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Votre avis sur Le Prénom ?
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TTNOUGAT
C’est avant tout une pièce de théâtre et cela se sent en permanence, les acteurs sont irréprochables même s’ils forcent un peu leurs talents naturels, le scénario est intelligent et les dialogues brillants . La mise en scène est acceptable malgré quelques outrances de mauvais goûts. Que manque t -il alors pour que 90 % des spectateurs l’adorent à l’instar du dîner de cons? Je pense qu’ils sont comme moi, ils ont été choqué par l’absence de limites et les invraisemblances. Tout semble autorisé à partir du moment où le coté gauche caviar, droite bobo, ou simplement intello est reconnu par ceux ou celles qui ne sentent pas blessés par les propos extrêmement violents que les membres de cette famille s’assénent. Une situation douloureuse improbable est même artificiellement crée pour en accentuer la force. En 2012 tout semble autorisé, même de blesser profondément autrui au plus profond de lui même. Me mettant facilement à la place des personnages, j’ai ressenti de réel malaises devant l’ironie, le sadisme et la complaisance des propos. Personne n’y échappe même pas l'hôtesse qui s’auto-flagelle à la limite du masochisme. Je pense que l’on peut rire de presque tout mais il faut savoir le faire avec du coeur comme par exemple Begnini dans ‘’la vie est belle’’ . Dans le prénom ce qui manque totalement , c’est un regard affectueux des auteurs sur les personnages qu’ils font vivre. Je pense que le papa d’Alexandre n’aurait jamais accepté de réaliser un tel film
gimliamideselfes
Je ne sais même plus pourquoi j'ai voulu voir ce film, sans doute parce que j'aime le théâtre et les huis clos que le précédent que j'ai vu (même si ça date) : Carnage était loin d'être mauvais. Il y avait sans doute dans mes yeux ce petit espoir de retrouver ce que j'ai aimé chez Polanski. Sauf que à ceci près, que chez Polanski on a du talent devant et derrière la caméra. Je pense que personne ne m'en voudra si je crache un peu sur Bruel (de son vrai non Benguigui (ça a tout de suite moins de charme), Benguigui ou bien encore El Zein. (je n'ai rien contre Berling).
Un film où une famille bourgeoise se déchire ça peut être génial, sauf que là, on sent que c'est pour de faux, que c'est du jeu, du coup la véhémence des propos (et encore, c'est bien sobre) n'ont aucun impact. Et j'en veux pour témoin la fin bien consensuelle.
Le film suit un schéma bien huilé, chacun en prend pour son grade à son tour, sauf que ça n'a jamais de réelle conséquence et finalement le choix du prénom n'est pas important, on s'en fout.
Ce qui me gêne c'est la vacuité du film, il ne va jamais parler de la bourgeoisie, il accumule certes les références bourgeoises, mais sans jamais rien en faire. On n'est pas chez Bunuel vois-tu ? On est chez les bourgeois qui parlent de bourgeois sans jamais être intéressant. Dommage.
Ce qui est d'autant plus dommage c'est que certains dialogues sont assez drôles, mais terriblement mal joués. Difficile de croire à la fausse répartie de Bruel, difficile de croire aux personnages tant ils semblent faux, ici tout est factice, tout sent le toc. C'est dommage. Je veux bien qu'il s'agisse de théâtre, mais tout de même, si l'on ne peut pas croire à la situation, ça ne sert à rien de le filmer, autant que ça reste sur scène.
Et c'est quand même frustrant qu'à chaque fois qu'une révélation pourrait avoir un impact, hop on trouve une porte de sortie.
Et tout ça pour dire, la famille on se dispute, mais on s'aime. Ohhh c'est juste complètement gerbant.
Et tout ceci manque de cynisme, d'un petit rire jaune, comme avec le personnage de Waltz dans Carnage. Là on voit juste une bande de baltringues être passablement drôle, passablement convainquant…
Le film est beaucoup trop long. Sur la fin on a compris, juste ferme de ta gueule et avale.
