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    While We're Young
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    2,5
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    139 critiques spectateurs

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    jaja77
    jaja77

    61 abonnés 1 326 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 août 2015
    a première vue le film ne me tentait pas trop, quelques temps après je me suis dits allez je saute le pas vu que j' ai la carte illimitée je ne perds pas d'argent. très déçu de cette comédie qui pouvait valoir du bon mais pas du tout, même si les 2 personnages principaux sont plus que correct. en fait un film avec trop de bavardages qui parait long et ennuyeux à force car il y pas d' histoires sensations émotions et sentiments au vu des personnages.je note 2,5 étoiles au lieu de 2 grâce à bonne performance de "ben stiller" et" naomi watts". voilà, vite vu vite oublié.
    officiel76
    officiel76

    46 abonnés 411 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 juillet 2015
    autant le dire d'emblée, j'avais détesté Frances Ha. J'ai donc supposé que vu la déception ressentie devant While we're young (encore un coup de gueule, ne peut-on décidément traduire les titres, tout le monde n'est pas bilingue !!!) par ceux qui avaient apprécié Frances, , j'apprécierais peut être a contrario ce nouvel opus. Et bien oui. J'ai suivi avec beaucoup plus de plaisir les tribulations de ce couple de quadra qui brusquement retrouve une seconde jeunesse et un second souffle que par cette trentenaire nauséeuse qui passe son temps à rater sa vie et à accumuler les plans foireux. Tout est plutôt crédible dans ce film, l'essoufflement de l'envie à quarante ans, l'encroutement, les désillusions, la fatigue...le poids d'une société qui vous impose la normalité, d'avoir un enfant...tout autant que l'immédiateté de l'information à laquelle nous sommes désormais habitués et la méfiance que nous devons avoir face aux reportages, à l'image, à l'information. Autant de sujets bien traités selon moi et avec humour.
    Marcel D
    Marcel D

    104 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 juillet 2015
    Un film fin et maîtrisé qui maintient le rythme de bout en bout. Le fait que cela repose sur 4 acteurs permet un bel équilibre avec des relations établies entre chacun des personnages. Je trouve Ben Stiller souvent juste quand il ne part pas dans les extrêmes d'une Nuit au musée. Le film transpire New York, on sent une vraie identité. Plusieurs thèmes se chevauchent, on n'y entre pas de plein pied, c'est fait en subtilité, une douce spirale qui permet à chacun de s'identifier à son niveau et de trouver des réponses aux questions soulevées.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 31 juillet 2015
    Cela commence avec la légèreté d'une comédie dans laquelle on se laisse rapidement happer, puis le ton change peu à peu, gagnant en sérieux. Plus que sur le couple incarné par Naomi Watts et Ben Stiller, le film se focalise en fait sur la relation (presque fascination) entre ce dernier et Adam Driver, dont le personnage énigmatique se révèle le plus ambigu et travaillé. Si ce développement offre des perspectives plutôt intéressantes, on finit cependant par regretter l'élan insufflé en première moitié, car la distinction trop marquée entre la partie comédie et la partie drame entraîne inévitablement une nette baisse le rythme et laisse au final l'impression d'une œuvre indécise.
    funpav
    funpav

