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Une certaine idée de l'art tient ici, qui vaut pour aujourd'hui aussi bien que pour hier, et qu'on pourrait définir comme un humanisme de combat. Elle fait réaliser à Lucas Belvaux son plus grand film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Un long-métrage qui provoque une angoisse diffuse et permet de mesurer le talent du cinéaste pour montrer les rouages de la violence banalisée. Un "Fenêtre sur cour" qui fait froid dans le dos à tous les étages.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
(...) un homme (Yvan Attal, très bon) ne supporte pas ce silence, qui gangrène la vérité. Il veut parler. Au risque de tout faire imploser. C'est cette bombe à retardement que filme Lucas Belvaux, qui n'a jamais été aussi sûr de son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Tout est dit, tout est montré. [...] Comme si, par cette hâte, Lucas Belvaux voulait d'abord se débarrasser des lois d'un genre (le polar) pour inventer ensuite ses propres fugues. Dans le labo de son film, il précipite le plomb des clichés et les transforme en or.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Pas de moraline ni de dogmatisme, mais un regard plein d'humanité pour aborder les questions de la rédemption et du pardon. Un film profond, servi par une mise en scène rigoureuse et un Yvan Attal remarquable (...).
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Lucas Belvaux avait marqué avec sa trilogie "Un couple épatant", "Cavale", "Après la vie". A la suite de "La Fée" de Dominique Abel, Fiona Gordon et Bruno Romy (film bleu), et "Le Havre" d'Aki Kaurismäki (film bleu-gris), "38 témoins" (film gris) boucle, dans les faits, un intense triptyque cinématographique d'hommage au Havre.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Lucas Belvaux a peut-être vu trop grand en voulant aussi évoquer la crise d'un couple qui va se fracasser au contact de cette tragique histoire. L'inanité des dialogues entre Yvan Attal et Sophie Quinton finit par fragiliser la pertinence du propos.
La critique complète est disponible sur le site Première
On ne cesserait de s'évader de l'écran si Lucas Belvaux ne parvenait à en faire le champ de nos questionnements et de notre imaginaire. (...) Sur l'avenir du couple de Louise et Pierre planera jusqu'au bout le suspense.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
S'il ne semble pas toujours à l'aise avec ses répliques très écrites, Yvan Attal donne néanmoins beaucoup de profondeur [à son personnage]. Sophie Quinton (Louise), Nicole Garcia (la journaliste) et Didier Sandre (le procureur) portent avec puissance les personnages de ce thriller humaniste.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Sous un prétexte policier, Lucas Belvaux propose une réflexion sur la lâcheté, prenant le public à témoin. Chantier intéressant, mais empesé par des dialogues trop écrits.
Avec la France de Vichy comme boussole et repère historique, Belvaux semble dire "tous collabos !" Plus dénonciateur qu'observateur nuancé, ce point de vue excessivement sombre et sentencieux rigidifie un film par ailleurs joué et réalisé avec un indéniable talent.
Le recours à la puissance didactique de la fable hollywoodienne offrait à Belvaux de travailler la matière brute et charnue de ces idées (vérité, justice, culpabilité, couple) dans tout leur relief mélodramatique. Ambition d'une noble naïveté, qui jure pourtant très vite avec l'acharnement pontifiant qui guide le traitement des témoins.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Passionnant sur le fond, "38 témoins", par sa froideur revendiquée, déroute. De plus, en oubliant l'enquête au profit de la désintégration d'un couple, le film se dilue, fait du sur-place et lasse. Quel dommage !
[Lucas Belvaux] est engagé, généreux, et ce film le prouve encore. C'est juste le curseur qu'il a mal placé. La délicate balance entre le non-dit et le souligné qu'il n'a pas trouvée. Il fallait juste un rien de mesure. Un brin d'épure...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
"38 témoins" est un film très fort, qui éclaire la face sombre de l'humain, à ne pas rater.
L'Obs
Dessiné, interprété et dirigé avec maîtrise.
Le Monde
Une certaine idée de l'art tient ici, qui vaut pour aujourd'hui aussi bien que pour hier, et qu'on pourrait définir comme un humanisme de combat. Elle fait réaliser à Lucas Belvaux son plus grand film.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
Lucas Belvaux ("Rapt") signe un film noir, intense, et très humain sur la lâcheté, la peur, le mensonge et la culpabilité dont on ne sort pas indemne.
20 Minutes
Un polar philosophique captivant.
Excessif
Un long-métrage qui provoque une angoisse diffuse et permet de mesurer le talent du cinéaste pour montrer les rouages de la violence banalisée. Un "Fenêtre sur cour" qui fait froid dans le dos à tous les étages.