Un film où une famille bourgeoise se déchire ça peut être génial, sauf que là, on sent que c'est pour de faux, que c'est du jeu, du coup la véhémence des propos (et encore, c'est bien sobre) n'ont aucun impact. Et j'en veux pour témoin la fin bien consensuelle.
Le film suit un schéma bien huilé, chacun en prend pour son grade à son tour, sauf que ça n'a jamais de réelle conséquence et finalement le choix du prénom n'est pas important, on s'en fout.
Ce qui me gêne c'est la vacuité du film, il ne va jamais parler de la bourgeoisie, il accumule certes les références bourgeoises, mais sans jamais rien en faire. On n'est pas chez Bunuel vois-tu ? On est chez les bourgeois qui parlent de bourgeois sans jamais être intéressant. Dommage.
Ce qui est d'autant plus dommage c'est que certains dialogues sont assez drôles, mais terriblement mal joués. Difficile de croire à la fausse répartie de Bruel, difficile de croire aux personnages tant ils semblent faux, ici tout est factice, tout sent le toc. C'est dommage. Je veux bien qu'il s'agisse de théâtre, mais tout de même, si l'on ne peut pas croire à la situation, ça ne sert à rien de le filmer, autant que ça reste sur scène.
Et c'est quand même frustrant qu'à chaque fois qu'une révélation pourrait avoir un impact, hop on trouve une porte de sortie.
Et tout ça pour dire, la famille on se dispute, mais on s'aime. Ohhh c'est juste complètement gerbant.
Et tout ceci manque de cynisme, d'un petit rire jaune, comme avec le personnage de Waltz dans Carnage. Là on voit juste une bande de baltringues être passablement drôle, passablement convainquant…
Le film est beaucoup trop long. Sur la fin on a compris, juste ferme de ta gueule et avale.
Conventionnel dans son amorce, son intrigue à rebondissements ou encore son huis clos théâtral, "Le prénom" n'en reste pas moins une production agréable à suivre, jouant à plein la carte de la causticité. Les personnages belligérants sont sans pitié entre eux, n'hésitant pas à donner l'estocade quand ils sentent leur victime à bout de souffle. L'intelligence des répliques et le large panel des thèmes évoqués sont eux-aussi fort appréciables. Bémol, l'excentricité de certains retournements de situation ainsi que le caractère pénible voire insupportable de certains personnages, en particulier celui incarné par Patrick Bruel.
stallonefan62
premiere demi heure un peu poussif avant une avalanche de gags et répliques très drô acteurs sont tous très très bons
AV ciné
Une bonne comédie très originale !
L'histoire est très bien pensée et Patrick Bruel, Valérie Benguigui, Charles Berlingot et Guillaume De Tonquédec sont très convaincants !
Les autres acteurs sont corrects et les décors sont agréables.
L'ambiance est plaisante et les gags et les répliques sont vraiment très bons, les rebondissements sont en plus très efficaces !
Un huis clos donc réussi avec des personnages appréciables et un récit pleins de péripéties très bien trouvées et surtout très amusantes dont certaines sont très justement révélatrices de choses que l'ont n'ose pas dire dans son cercle familial et amical !
L'histoire est très bien pensée et Patrick Bruel, Valérie Benguigui, Charles Berlingot et Guillaume De Tonquédec sont très convaincants !
Les autres acteurs sont corrects et les décors sont agréables.
L'ambiance est plaisante et les gags et les répliques sont vraiment très bons, les rebondissements sont en plus très efficaces !
Un huis clos donc réussi avec des personnages appréciables et un récit pleins de péripéties très bien trouvées et surtout très amusantes dont certaines sont très justement révélatrices de choses que l'ont n'ose pas dire dans son cercle familial et amical !
On m'avait dit que ce film pouvait être comparé au "Diner de cons" .
Etant fan de ce film il ne m'en a pas fallu plus pour me précipiter voir "Le prénom" ....
