Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
liamsi
19 abonnés
474 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 6 février 2012
Un film inintéressant, non pas par la faute des acteurs qui font de leur mieux, mais par la faute du scénariste et du réalisateur qui n'ont apparemment aucun talent pour faire du cinéma
Les bons sentiments ne font pas de bon films. Avec un sujet intéressant et qui concerne chacun d'entre nous (l'affirmation de notre identité sexuelle au passage de l'adolescence), la réalisatrice nous accable d'un téléfilm soporifique, lent et sans véritable scénario. Une tranche de la vie d'une famille et d'une petite bande d'enfants. On s'ennuie à regarder ce film autant qu'on peut s'ennuyer pendant les longues vacances, quand on est enfant, avec pour horizon une cité grise de banlieue et des parents occupés.
film qui parle très bien de la transidentité. comparé au film miss, le film a su faire incarner un personnage jeune dans un inconfort physique et sociale. il devras donc comme toute personne transgenre défier la société et ses parents le prenant pour qui il n'est pas dans des stéréotypes sexistes devenant de plus en plus insupportable. des techniques de dissimulation, des secrets, des mensonges sont souvent les seul solutions alternatives face au rejet très fréquent de la construction du genre mais par expérience, je sais que le cacher fait plus de mal qu'autre chose et tu fini par en subir les conséquences. la mère exagérément ignorante fait comprendre parfaitement les difficultés sociale dans la compréhension du genre. le gros point négatif du film qui ruine COMPLETEMENT ses qualités vient du fait que le personnage transgenre se soumet aux codes sociale féminin(quand sa mère le découvre) signifiant "a bah non t'est pas un garçon" au lieu de se rebeller. le coup fatal c'est quand il donne son deadname(prénom mort) a sa petite amie, le petit ne cherche jamais a faire comprendre a sa mère il n'est pas une fille, il ne se rebelle même pas contre sa décision et accepte sans broncher . que s'est t-il passé ??? le film était pourtant bien et dérape complètement ruinant tout ce qu'il a construit ont dirait qu'ils ont bu en plein milieu. VRAIMENT DOMMAGE.
Avis aux amateurs! Ayant été dénoncé honteusement par un descendant de la gestapo ne supportant visiblement pas que l'on puisse critiquer son film de propagande LGBT favori, je me vois contraint de reéditer ma critique du film Tomboy sur un autre compte, histoire de ne pas laisser aux censeurs le plaisir de faire taire leurs contradicteurs. Si vous étiez si sûr de votre bon droit, vous n'auriez pas besoin de museler les autres! Et puisqu'il n'est rien de plus facile que de constituer un nouveau compte allociné, sachez que je suis disposé à réitérer la démarche autant de fois que nécéssaire!
Tomboy donc...
Mikael est un petit garçon apriori comme les vient tout juste d'emménager dans une nouvelle maison avec son Papa, sa Maman (qui attend un bébé) et sa petite il s'ennuie un peu, il décide d'aller jouer dehors où il fait la connaissance de Lisa et de sa bande de copains...Cette succession de banalité vole soudainement en éclat au bout du premier quart d'heure quand en sortant de son bain (Tintintin), Mikael dévoile ce que le titre du film suggérait pour toutes celles et ceux qui n'avaient pas encore compris ce qu'il était Mikael n'est pas MikaelIl est Céline Sciamma enfant!Et oui les amis, vous pensiez voir un film intelligent sur le droit à la différence, vous vous êtes lourdement gouré !! Céline Sciamma est une réalisatrice et scénariste française née le 12 novembre 1980 à Pontoise, dans le Val d’Oise. Elle grandit à Cergy-Pontoise auprès de son père, ingénieur informatique (comme dans le film) de sa mère, femme au foyer, (comme dans le film) et est la grande sœur d’une fratrie de trois enfants. (comme dans le film, quand même c'est fou les coïncidences non?Exit donc l'objectivité, ce Tomboy n'est rien d'autre que l'autobiographie inavouée d'une réalisatrice qui confond 7ème art et arme de propagande c'est bien beau de donner des leçons sur la différence à la terre entière sur la base de son petit nombril, mais faire passer son psychologisme pour de la réflexion de haute voltige c'est quand même un peu gonflé tout de même!D'autant plus que là encore, toute la construction narrative est structurée de façon à nier la contradiction argumentaire sous peine d'être automatiquement affublé des anathèmes habituels.C'est qu'il faut la comprendre la pauvre Céline!C'est pas de sa faute si elle voulait être un garçon avec un vrai zizi (pas un en patte à modeler!)Pas de sa faute si les petites filles sont tombées amoureuse d'elle pensant qu'elle était un petit problème en effet n'est pas que certaines petite filles (ou petits garçons) soient incertaines sur leurs identités sexuelles.A