    14 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 juillet 2015
    voila un film très bavard, et finalement très superficiel. je ne doute cependant pas que les bobos snobinards vont adorer ce film finalement très intello et à la structure narrative bien mal contrôlée malgré quelques sujets de fond qui auraient mérité un autre traitement (la place et le rôle du cinéma documentaire est cependant abordée non sans ironie, la place du couple sans enfant dans la société est également intéressant). Dommage que l'absence de liant nous amène à nous détacher de cette histoire ou la manipulation joue un rôle important dans ce choc générationnel
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 30 juillet 2015
    Si vous avez vu la bande annonce - dont on a été matraqués de toutes parts - alors passez votre chemin : vous avez déjà tout vu.
    Il faut le reconnaître... on s'ennuie vite avec ce While We're Young. Le propos du film, bien que largement usé, sur le passage de la jeunesse à l'âge adulte, semblait être envisagé ici sous un nouvel angle : l'histoire de deux couples qui sympathisent malgré leurs décennies d'écart. Et pourtant cette originalité se fend rapidement de clichés éculés qui ne peuvent provoquer que l'exaspération. Parce que c'est bien connu, tous les jeunes sont comme le couple formé par Jamie/Adam Driver & Darby/Amanda Seyfried : spoiler: ils aiment le vintage et gardent des poules dans leurs apparts qui ont des allures de squats
    . Quand on a à peu près le même âge que ce couple de jeunes, on ne peut qu'être effaré par cette vision maladroitement et faussement fantasmée de la jeunesse, vision dont le cinéma Hollywoodien a tendance à nous affubler. On peut aisément pardonner ce procédé lorsqu'il est drôle, mais Noah Baumbach nous livre une œuvre tellement plate qu'aucune excuse ne peut être trouvée.
    La musique, pourtant sympathique dans la bande annonce, devient simplement énervante durant le film tant elle est présente. Et je ne parle même pas du twist du scénario qui fait subitement passer l'intrigue secondaire spoiler: la réalisation des métrages de Josh/Ben Stiller et Jamie/Adam Driver
    au premier plan ; comme si l'idée du lien entre générations n'avait pas été suffisant pour faire un film d'une durée convenable et qu'on avait décidé un peu au hasard une nouvelle intrigue pour la deuxième partie du film. Et à ce moment-là, si ce n'a pas été fait avant, on décroche.
    Quitte à regarder un Noah Baumbach, allez plutôt voir Frances Ha - au moins vous n'aurez pas perdu votre temps.
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 juillet 2015
    Arthrose, perte d'acuité visuelle, douleurs musculaires, voici quelques stigmates des premiers signes de vieillissement pour les post-quadragénaires. A cela s'ajoute le décalage grandissant entre les jeunes générations (qui s'adonnent pour le coup à une sorte de fétichisme des vieilleries) et les plus âgées, certaines qu'un tournant de la vie est passé et qu'on ne peut plus revenir en arrière. C'est exactement ce qui arrive au couple Srebnick qui rencontre un jeune couple, Jamie et Darby, résolument dandys (hipster pour Jamie, on est heureux de l'apprendre), cools évidemment, mais surtout ambitieux. Ils font connaissance lors d'une conférence que Josh donne en qualité de documentaire, en manque d'ambition certaine, malgré un certain talent. Au-delà de la confrontation des âges, le film "While we're Young" est une histoire sur une formidable imposture, celle d'un jeune cinéaste, inconnu du bataillon, sans réseau, prêt à tout, et on le comprend, pour faire vivre sa passion. En dépit du genre annoncé, on ne rigole pas franchement pendant la séance. Il y a peut-être quelque chose de trop américain, de trop suranné qui empêche le rire véritable. Le film ne résiste pas à un excès de caricature, sans doute par volonté d'autodérision de la part du réalisateur, où le jeune, strictement jeune, et le vieux, strictement vieux, s'enferment dans des poncifs réducteurs, conférant aux personnages une sorte de ridicule théâtral. La fin, qu'on ne dévoilera pas, ou plutôt l'épilogue, sauve franchement le film. On découvre en effet que derrière la caricature, Noah Baumbach fait preuve d'une forme glaçante de cynisme. Cette touche est la marque même de fabrique du réalisateur, repérable dans les très bons "Broadway Therapy" ou "Frances Ha" ou encore le fabuleux "Fantastic Mr Fox" qui flirtent en permanence entre le théâtre de la comédie humaine et la recherche d'une certaine esthétique cinématographique. On ne peut pas nier le talent du réalisateur, son art de la moquerie sociale mais au bout du compte, on reste un peu sur sa fin.
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    247 abonnés 883 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 juillet 2015
    Encore une histoire de couple pour le réalisateur Noam Baumbach dont les films semblent toujours avoir un petit coté dépressif. Cinq ans après Greenberg, il offre à nouveau à Ben Stiller un autre rôle de quadragénaire pas très bien dans sa peau. Un réalisateur de documentaire qui galère depuis huit ans sur le même sujet et qui va sortir de sa routine en rencontrant Jamie un jeune fan d'une vingtaine d'année qui cherche lui aussi à réaliser des documentaires.

    Il forme avec sa femme jouée par Naomi Watts, un couple qui ne se voit pas vraiment vieillir et qui vit avec son temps avec tablettes smartphone et Netflix et autres progrès de l'ère moderne. Tout le contraire du couple joué par Adam Driver et Amanda Seyfried. Tout deux sont encore dans leur vingtaine et pourtant ils vivent dans une sorte de nostalgie d'une époque qu'ils ont à peine connu avec vinyls et VHS et un refus de vivre accro à leur téléphone. Cette fraîcheur va réveiller chez les quadras l'envie de sortir à nouveau et de casser la routine dans laquelle leur couple s'est enfermé.