Mais quel blasphème !!!!! Je n'ai pas rit une seule fois de tout le film et mes 3 amis non plus ! Je n'ai cessé de regarder ma montre tant c'était devenu insupportable de regarder 6 crétins se disputer pendant 1 heure et demi !!!
Les blagues sont intellos et vous ne les comprendrez pas à moins d'avoir fait bac 10 .
Bref, vraiment très nul, je n'allais pas bien et pensais me remonter le moral, j'en suis ressortie encore déprimée que jamais .
Etant fan de ce film il ne m'en a pas fallu plus pour me précipiter voir "Le prénom" ....
Mais quel blasphème !!!!! Je n'ai pas rit une seule fois de tout le film et mes 3 amis non plus ! Je n'ai cessé de regarder ma montre tant c'était devenu insupportable de regarder 6 crétins se disputer pendant 1 heure et demi !!!
Les blagues sont intellos et vous ne les comprendrez pas à moins d'avoir fait bac 10 .
Bref, vraiment très nul, je n'allais pas bien et pensais me remonter le moral, j'en suis ressortie encore déprimée que jamais .
Une poignée de comédiens dont je ne suis pas forcément fan. Toute fois, cette pièce (dont je ne connaissais l’existence) adaptée au cinéma, se laisse regarder tranquillement. L'humour y est, et c'est bien ce qui compte. Patrick Bruel est drôle ! Et toute l’interprétation des autres acteurs en tire une image plutôt bonne de ce film.
J’ai déjà vu cette comédie au moins 4 ou 5 fois, et je l’adore toujours autant. Les comédies en huis clos avec une bande d’amis sont vraiment une spécialité française, et celle-ci ne déroge pas à la règle. Tout se passe bien jusqu’à ce qu’il y en ait un qui sorte le petit sujet polémique et là, tout commence à partir en vrille. À partir de ce moment-là, fous rires garantis. La composition de ce groupe est parfaite par sa diversité, rendant les attaques encore meilleures. On aura Patrick Bruel en nouveau riche se pavanant avec son argent, sa femme Judith El Zein toujours sur les nerfs, Charles Berling en bobo intellectuel de gauche, Valérie Benguigui en maitresse de maison un peu trop effacée à mon goût, et Guillaume De Tonquédec qui ne dit rien, neutre comme la Suisse. Ce mélange explosif fera des merveilles. D’autant plus, que ces acteurs, à l’exception de Charles Berling, jouaient ensemble dans la pièce de théâtre. Il y a donc une véritable alchimie entre eux. À travers ce simple sujet du prénom, les réalisateurs s’attaquent aussi au sujet du politiquement correct. Quelles sont les limites de notre société pour ne pas choquer et rester dans les clous. Les dialogues virulents et de qualités vont d’ailleurs les faires exploser. En plus de cela, on aura droit à de beaux plaidoyers de Patrick Bruel et Charles Berling, deux spécialistes en la matière quand il s’agit de philosopher. Le trio masculin est tout simplement exceptionnel. C’est un plaisir de les voir jouer. Guillaume De Tonquédec a d’ailleurs eu le César du Meilleur acteur dans un second rôle.