vrai dire les garçons manqués ce n'est pas ce qui vrai problème c'est quand ces petites filles se persuadent que le reste du monde est dans l'erreur, obligeant implicitement les autres à se remettre en cause uniquement pour pouvoir assouvir ce qui en vérité ne relève que de leur seule problé peu comme si un piéton obligeait les voitures à s'arrêter à son passage uniquement parce que lui est daltonien!Tomboy donc, ou quand une réalisatrice prend en otage moralement son public pour se conforter dans son orientation sexuelle (et dont la malhonnêteté intellectuelle prétend qu'il ne s'agit guère de militantisme...)Car si dans son film (une fois de plus) la fatalité semble de mise, la véritable arnaque se situe justement dans cette approche minimaliste d'une caméra placée à hauteur d'enfant,tour de passe passe rhétorique applaudit avec les mains et les pieds mais qui dissimule pourtant mal l'absence de hauteur de vue et la distanciation nécessaire d'une réalisatrice qui aurait justement dû avoir du recul sur ses propres souvenirs (de peur de se confronter à une réalité dérangeante sans doute) se dispensant au passage de toute forme d'analyse socio-é en prime toujours cette propension malsaine à utiliser des gamines (encore plus jeunes que les précédentes) dans des scènes de baiser lesbien parfaitement dispensable dont on finit là encore par se demander quelles autres "particularités" elles induisent... Je n'imagine même pas ce que cela aurait donné si Céline Sciamma avait eu un penchant pour les animaux
Il n'y a pas de problème d'identité dans ce film à proprement parler. C'est la ruse que de le faire croire dans un ton simple et gentillet. Rien n'est soulevé dans les rapports que cette petite fille entretient avec ses parents.Le film milite donc pour la naissance spontanée et de la différence entre genre et sexe. Dans l'air du temps avec la théorie du genre, il prétend faire croire qu'une petite fille puisse se sentir un petit garçon et que tout est normal alors qu'il y a purement et simplement un déni de sexe et un déni de réel. Car se faire croire petit garçon alors qu'on est une fille ne se résume pas à la pure éclosion de la chose, mais à imiter l'autre sexe (prendre une identité de synthèse) et que la petite fille n'a pas, de fait. Que tel ou tel sexe se sente dans l'autre sexe a toujours existe mais que l'on fasse passer cela pour tout à fait normal (dans les normes) est mensonger. Une petite scène en dit long :spoiler: quand la fille bat au corps à corps un garçon, comme quoi les filles sont autant capables de se battre et de battre des garçons. Vaste rigolade sauf entre un morse et une allumette. Le tout est revêtu de l'innocence enfantine et du ressenti. Ce qui est une arnaque faramineuse.Il y a pour se croire garçon alors qu'on est une fille ou l'inverse une hallucination psychotique pour dénier son propre sexe et imiter les apparences de l'autre sexe. On n'est pas en phase avec la réalité qui n'est pas un fantasme mais un donné et faire croire que l'on puisse être autre sur son simple ressenti est une mystification de réfuter le donné de départ que l'on ne pourra jamais choisir (et fort heureusement). Car que l'on se sente autre devrait poser la question de cette transfusion qui est à la base.Car à partir de là, si on base le ressenti de tout, on se demande ce que l'on pourra refuser à n'importe quel autre humain dans les temps à venir. C'est la voie du transhumanisme qui est ouverte.
Un court métrage de 10 minutes aurait fait l'affaire... Ce film c'est en résumé 1h20 sous exomil où l'on voit une bande d'enfants jouer. Allez au square le plus proche de chez vous ce sera la même chose, à l'exception que dans le film un de ces enfants est une fille se faisant passer pour un garçon. SPOILER Scénario : Bjr je m'appelle Mickael (en fait je m'appelle Laure) on joue ? Le groupe d'enfants m'accepte, je rentre jouer ac ma petite sœur, je joue avec le groupe, je rentre jouer avec ma petite sœur, je joue avec le groupe, je vais jouer avec mon père avt de dormir, je sors jouer avec le groupe, l'unique fille du groupe tombe amoureuse de moi en pensant que je suis un garçon, je rentre jouer avec ma petite sœur, je me bagarre pr faire croire que je suis un garçon, ce même petit garçon vient toquer à la porte avec sa mère pour avoir des excuses, la mère de Laure se rend compte qu elle se fait passer pour un garçon et décide de l'emmener avec elle pour avouer à tout le monde que c'est une fille, bientôt y'a la reprise de l'école donc le mensonge ne pourra durer éternellement. Les enfants apprennent que c'est une fille. FIN. Scénario absolument génial...
Certains y verront de la poésie, d'autres de la philosophie, quoiqu'il e soit,Tomboy est un récit léger, tellement léger qu'un simple bâillement l'éloignera de notre téléviseur sans aucune sommation au préalable.