    Cette histoire de différence de génération et de passage de flambeau fait beaucoup penser aux films de Woody Allen comme Anything Else ou Whatever Works, une influence bien volontaire de la part du réalisateur Noah Baumbach qui a toujours aimé mettre une part d'autobiographie dans ses longs métrages. Ni spécialement drôle ni particulièrement dramatique, le film se vit comme une chronique de notre époque où la frontière entre les générations est de moins en moins marquée.

    Ce n'est donc pas le Ben Stiller délirant de Tonerre Sous Les Tropiques que l'on retrouve ici mais celui plus en retenu de La Vie Rêvée de Walter Mitty. Le comédien est de toute façon excellent dans tous les registres et le démontre à nouveau ici. Révélé par la série Girls, Adam Driver continue sa carrière au cinéma après une remarquable prestation dans Et (Beaucoup) Plus Si Afffinités, il gagne en ampleur dans le rôle à facette de Jamie, jeune réalisateur aux dents longues. On a cependant toujours du mal à l'imaginer en futur grand méchant du prochain Star Wars.

    Pourtant réalisateur du remarqué Frances Ha, Noah Baumbach a bien du mal ici à donner de l'ampleur aux rôles féminins de ce film qui restent bien secondaires. Il faut dire que c'est peut être parce que les rôles devaient initialement être tenues par Cate Blanchett et Greta Gerwig que Naomi Harris et Amanda Seyfried paraissent si fades. Il est vrai que les deux actrices n'ont jamais vraiment été connues pour des rôles comiques même si cela pourrait changer avec son rôle dans Ted 2.

    Difficile de savoir ce qu'a voulu franchement nous raconter Noah Baumbach dans While We're Young. Le film part en effet dans tous les sens en abordant plusieurs thèmes comme le refus de vieillir, l'envie de faire des enfants, et l'arrivisme sans arriver à construire réellement un scénario. Heureusement que Ben Stiller est là pour porter le long métrage et éviter que l'on s'ennuie. On ne sera cependant que très moyennement convaincu par ce film sympathique mais très inégal.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    182 abonnés 2 268 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 juillet 2015
    Ce film joue sur les oppositions : opposition de générations avec une jeunesse insouciante et une génération de quadras à l’âge des premiers bilans, opposition du documentaire à l’ancienne contre le documentaire scénarisé et mis en scène à la Michael Moore, opposition de valeurs (un « to be or not to be » éthique) … mais ce film, plein de très bonnes idées et de très bons thèmes, ne tient pas la distance. La faute à une réalisation qui n’est pas des plus inventives, à une volonté de faire passer trop de messages et à un casting décevant. Côté casting justement, je n’ai pas reconnu physiquement Charles Grodin – l’âge ne fait pas son effet uniquement sur les personnages, les acteurs y ont droit aussi !) – que je n’avais pas vu au Cinéma depuis 22 ans et qui est parfait dans son rôle de « référence du documentaire », honoré par la profession.
    « While We’re Young » me conforte dans l’idée que j’ai eu en voyant le précédent film du réalisateur Noah Baumbach, Frances Ha, que j’avais apprécié modérément alors que la plupart des critiques étaient dithyrambiques : ses œuvres ne sont décidément pas faites pour moi… Pourtant, au vu du scénario, nous avons des points d’intérêt communs !
    vincenzobino
    vincenzobino

    115 abonnés 390 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juillet 2015
    Premier film de Baumbach que je visionne, while we are young est une bonne surprise.
    Vu en totale inconnue et plus que la trame déjà vue, c'est essentiellement la présence du duo Stiller-Naomi Watts qui me poussa a tenter l'expérience. Et si l'on pourrait regretter un second quart quelque peu poussif, le reste est très agréable a suivre.
    Outre la crise de la quarantaine, un autre thème se dégage: la confiance et une certaine naïveté. Et rien dans la bande-annonce ne laisse présager de la seconde moitié.
    Quatuor excellent et c'est bien Ben Stiller qui sort du lot. Apparemment Walter Mitty semble être synonyme d'un nouveau souffle. Adam Driver est tout aussi excellent et quel plaisir de retrouver Charles Grodin plutôt rare ces temps-ci.
    Impossible d'en dire plus mais a recommander...
    Fritz L
    Fritz L