Après avoir été un énorme succès sur les planches, la pièce "Le Prénom" se voit offrir une adaptation sur grand écran réunissant la même équipe (à l’exception de Jean-Michel Dupuis remplacé par Charles Berling). On comprend dès lors aisément pourquoi le casting est si complice et surtout particulièrement à l’aise avec les dialogues, les multiples représentations ayant permis aux acteurs de connaître leurs textes à la perfection ainsi que les réactions de leurs partenaires. L’interprétation est donc l’un des gros points forts de ce "Prénom" avec un Patrick Bruel étonnant en agent immobilier arrogant et blagueur (on apprécie notamment la façon dont la star joue avec son image de beau gosse sûr de lui), un Charles Berling hilarant en prof bobo colérique, une Valérie Benguigui magnifique en sœur étouffée par l’ombre de son frère et un Guillaume de Tonquédec excellent en meilleur ami précieux. Je suis un peu plus réservé sur Judith El Zein, dont le rôle de future maman stressée est moins propice à l’emballement et dont le jeu est peut être un peu trop nerveux. Ce formidable casting a cependant la chance de bénéficier de scènes à la fois drôles et burlesques, qui fleurent bon le théâtre de boulevard, mais surtout magnifiées par d’exceptionnels dialogues qui sortent des sentiers battues de la vannes franchouillardes. Il faut voir les joutes verbales auxquelles se livre cette bande d’amis suite à une mauvaise blague de l’un d’entre eux. Car si "Le Prénom" traite d’un sujet universel (le choix du prénom du premier enfant et les inévitables commentaires des proches), il s’agit davantage d’un prétexte (le prénom est d’ailleurs rapidement révélé) servant à crever les différents abcès existants entre les personnages, soit un sujet tout aussi universel. Les petits secrets et les vielles rancunes explosent dans un feu d’artifice de répliques mémorables et de crises de nerfs parfois un peu trop surjouées. Ce dernier point est d’ailleurs la faiblesse principale du film dont les coutures théâtrales sont trop apparentes et qui souffre par moment du syndrome de "la pièce de théâtre filmée". On ressent ce petit vice de fabrication avec le principe du huis clos mais surtout à travers la construction du rythme du film, calquée sur le rythme de la pièce (avec ses temps forts et ses moments plus calmes, ses sorties de scène des personnages et leurs retours, les monologues pas très adaptés pour le grand écran…). On pourra également reprocher au Prénom une introduction servant à la présentation des personnages un peu trop longue et détaillée. Mise à part ce point, qui l’empêche d’égaler "Le Dîner de cons" (référence visiblement indépassable), "Le Prénom" est une vraie réussite particulièrement drôle et sans doute l’une des meilleures comédie de l’année.
Pour être franc j'attendais peu de ce film... et j'ai été très agréablement surpris une nouvelle fois. Si "Le prénom" s'impose d'abord comme une pièce de théâtre comique réussie, il n'en demeure pas moins qu'il se révèle finalement un huit clos d'une précision presque agaçante. Si on laisse de côté le travail de mise en scène, on a le droit à des personnages hyper-caractéristiques (et de ce fait très clichés pour l'intérêt du film), les dialogues sont juteux et poignants, l'humour décapant bien que très français. C'est une rencontre entre deux mondes opposés aussi, un "clash" quasi incontournable entre la représentation de deux catégories sociales qui se vouent une haine éternelle. L'humour devient pourtant le personnage principal de ce théâtre de boulevard cynique qui tend à virer vers l'absurde. Il n'y a pas non plus de mots pour décrire la justesse avec laquelle chaque personnage secondaire est interprété tant le jeux d'acteurs est également un parti pris très chouchouté des deux réalisateurs. Alors pourquoi "Le prénom"? L'histoire se base au préalable sur une blague qui tourne mal, le personnage principal faisant croire qu'il désire appeler son fils "Adolphe" puis "Adolf" C'est alors que les règlements de comptes s'entremêlent avec une force dramatique impressionnante : amis, mari et femme, mère et fils, frères et sœurs se jettent la pièce à tour de rôle et le spectateur a du mal à se situer entre le vrai et le faux (qui participe aux coup montés?) "Le prénom" tend vers la tragi-comédie finalement, et séduit par la qualité de son écriture et de son jeu d'acteurs.
Christoblog
Le prénom permet de passer un bon moment, et c'est déjà ça.
Bien sûr, il s'agit quasiment de théâtre filmé, l'action se déroulant le temps d'une soirée entre amis d'enfance, dans un appartement parisien (dont le décors a été intégralement construit pour les besoins du film).
L'impression d'être au théâtre est renforcée par le fait que les comédiens principaux du film jouaient également au Théâtre Edouard VII, où la place à été donnée plus de 200 fois (sauf Charles Berling). C'est peut-être pour cette raison que le film semble si efficace, du moins dans ses deux premiers tiers, avec un rythme enlevé et des réparties qui font mouche, quittant (un peu) les sentiers battus de la comédie franchouillarde de repas bourgeois.