L'Express
(...) un homme (Yvan Attal, très bon) ne supporte pas ce silence, qui gangrène la vérité. Il veut parler. Au risque de tout faire imploser. C'est cette bombe à retardement que filme Lucas Belvaux, qui n'a jamais été aussi sûr de son cinéma.
Le Point
Voir le site du Point
Libération
Tout est dit, tout est montré. [...] Comme si, par cette hâte, Lucas Belvaux voulait d'abord se débarrasser des lois d'un genre (le polar) pour inventer ensuite ses propres fugues. Dans le labo de son film, il précipite le plomb des clichés et les transforme en or.
Marianne
Pas de moraline ni de dogmatisme, mais un regard plein d'humanité pour aborder les questions de la rédemption et du pardon. Un film profond, servi par une mise en scène rigoureuse et un Yvan Attal remarquable (...).
Positif
Lucas Belvaux avait marqué avec sa trilogie "Un couple épatant", "Cavale", "Après la vie". A la suite de "La Fée" de Dominique Abel, Fiona Gordon et Bruno Romy (film bleu), et "Le Havre" d'Aki Kaurismäki (film bleu-gris), "38 témoins" (film gris) boucle, dans les faits, un intense triptyque cinématographique d'hommage au Havre.
Première
Lucas Belvaux a peut-être vu trop grand en voulant aussi évoquer la crise d'un couple qui va se fracasser au contact de cette tragique histoire. L'inanité des dialogues entre Yvan Attal et Sophie Quinton finit par fragiliser la pertinence du propos.
CinemaTeaser
Le singulier Lucas Belvaux décortique le sentiment de culpabilité dans un thriller de l'intime. Bancal, mais à découvrir.
Ecran Large
Un film qui fait mouche dans sa réflexion sociétale mais qui rate le coche dans l'intimité de ses deux protagonistes principaux.
L'Humanité
On ne cesserait de s'évader de l'écran si Lucas Belvaux ne parvenait à en faire le champ de nos questionnements et de notre imaginaire. (...) Sur l'avenir du couple de Louise et Pierre planera jusqu'au bout le suspense.
La Croix
S'il ne semble pas toujours à l'aise avec ses répliques très écrites, Yvan Attal donne néanmoins beaucoup de profondeur [à son personnage]. Sophie Quinton (Louise), Nicole Garcia (la journaliste) et Didier Sandre (le procureur) portent avec puissance les personnages de ce thriller humaniste.
Le Parisien
Habilement rythmé, "38 Témoins" désosse la frilosité des sociétés. Yvan Attal est à l'aise dans ce registre introverti et sombre.
Les Fiches du Cinéma
Sous un prétexte policier, Lucas Belvaux propose une réflexion sur la lâcheté, prenant le public à témoin. Chantier intéressant, mais empesé par des dialogues trop écrits.
Les Inrockuptibles
Avec la France de Vichy comme boussole et repère historique, Belvaux semble dire "tous collabos !" Plus dénonciateur qu'observateur nuancé, ce point de vue excessivement sombre et sentencieux rigidifie un film par ailleurs joué et réalisé avec un indéniable talent.
TéléCinéObs
Le film souffre de son caractère théâtral mais culmine avec la reconstitution du fait-divers, sorte de psychanalyse puissante, collective et éclair.
Cahiers du Cinéma
"38 témoins" accumule d'interminables scènes dialoguées et ne parvient jamais à se départir de son statisme.
Chronic'art.com
Le recours à la puissance didactique de la fable hollywoodienne offrait à Belvaux de travailler la matière brute et charnue de ces idées (vérité, justice, culpabilité, couple) dans tout leur relief mélodramatique. Ambition d'une noble naïveté, qui jure pourtant très vite avec l'acharnement pontifiant qui guide le traitement des témoins.
Critikat.com
Très référencé (Hitchcock, Simenon...), le nouveau Lucas Belvaux souffre d'un esprit de sérieux qui plombe un beau sujet sur la lâcheté humaine.
Le Journal du Dimanche
Passionnant sur le fond, "38 témoins", par sa froideur revendiquée, déroute. De plus, en oubliant l'enquête au profit de la désintégration d'un couple, le film se dilue, fait du sur-place et lasse. Quel dommage !
Télérama
[Lucas Belvaux] est engagé, généreux, et ce film le prouve encore. C'est juste le curseur qu'il a mal placé. La délicate balance entre le non-dit et le souligné qu'il n'a pas trouvée. Il fallait juste un rien de mesure. Un brin d'épure...