    182 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 juillet 2015
    Noah Baumbach devait être sérieusement en panne d’inspiration lors de la réalisation de ce film dont les ambitions « grand public » sont à peine voilées. On ne retrouve ni la profondeur de la réflexion et de l’émotion se cachant à chaque plan de « Les Berkman se séparent », ni la légèreté et le grain de folie de « Frances Ha ». « While you’re young » est un film mesuré, éteint et laborieux. A commencer par le scénario qui concentre son lot de scènes, situations et dialogues convenus, déjà traités mille fois. La seule originalité tenant à un constat assez manichéen sur la perception de la jeunesse quand on arrive à un certain âge, d’abord séduisante puis diabolisée. C’est ce qui se produit pour le couple Josh et Cornelia (Stiller/watts tous deux très bons au demeurant) campant deux quadras un peu largués, quand ils rencontrent Jamie et Darby (Driver/Seyfried tous aussi bons), deux hispters de 25 ans en union libre, dans tous les sens du terme. Entre rejet d’un conformisme ennuyeux (réussite, enfants, confort…) et l’âge qui avance, le couple d’ainés sera fasciné par la vitalité et l’originalité de leurs cadets. C’est d’ailleurs la position de Baumbach sur ce sujet qui ne fonctionne pas, il instaure peu à peu un clivage, qui se veut théorique (technique du dos à dos), mais qui ne reste en tout état de cause qu’anecdotique. Car quelque soit les travers de Jamie et Darby, les angoisses de Josh et Cornelia ne reposent que sur eux-mêmes, ils sont d’un mortel ennui. Et une rencontre avec un couple de sexagénaire aurait donné le même résultat. De fait, le réalisateur va à contrario de l’effet escompté, el plonge tous ses personnages dans le même bain, une inappétence d’intérêt. Ce psychodrame petit bourgeois manque d’ironie, de cruauté et au final de sens (la fin est totalement ratée).
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 28 juillet 2015
    Un film en demie teinte pas tant sur le fossé generationnel que sur les évolutions de la creation... Les acteurs chevronnés sont excellents ( avec la palme pour Naomie Watts) le comedien de Girls est décevant de platitude... Un film pas indispensable... Donc
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 27 juillet 2015
    un film péniblement démonstratif, prétentieux et creux ... zéro émotion, personnages fonctionnels.
    Loïck G.
    Loïck G.

    336 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juillet 2015
    J’ai l’impression que c’est le genre de film qu’il faut voir et revoir pour en découvrir chaque fois de nouvelles images, des intentions cachées , et cette volonté de toujours créer pour aller au plus près de la vérité, des sentiments, même si la voie est parfois sans issue. Noah Baumbach s’accommode fort bien de cet état d’esprit pour nous parler une fois encore de la vie de couple, mais aussi de la nécessité de faire du cinéma ou des enfants. Un couple très absorbé par ses certitudes découvre auprès d’un couple beaucoup plus jeune et plus bohême que la vie prend parfois des variantes bien plaisantes. Surtout quand la flatterie et l’admiration béate enrobent le propos d’une alléchante destinée, qui pourrait s’apparenter à une autre liberté. Mais le jeune homme, un brin vampire, n’a-t-il pas tout manigancé pour arriver à se faire admettre au sein de la famille du créateur ? On parle alors d’honnêteté, et de la nécessité de la création. « Pourquoi filmer ? » s’interroge-t-on, « c’est du vent en boîte ». Et quand le vent tourne, l’imposteur peut être démasqué… C’est au bout du compte un film cruel, qui n’épargne surtout pas les cœurs purs, comme celui du héros que Ben Stiller interprète à la perfection, très bien accompagné de sa dame de cinéma Naomi Watts et du méchant garçon tout aussi bien joué par Adam Driver. Une très belle affiche pour un excellent film.
    Pour en savoir plus
    Julien D
    Julien D

    1 198 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 juillet 2015
    Si son précédent film, Frances Ha, avait été à ce point acclamé par la critique en 2012, c’est parce qu’il s’éloignait enfin des tergiversations autobiographique, et donc centrées sur son petit univers bobos nantis de New York Village, pour faire preuve d’un travail de cadrage et photographie remarquable. Or, avec While We’re Young, c’est clairement vers un cinéma aux inspirations « woody-alleniennes » que Noah Baumbach se replonge, et nous avec. Avec le sadisme acide envers ses personnages dont il a toujours fait preuve, le réalisateur traite à présent de la crise de la quarantaine en opposant un couple d’artistes quarantenaires, fragilisé par son manque d’inspiration à lui et son stérilité à elle, à un couple de jeunes aussi créatifs qu’ambitieux. Dans cette rencontre intergénérationnelle, aucune piste narrative n’est aboutie, que ce soit le désir complexée d’avoir des enfants et moins encore la question de la légitimité des documentaires, ne laissant à ce scénario trop bavard qu’une faible cohérence sinon de servir à Baumbach à énoncer son dégoût pour la superficialité des hipsters en n'hésitant pas à multiplier tant de stéréotypes qu'il donne l'impression de ne pas connaitre son sujet.
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