La fameuse histoire du prénom n'est que le prétexte initial à un grand déballage, à la fois amusant, tendre et cruel.
J'ai tout particulièrement aimé la prestation de l'incroyable Guillaume de Tronquédec, décisif en timide un peu mou, que les autres prennent pour un homo (la preuve : il écoute Etienne Daho et porte des chemises oranges), ce qu'il n'est pas là, comme le twist final le révèlera. Bruel est absolument convaiquant en quarantenaire qui a réussi, face à un Charles Berling campant idéalement le bobo de gauche, qui lit Télérama et n'a pas de télé. Les deux actrices (Valérie Benguigui et Judith El Zein) sont au diapason.
Un divertissement de qualité. D'autres critiques sur Christoblog : http://www.christoblog.net/
Bien sûr, il s'agit quasiment de théâtre filmé, l'action se déroulant le temps d'une soirée entre amis d'enfance, dans un appartement parisien (dont le décors a été intégralement construit pour les besoins du film).
L'impression d'être au théâtre est renforcée par le fait que les comédiens principaux du film jouaient également au Théâtre Edouard VII, où la place à été donnée plus de 200 fois (sauf Charles Berling). C'est peut-être pour cette raison que le film semble si efficace, du moins dans ses deux premiers tiers, avec un rythme enlevé et des réparties qui font mouche, quittant (un peu) les sentiers battus de la comédie franchouillarde de repas bourgeois.
La fameuse histoire du prénom n'est que le prétexte initial à un grand déballage, à la fois amusant, tendre et cruel.
J'ai tout particulièrement aimé la prestation de l'incroyable Guillaume de Tronquédec, décisif en timide un peu mou, que les autres prennent pour un homo (la preuve : il écoute Etienne Daho et porte des chemises oranges), ce qu'il n'est pas là, comme le twist final le révèlera. Bruel est absolument convaiquant en quarantenaire qui a réussi, face à un Charles Berling campant idéalement le bobo de gauche, qui lit Télérama et n'a pas de télé. Les deux actrices (Valérie Benguigui et Judith El Zein) sont au diapason.
Un divertissement de qualité. D'autres critiques sur Christoblog : http://www.christoblog.net/
Adaptation cinématographique par Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte de leur propre pièce, Le Prénom est en quelque sorte une version comique de Carnage de Roman Polanski (qui est une adaptation de la pièce Le Dieu du carnage de Yasmina Reza). Cependant, il ne faut pas s'attendre à un enchainement d'éclats de rire. En effet, l'humour du film est assez cynique et on sourit plus que l'on l'on hurle de rire. Les dialogues et l'interprétation sont brillants et on sent que jeu de massacre et de déballage entre amis, conséquence d'une blague de mauvais gout, pourrait facilement arriver à tout le monde. Même s'il pourrait un peu décevoir certains spectateurs s'attendant à un film hilarant, Le Prénom reste tout le long de son déroulement très crédible et d'un rythme constant.
Une soirée familiale qui vire au règlement de compte suite à une mauvaise blague. Comédie française sympathique et bien interprétée, le prénom passe du rire à l'émotion, du dérisoire au sérieux. Une jolie comédie en huis clos tirée d'une pièce de théâtre. Les comédiens, très bons d’ailleurs, s'en donnent à coeur joie. Agréable.
L'histoire d'un groupe de parisiens qui s'engueulent en permanence (sans raison valable évidemment) pendant 1h50. Long, bruyant et fastidieux.
iceman7582
Une comédie française franchement réussi, les dialogues sont croustillant, les quiproquos font mouche et le scénario est habilement construit. Les acteurs sont tous bons, et on sent chez le réalisateur une véritable intention de faire passer un message sincère sur le ton de la rigolade. On passe un agréable moment avec quelques scènes mémorables.
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