ne mentant pas puisqu'il n'a même pas réussi à traîner grand monde au nom du soi-disant message sociale de tolérance. Un message qui doit commencer à en gonfler beaucoup d'ailleurs... Le pitch de départ étant indigeste et affligeant de naïveté, il ne pouvait s'adresser qu'aux bobos des beaux quartiers de Paris, ceux qui prônent l'égalité et de meilleurs conditions de vie pour les habitants de banlieues difficiles, ceux qui pensent savoir à quoi cela ressemble alors qu'ils n'y ont jamais mit les pieds, ceux qui ne voient que les flics blancs de la rive gauche car si jamais ils foutaient un orteil dans le "9-3", ils se rendraient compte qu'il y a beaucoup de diversité dans les forces de police de ce charmant département. A croire que D. Bensalah n'y a jamais mis les pieds non plus... Ah oui, c'est vrai ! Il est trop occupé à véhiculer ses messages de propagande mondialiste, au service du gros capital, pour obtenir sa mansarde du coté de St Germain (près de ses maîtres) et son hochet de l'Ordre des Arts et des Lettres (alors que tous ses films sont considérés comme des navets ! XD). Il se moque peut-être de la police, il se moque peut-être des habitants des coins pourris de la capitale, mais on ne voit pas vraiment où il veut en venir au final ! Les gags étant au-delà de la Stupidité (attention à la majuscule) et servis par l'empereur du tue-l'humour : Booder, l'auto-proclamé comique dont seul le physique quasimodien fait esquisser un sourire... Sandrine Kimberlain est ici au même titre que tous les autres "guests", à savoir : se faire mousser sur un ersatz de sujet de société, ça fait toujours sympa de dire qu'on est contre la discrimination même si on ne serrerait pas la main à un prolo maghrébin ! Aussi inexpressive que dans ces autres "films", elle est ici à l'image d'elle même : plus que sur-estimée. Pour le reste, c'est un amalgame infâme et indigeste de pseudo-gags éculés (restons polis), oscillant entre l'aberrant et l'hystérique, les couleurs crades et dopées au colorants de synthèse de la photographie renforçant le mal de crâne. On ne rit pas un seul instant tant l'on est consterné par cet étron qui fait passer "Le Baltringue" de Lagaff pour un chef d’œuvre digne d'être palmedorisé... J'en regrette les films de Max Pécas, c'est vous dire ! En tout cas, il est tant que l'on ré-apprene à faire de vrai films comique en France (marre des comédie aigre-douce déprimante ou des bouffonades débiles) et qu'on arrête les films communautaires que même les communautaristes ont trop honte d'aller voir...
Ce que les belges savent très bien faire, ainsi que Jean-Pierre Jeunet : un casting de gueule cassé, un scénario dopé à l'humour pour un un résultat très regardable. Ici, rien de tout ça à part les gueules cassés et Djamel Bensalah qui avait un outil en or (Se moquer du communautarisme et de la stigmatisation musulmane) passe complètement à côté alors qu'on attendait bien mieux de celui qui avait fait "Neuilly sa mère". Scénario boursouflé pour rien, blagues qui tombent à plat, écriture des personnages à la ramasse, rien ne marche ... Ah si, il réussit à rendre Sandrine Kiberlain sexy, et ça c'était loin d'être gagné !