Cette histoire de gamine empêtrée dans son mensonge m'a laissée de glace. C'est lent, pas très bien filmé, d'interminables et trop nombreux jeux d'enfants... Bref ce "drame" (?) m'a barbée d'un bout à l'autre. Quelques tentatives esthétiques ratées, psychologie carrément oubliée, on se demande bien ce qui a pu enthousiasmer la Critique.
Bien sûr, un film sur les enfants attire et a toujours un à priori favorable, surtout qu'ici ils jouent bien, naturellement, mais c'est le seul point positif de ce navet ! A-t-on voulu créer une histoire sur le sexe des anges ? Une chose est certaine,si dans cette aventure, la réalisatrice ne brille pas par ses qualités dans ce domaine, elle est encore plus mauvaise comme pseudo-scénariste. Le fait qu'elle ait remporté une médaille en chocolat n'y change rien ! Ce film a été bâclé en 20 jours et ça se sent ! Enfin, on est parfois à la limite de l'exhibitionnisme inutile : les enfants ne sont-ils pas protégés ? Heureusement, la sanction du public a été sans appel : 300 000 spectateurs en salles : le bide ! willycopresto
Que dire...Presque pas de dialogue, parents inexistants et laissent les gossent dehors tous seuls... Homo pas homo person je l en fiche, mais montrer un enfant comme ca... ca me gene, j ai plus l impression qu il a un mal etre a cause du manque de relation a cause de ses parents. Je trouve l histoire moche, spoiler: la mere qui s enerve a la fin pour une mauvaise raison et force l enfant a mettre une robe la , ca rime a rien Mon avis: film sans dialogue quasiment, sans fond, ne vaut pas grand chose a part essayer de normaliser les homos aux enfants. Moi je pense que ce film ne doit justement pas leur etre destiné
Mais quelle arnaque ce film d'une platitude affligeante. On devine dès le début ce qui va se passer avec cet être androgyne. C'est lent, on se désintéresse complètement du sujet pourtant délicat de l'identité sexuelle d'un enfant mal dans sa peau. Petit budget pour tout petit documentaire TV et encore !!! Personnages adultes insignifiants. Ce n'est pas ce film qui va relever le niveau du ciné français. Pseudo intello qui mettent 4 étoiles, vous n'avez pas vu les gens s'endormir en cours de séance. ARNAQUE - ARNAQUE.
Une succession de vide... Laure/Michaël passe les épreuves successives avec des petites idées (on va faire un zizi en pâte à modeler... apprendre à cracher...), il n'y a aucune progression, aucune réflexion, c'est long, lent, pas très bien joué (à part la petite soeur, qui est très juste). C'est d'une vacuité... Fallait-il en plus montrer cette petite à poils pour bien faire comprendre ce qu'on avait déjà compris ? Incroyablement inutile.
Après s'être fait remarquée dès son premier film avec "Naissance des pieuvres" (2007) la réalisatrice revient et prouve qu'elle pose un oeil aussi subtil et intelligent sur l'enfance. Cette fois et récemment elle été la cible de quelques groupes insignifiants (extrême catho pour faire court) qui accuse ce film d'être une vitrine de la théorie des genres... Bref nous on s'en moque royalement !... Céline Sciamma use de sa caméra en plaçant le spectateur comme une petite souris, voyeur de l'intimité d'une fillette qui se rêve garçon. Classé en genre Drame on peut dire que ce n'est pas tout à fait le cas, d'autant plus qu'on ne peut s'empêcher de penser au final de "Boys don't cry" (2000) de Kimberly Pierce, le même film version ado... Le soucis est que Céline Sciamma est dans une épure de docu-fiction ce qui on oblige à un minimum de cohérences/vraisemblances ... SPOILER ... si Michael se maquille en fille la logique voudrait qu'il se démaquille dès que possible, il est impossible que le slip de bain tienne aussi bien, la petite soeur (6 ans) est d'une maturité étonnante lorsqu'elle comprend... Etc... FIN SPOILER ... Mais le plus dommageable reste les longueurs, 1h20 qui en paraissent 2h, le scénario est suffisant pour un simple moyen-métrage. 80% du film étant des scènes de jeux, non pas qu'il en faut pas mais ça reste fastidieux... Même si on craque un minimum, les gamins sont adorables au pemier lieu al petite soeur. Un joli film toutefois, un peu surestimé mais l'oeil de la cinéaste et les gamins sont assez justes pour passer un moment plaisant.
C’est un film très intéressant et ce pour plusieurs raisons. Tout d’abord son histoire qui si elle est plutôt classique se révèle être bien réalisé est donc intéressante. Il faut mentionner aussi le casting chez les enfants surtout pour les rôles principaux. Le réalisateur a voulu montrer aux spectateurs les difficultés pour un enfant d’être ou d’avoir un comportement vis-à-vis du sexe opposé. La cohabitation avec les autres se révèle être compliquée.