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Stéphane D
119 abonnés
2 118 critiques
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4,0
Publiée le 27 novembre 2013
Si son concurrent 2011 est un remake pataud, on a ici affaire à une adaptation flamboyante, poétique et intelligente. Ayant vu les 2 à la suite, je suis passé d'une copie d'écolier sans inspiration filmée caméra à l'épaule (j'exagère un peu) à une réalisation grandiose et une musique magnifique qui font passer un simple pugilat de gosses pour une séquence de Gladiator ou de Breaveheart!
Certes les enfants sont un peu plus (trop?) vieux, certes on a moins de "tronches" qu'en face, mais au moins ils jouent correctement, ce qui est la moindre des choses pour ne pas décrocher du film!
A part cela, je trouve que la construction du scénario qui mélange l'histoire des enfants à l'Histoire (brillante idée qui permet un parallélisme intelligent) apporte un vrai plus mais certains peuvent regretter que l'histoire du film soit un peu moins centrée sur les enfants du coup. C'est pourquoi j'appelle ce film une adaptation et non un remake (aucune idée de la façon dont il a été vendu au niveau marketing, je n'ai rien lu avant d'aller les voir).
J'ai préfèré ce remake de la guerre des boutons. Le fait que l'histoire se déroule pendant la seconde guerre mondiale rajoute un plus au film. Du coup le film est plus intéressant qui est bien basé sur les confrontations entre les jeunes des deux villages et la collection des boutons comme trophée. L'ensemble des acteurs (Jugnot, Merad, Casta et Canet) s'intègrent bien dans le film et ça fonctionne avec les plus jeunes acteurs. Un bon film !
Film d'un grand classicisme , intemporel , familial mais tres reussi.Tout le monde peut si retrouver, les jeunes pour cette guerre des boutons et les adultes pour cette vrai seconde guerre mondiale et c'est une bonne idee d'avoir situe ce film a cette epoque.
Ce n’est pas la première fois que le roman de Louis Pergaud (publié en 1912) se retrouve adapté au cinéma, on se souvient tous de la version réalisée par Yves Robert en 1961 ainsi qu’un remake US en 1994 par John Roberts. Mais ce que l’on sait moins, c’est qu’il existait déjà une version dans les années 30, celle de Jacques Daroy (1936). Pour la énième fois, le roman se retrouve une fois de plus adapté au cinéma, à deux reprises coup sur coup, à savoir celle de Yann Samuell (sortie sur les écrans le 14 septembre) et celle de Christophe Barratier (sortie seulement une semaine après !). C’est ce que l’on appelle de l’acharnement (attention, ce ne sont pas des remakes de la version de 1961, faute d’avoir pu obtenir les droits). Alors que la version de Yann Samuell se déroulait dans les années 60, en pleine guerre d’Algérie, cette fois-ci, Christophe Barratier situe son intrigue dans les années 40, pendant la Seconde Guerre Mondiale. A titre de comparaison entre les deux dernières versions, celle de Christophe Barratier a indéniablement bénéficiée d’un budget beaucoup plus confortable comparé à Yann Samuell. Cela se ressent aisément, pourtant, le film avait tout pour être bâclé dès le départ, avec un tournage et un montage à la va-vite (le tournage a eu lieu entre mi-juin et fin-juillet), ajoutez à cela un montage précipité pour pouvoir livrer une version définitive à la rentrée, on s’attendait au pire, mais il faut bien reconnaître que Christophe Barratier a de la ressource pour nous offrir une jolie fresque auvergnate. Avec de superbes plans, une jolie qualité photo et une B.O omniprésente, le réalisateur ne lésine devant rien, comme en atteste quelques grands noms du cinéma français qui tentent de se faire une place auprès des gamins (Laetitia Casta, Guillaume Canet, François Morel, Kad Merad & Gérard Jugnot). Alors que Yann Samuell privilégiait les enfants, dans cette version, les adultes sont bien plus présents, certes ils n’ont pas le monopole, mais on obtient au final, un habile mélange qui conviendra parfaitement tant aux petits comme aux grands.
J'ai effectivement passé un bon moment, même si j'ai malheureusement trouvé ce film un peu dénué d'âme. Sinon j'ai trouvé le jeune couple : Violette et Lebrac très bons et très impliqués dans leur rôle. De même pour les autres acteurs. Par contre le petit gibus donne un certain peps, il reste quelquefois agaçant.
Un bon film je le préfère a l'autre meme s'il sont quand meme différents, le rajout de violette est pas mal mais je préfère l'actrice de lanterne dans l'autre film que celle de violette, sinon dans celui ci on vois bien des boutons des boutons, des boutons, le ton dramatique est bien présent ce qui n'empeche pas d'avoir quelque bonne réplique rigolotes, des acteur qui joue bien j'adore guillaume cannet bref j'ai bien aimé.
Plus de 50 ans après le premier film, j'ai choisi cette version, et je n'ai pas été deçu. La ''guerre'' des enfants, avec en fond, celle des adultes, est bien traitée, et amène un plus. Un bon moment de cinéma.
39/45 mal assumé (jusqu'à ce un grain jaunit spécial Barratier depuis "Les choristes") et comment croire, par exemple, à un dénouement aussi facile avec le milicien ?! Aucun drame dans ce film et donc aucune émotion réelle tant tout se passe bien. Scène culte et en plus indispensable reste la bataille tout nu... Là pas de nu ! Même en 62 il tombait la chemise !Casting trop copié sur la version culte de Yves Robert ce qui fait qu'on ne plonge pas assez dans le film. La BO est aussi très gênante.
cette adaptation de la guerre des boutons est un bon film qui met en scène une guerre entre deux bandes rivale d'enfant durant la seconde guerre mondiale . quelque moment drôle à voir
Une bonne moitié du film m'a semblé lente et assez ennuyeuse mais sans trop savoir pourquoi l'histoire s'est mise à m'intéresser et au final j'ai quand même passé un bon moment. A signaler que les enfants jouent vraiment bien leur rôle et éclipsent avec brio le jeu des adultes. J'ai bien aimé la scène où Lebrac ressent de la fierté pour son père; très beau passage ! Maintenant, il ne me reste plus qu'à voir l'autre guerre des boutons.
Plus approfondit et mieux réfléchit que le premier. Moins fidèle mais plus aboutit que celui sortit une semaine avant. En voyant cette guerre je ne me suis pas ennuyé. Le petit gibus est amusant mais bien trop souvent irritant et agaçant