Confession d'un enfant du siècle : Critique presse
Confession d'un enfant du siècle
Note moyenne
1,8
18 titres de presse
L'Obs
Metro
TéléCinéObs
Critikat.com
Ecran Large
Elle
Excessif
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
CinemaTeaser
L'Obs
La Croix
Le Parisien
Les Inrockuptibles
Marianne
Première
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Une grande actrice au service d'un grand texte, dans le cadre d'une reconstitution soignée, il n'existe pas de raison valable de se priver d'un plaisir devenu rare.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Metro
par Marilyne Letertre
Sylvie Verheyde signe un film en costumes visuellement soigné mais bien trop classique dans le rythme comme dans la forme, à la limite de l'ennuyeux. Beaucoup de bruit pour rien, comme dirait un illustre pair d'Alfred.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
La réalisatrice, qui capte comme personne la tristesse (...) et tente avec un certain courage de lutter contre la reconstitution, perd pourtant la partie en laissant son film courir sur la durée et Pete Doherty s'égarer dans les clichés de sa posture romantique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Sylvie Verheyde adapte en anglais le roman d'Alfred de Musset, "Confession d'un enfant du siècle". Peter Doherty, pour la première fois au cinéma, endosse le rôle d'un dandy, qui, alors que la vie lui a tout donné, s'ennuie. Malheureusement, nous aussi !
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Mélissa Blanco
On cherche encore l'exaltation de l'amour, l'expression sincère de la douleur, la pureté des sentiments et la débauche d'une vie de dandy que Musset décrivait dans son roman autobiographique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Laurence Riatto
On y va pour voir à l'écran l'enfant terrible du Royaume-Uni et rien d'autre. "Confession d'un enfant du siècle" ne retranscrit malheureusement pas (...) la complexité des rapports humains et le mal du siècle vécu par la jeunesse romantique du XIXe.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Excessif
par Romain Le Vern
Paradoxalement, le traitement est peut-être la vraie faiblesse de ce projet de cinéma ambitieux. S'il n'est jamais conforme aux attentes, le film ne répond pour autant à aucune de ses promesses de film-historique pop, d'autant qu'il lorgne ouvertement du côté de Sofia Coppola.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le film dure plus de deux heures, que les spectateurs pourront utiliser comme un test de leur capacité de résistance à l'ennui. Malgré le glamour de son affiche, sa sélection à Cannes cette année, dans la section Un Certain Regard, est à classer parmi les grands mystères du plus grand des festivals.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par David Nathanson
Sylvie Verheyde signe avec "Confession..." une adaptation terne d'où surnage la volonté claire de mettre en parallèle deux époques peu tendres pour une jeunesse à l'horizon bouché.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
CinemaTeaser
par Rose Piccini
A peine ressent-on une certaine empathie envers ce projet audacieux... luttant pour masquer sa vacuité.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Xavier Leherpeur
[La réalisatrice] donne (...) l'impression de naviguer à vue et de réagir en pilote automatique à la (petite) fureur de ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Malgré la panoplie complète des habits d'époque et son application forcée à jouer le mélancolique à la recherche de l'absolu de l'amour, il nous évite de ressentir les vertiges de la passion. Nous ne lui tirons pas notre haut-de-forme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Hubert Lizé
Le film (...) dégage surtout un parfum d'ennui. Pete Doherty en fait des tonnes dans le rôle du jeune dandy libertin Octave.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
(...) l'idée avait de quoi séduire sur le papier. Il suffit bien entendu de dire cela pour comprendre qu'une fois sur pellicule, hélas, l'intérêt s'évanouit (...) L'anémie est totale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Anna Topaloff
À trop privilégier le réalisme des costumes et des décors -très beaux-, la réalisatrice, Sylvie Verheyde, en a oublié la modernité du propos. (...) Engoncés sous leurs chapeaux d'époque, les acteurs peinent à donner du relief à leur personnage.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Thomas Agnelli
Malgré un casting glam, le film échoue dans sa tentative historico-pop et romantique façon Sofia Coppola. Peu de passion pour beaucoup de pose et d'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
(...) on attendait beaucoup de la rencontre entre l'icône rock Pete Doherty, débutant au cinéma, et Charlotte Gainsbourg (...) A l'arrivée, hélas, la mise en scène reste hyper corsetée, et Doherty se contente de promener son teint blafard dans des décors laids et poussiéreux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
Une grande actrice au service d'un grand texte, dans le cadre d'une reconstitution soignée, il n'existe pas de raison valable de se priver d'un plaisir devenu rare.
