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Chacun connait son rôle à la perfection et lui confère dès lors une succession de performances rares. (...) un délire total, d'une efficacité folle et au rythme incessant. (...) on rit vraiment jusqu'à la dernière seconde. Bref, "Le Prénom" se classe d'ores et déjà parmi les incontournables de la comédie.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La montée dramatique à tiroirs fonctionne et, si le film avance en boitant, il avance tout de même (...). ["Le Prénom"] est une pièce filmée. Ni plus ni moins. C'est-à-dire une oeuvre qui a le cul entre deux chaises.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les auteurs prennent bien soin de ne pas s'aventurer trop avant sur les terrains minés. (...) On se souviendra du plaisir manifeste que prend Patrick Bruel (qui a créé le rôle à la scène) à incarner un propriétaire de voiture allemande (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
On reste longtemps dans une atmosphère et une démarche de théâtre filmé avant que peu à peu le rythme des dialogues et l'énergie des interprètes ne parviennent à en faire sauter le carcan des conventions. Pour offrir un plaisir débridé.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Cela reste du " boulevard " malin. (...) C'est souvent plat comme du théâtre filmé, mais "Le Prénom" reflète plutôt bien nos petitesses, nos vanités et nos frustrations, que l'on soit bobo ou bling-bling.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Comme si Delaporte et La Patellière avaient craint d'assumer jusqu'à la dernière minute le plaisir boulevardier dans lequel ils se sont auparavant joyeusement vautrés.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
"Le Prénom" renoue avec le genre très français du théâtre filmé, option boulevard des familles. (...) On y enfile les clichés politiques, on dénoue quelques traumas familiaux et on rigole des problèmes érectiles de monsieur : l'horreur.
(...) Personnages clichés et situations improbables, cette pièce de boulevard passe mal le cap de l'adaptation au cinéma. Manque de souffle, manque d'incarnation et, surtout, manque d'audace dans la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Première
Excessif
Chacun connait son rôle à la perfection et lui confère dès lors une succession de performances rares. (...) un délire total, d'une efficacité folle et au rythme incessant. (...) on rit vraiment jusqu'à la dernière seconde. Bref, "Le Prénom" se classe d'ores et déjà parmi les incontournables de la comédie.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
Un pur moment de comédie, servi par des dialogues ciselés, qui ne saurait gâcher le petit côté théâtre filmé.
20 Minutes
Les répliques fusent comme des pétards dans une salle à manger bobo métamorphosée en champ de bataille pour notre plus grand plaisir.
Le Parisien
Une comédie, "le Prénom" ? Sans doute, mais puissamment dramatique!
Metro
Cynique et burlesque, ce huis clos épate par une subtile montée en puissance qui écaille le vernis et exhume les griefs de chacun. Jouissif !
Positif
(...) une comédie épatante et jubilatoire, qu'on connaisse déjà la pièce ou pas.
Ecran Large
Le pot est vieux, mais la soupe est bonne.
L'Express
La montée dramatique à tiroirs fonctionne et, si le film avance en boitant, il avance tout de même (...). ["Le Prénom"] est une pièce filmée. Ni plus ni moins. C'est-à-dire une oeuvre qui a le cul entre deux chaises.
Le Figaroscope
Avec quelques coupes, le film aurait gagné en rythme, mais on ne boude pas son plaisir.
Le Journal du Dimanche
(...) texte acide et drôle sur les planches [qui] perd un peu de son impact et de son charme à l'écran.
Le Monde
Les auteurs prennent bien soin de ne pas s'aventurer trop avant sur les terrains minés. (...) On se souviendra du plaisir manifeste que prend Patrick Bruel (qui a créé le rôle à la scène) à incarner un propriétaire de voiture allemande (...).
Les Fiches du Cinéma
Rythmée et bien écrite, cette comédie se révèle assez efficace, malgré une fin conventionnelle et des flash-backs inutiles.
Ouest France
On reste longtemps dans une atmosphère et une démarche de théâtre filmé avant que peu à peu le rythme des dialogues et l'énergie des interprètes ne parviennent à en faire sauter le carcan des conventions. Pour offrir un plaisir débridé.
Télérama
Cela reste du " boulevard " malin. (...) C'est souvent plat comme du théâtre filmé, mais "Le Prénom" reflète plutôt bien nos petitesses, nos vanités et nos frustrations, que l'on soit bobo ou bling-bling.
Critikat.com
Comme si Delaporte et La Patellière avaient craint d'assumer jusqu'à la dernière minute le plaisir boulevardier dans lequel ils se sont auparavant joyeusement vautrés.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Inrockuptibles
"Le Prénom" renoue avec le genre très français du théâtre filmé, option boulevard des familles. (...) On y enfile les clichés politiques, on dénoue quelques traumas familiaux et on rigole des problèmes érectiles de monsieur : l'horreur.
Première
(...) Personnages clichés et situations improbables, cette pièce de boulevard passe mal le cap de l'adaptation au cinéma. Manque de souffle, manque d'incarnation et, surtout, manque d'audace dans la mise en scène.