Le prénom en question, il est facilement devinable. J'y ai pensé bien avant que Bruel en donne la première lettre, parce que bon, quel autre prénom pourrait justifier tant de mic-mac? Et même si dans la pièce, pardon, le film, ce n'est qu'une plaisanterie qui déclenchera les hostilités personnelles, ce prénom-là est le prénom de mon grand père maternel, ( à l'allemande ), et celui du grand père de mon mari, ( à la française ), et on aurait été en droit de le donner à notre fils, en troisième prénom, par exemple, si la loi l'avait permis, ( je suis pas trop sûre, pour le coup, on n'a même pas essayé, bien sûr, vu que le prénom en question, en plus de ne pas être joli, aurait valu des ennuis à notre bébé, alors... ). Bref, c'est une énième variante des querelles de famille où tout un chacun dit ses quatre vérités aux autres au cours d'un dîner, ou d'un week-end, dans d'autres films, Jaoui- Bacri, par exemple. Bref, c'est toujours le même principe. Moi, j'aime bien ce genre de films, et le Prénom, c'est vraiment pas mal dans le genre. Les gens disent que c'est du théâtre filmé, c'est vrai, mais c'est mieux qu'une pièce de théâtre, on évite les rires bêbêtes ou nerveux des spectateurs. Franchement, je ne me suis pas ennuyée et c'est formidable.