Metro
Sylvie Verheyde signe un film en costumes visuellement soigné mais bien trop classique dans le rythme comme dans la forme, à la limite de l'ennuyeux. Beaucoup de bruit pour rien, comme dirait un illustre pair d'Alfred.
TéléCinéObs
La réalisatrice, qui capte comme personne la tristesse (...) et tente avec un certain courage de lutter contre la reconstitution, perd pourtant la partie en laissant son film courir sur la durée et Pete Doherty s'égarer dans les clichés de sa posture romantique.
Critikat.com
Sylvie Verheyde adapte en anglais le roman d'Alfred de Musset, "Confession d'un enfant du siècle". Peter Doherty, pour la première fois au cinéma, endosse le rôle d'un dandy, qui, alors que la vie lui a tout donné, s'ennuie. Malheureusement, nous aussi !
Ecran Large
On cherche encore l'exaltation de l'amour, l'expression sincère de la douleur, la pureté des sentiments et la débauche d'une vie de dandy que Musset décrivait dans son roman autobiographique.
Elle
On y va pour voir à l'écran l'enfant terrible du Royaume-Uni et rien d'autre. "Confession d'un enfant du siècle" ne retranscrit malheureusement pas (...) la complexité des rapports humains et le mal du siècle vécu par la jeunesse romantique du XIXe.
Excessif
Paradoxalement, le traitement est peut-être la vraie faiblesse de ce projet de cinéma ambitieux. S'il n'est jamais conforme aux attentes, le film ne répond pour autant à aucune de ses promesses de film-historique pop, d'autant qu'il lorgne ouvertement du côté de Sofia Coppola.
Le Monde
Le film dure plus de deux heures, que les spectateurs pourront utiliser comme un test de leur capacité de résistance à l'ennui. Malgré le glamour de son affiche, sa sélection à Cannes cette année, dans la section Un Certain Regard, est à classer parmi les grands mystères du plus grand des festivals.
Les Fiches du Cinéma
Sylvie Verheyde signe avec "Confession..." une adaptation terne d'où surnage la volonté claire de mettre en parallèle deux époques peu tendres pour une jeunesse à l'horizon bouché.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
CinemaTeaser
A peine ressent-on une certaine empathie envers ce projet audacieux... luttant pour masquer sa vacuité.
L'Obs
[La réalisatrice] donne (...) l'impression de naviguer à vue et de réagir en pilote automatique à la (petite) fureur de ses acteurs.
La Croix
Malgré la panoplie complète des habits d'époque et son application forcée à jouer le mélancolique à la recherche de l'absolu de l'amour, il nous évite de ressentir les vertiges de la passion. Nous ne lui tirons pas notre haut-de-forme.
Le Parisien
Le film (...) dégage surtout un parfum d'ennui. Pete Doherty en fait des tonnes dans le rôle du jeune dandy libertin Octave.
Les Inrockuptibles
(...) l'idée avait de quoi séduire sur le papier. Il suffit bien entendu de dire cela pour comprendre qu'une fois sur pellicule, hélas, l'intérêt s'évanouit (...) L'anémie est totale.
Marianne
À trop privilégier le réalisme des costumes et des décors -très beaux-, la réalisatrice, Sylvie Verheyde, en a oublié la modernité du propos. (...) Engoncés sous leurs chapeaux d'époque, les acteurs peinent à donner du relief à leur personnage.
Première
Malgré un casting glam, le film échoue dans sa tentative historico-pop et romantique façon Sofia Coppola. Peu de passion pour beaucoup de pose et d'ennui.
Télérama
(...) on attendait beaucoup de la rencontre entre l'icône rock Pete Doherty, débutant au cinéma, et Charlotte Gainsbourg (...) A l'arrivée, hélas, la mise en scène reste hyper corsetée, et Doherty se contente de promener son teint blafard dans des décors laids et poussiéreux.