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papapower
10 abonnés
301 critiques
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3,0
Publiée le 12 novembre 2011
C'est un bon divertissement, avec de très bons moments. Par contre, ça m'a fait bizarre de voir cette adaptation. J'ai dans ma tête le premier film, et je n'ai pas pu m'empêché d'attendre le "si j'aurais su, je n'srais pas venu", et je ne l'ai pas entendu! (Sur le coup, j'ai été déçuue!) Il est moins bien que l'original, mais les acteurs sont ici, très convaincants ! :D
J'attendais ce film pour faire la comparaison avec celui qui est sorti précédemment. Je m'attendais à un bon film de la part de Christophe Barratier mais j'ai été déçu. Ce film manque cruellement d'humour et on s'ennuie ferme. Les gamins en culotte ne m'ont pas entrainé dans ce film contrairement au précédent. L'absence de rivalité entre les deux professeur de Longeverne et Velrans a pesé lourd dans le comique. Je pense que le fait d'inclure la guerre de 39-45 dans ce film à tué l'histoire. Guillaume Canet, par contre, a très bien joué.
pour ma part ce n est pas cette nouvelle version que je préfère. en effet les enfants comme Laetitia casta nous donnent l impression de réciter leur texte. bon rôle pour guillaume canet.
Ce film est inspiré de la guerre des boutons, mais n'est en aucun cas, comme le film de Samuel, une réadaptation fidèle du célèbre roman portant le même nom. Je voulais pouvoir comparer les deux film, mais ce n'est pas chose facile, car dans ce film certaines libertés ont été prise, et finalement ça passe plutot bien. Le jeu d'acteur est même supérieur à l'autre film. Et bien que certains soient maladroits, les enfant jouent mieux, et paraissent plus dans leur élément que dans le film de samuels. Mais ce film ne devrait pas s’appeler la Nouvelle guerre des boutons, il profite juste du nom.
Sympathique, j'hésitai à aller voir le film mais finalement sa tient la route, une "guerre" entre enfants ça amuse la plus petits. Film a aller voir une fois si on a rien d'autre a faire.
Soyons objectifs, La "nouvelle" guerre des boutons n'est guère surprenant ni même vraiment séduisant, car l'important pour Christophe Barratier semble avoir été de faire naître un petit frère à l'excellente réalisation qu'est "les choristes". Car au fond, cette comédie n'est pas vraiment différente de ce dernier, les acteurs étant quasiment identiques, tout comme la trame , assez basique. Et pourtant, il faut avouer que le jeu d'acteur se montre surprenant, comme alléchant.
Absolument atroce, de la torture ! J’ai eu envie de me barrer tout le long du film. Et je ne l’ai pas fait, seulement à cause de mon côté névrosé qui fait que je suis obligée de finir ce que je commence (et même les films de merde, oui oui). De un, quelle idée pourrie de resituer l’histoire au moment de la seconde guerre mondiale ? Je ne veux pas paraitre pour une fasciste, mais il y en a marre de tous ces films qui exploitent ce sujet ! Dès que quelqu’un veut faire pleurer dans les chaumières, paf il prend le thème des nazis qui tuent les gens. Donc dans les 2 villages, on est tous résistants, on est tous gentils à part le gros cancre qui est un méchant collabo et de toute façon personne ne l’aimait à l’époque où il était gosse. Evidemment, comme tout le monde le sait, la France était majoritairement résistante et c’est pour ça qu’elle est restée sous l’autorité des nazis pendant 4 ans. Bravo pour la réalité historique ! En ce qui concerne les acteurs, les adultes se contentent de montrer le bout de leurs nez, tandis que les enfants forcent leurs jeux. Où est passé la spontanéité que la plupart des jeunes acteurs ont d’habitude ? Cette fraicheur qu’on retrouve, notamment, dans La Guerre des Boutons sorti une semaine auparavant ? Le jeu est poussif, la réalisation est grandiloquente, et le scénario est nul et prévisible. C’est un scénario qui a été écrit pour faire pleurer le spectateur : la pauvre petite fille juive qui est obligée de se cacher, les pauvres petits Gibus dont le père est prisonnier des méchants nazis, le pauvre Lebrac qui ne s’entend pas avec son père, etc, etc. Mélanger le tout avec une bonne dose de bon sentiment bien mielleux et dégoulinant de moralité, et vous obtenez la Nouvelle Guerre des Boutons : les gentils sont gentils et braves, les méchants sont méchants et minables. Et pourtant, je suis extrêmement bon public : dès qu’il y a un truc triste, même si c’est une stratégie usée, je suis en larmes. Eh ben là, rien à faire, ce film ne m’a pas décroché une seule larme. La guerre des boutons proprement dite, celle des enfants, est totalement mise en second plan, c’est vraiment dommage ! L’intérêt principal de cette histoire, c’est quand même la guerre entre les enfants… Pourquoi les mettre aussi peu en avant ? Et combien y a-t-il d’enfants exactement ? Pourquoi à un moment ils sont 3, puis à l’autre ils sont lus de 30 et un moment encore après ils sont une dizaine ? Et pourquoi se battent-ils en sous-vêtements avant même d’avoir perdu un seul bouton (premiers boutons perdus de la manière la plus conne qui soit, puisqu’ils se retrouvent à 3 sans aucune raison valable…. Incompréhensible !) ? Le nombre d’incohérence est hallucinant. Ils ont fait ce film en se bandant les yeux ou quoi ? Bref, pour conclure, avant que je perde le fil de mes propos, ce film est une perte de temps et d’argent. Même si vous avez la carte UGC illimité ou autre, abstenez-vous !
Vous n'êtes pas sans savoir que le film est sorti à une semaine d'intervalle d'une autre adaptation de la Guerre des Boutons, cette fois-ci réalisée par Yann Samuell. Bien entendu le choix de sortir deux versions du célèbre livre de Louis Pergaud est douteux et cette guerre marketing n'est en rien constructive. Ceci dit j'étais intrigué de voir au moins un des deux films pour voir si on pouvait s'attendre à quelque chose d'au moins correct ou juste une adaptation qui urine avec joie sur le livre original. J'ai déjà trahi mon opinion dès la première ligne, mais je vais quand même me lancer dans l'analyse de ce carnage cinématographique.
La Guerre des Boutons a déjà fait l'objet d'une très célèbre adaptation signée Yves Robert au début des années 1960. Si l'esprit du livre était un peu édulcoré, le film n'en demeurait pas moins tendre, rafraîchissant et possédait un charme fou tout en conservant quand même une part du propos du livre de Pergaud. Là ce n'est même pas le cas, cette nouvelle guerre des boutons est dénuée de tout capital sympathie tant celle-ci semble s'être vue accorder un soin minimal à des fins purement commerciales.
Concernant une adaptation de livre, je ne pense pas que ce soit nécessaire de faire un copié-collé de l'oeuvre originale mais tout du moins de garder au moins l'esprit du livre, ce qui en fait son essence. Mais ici ce n'est absolument pas le cas. Barratier reprend juste la trame principale du livre qu'il retranscrit en pleine Occupation mais il n'a pas su en discerner les enjeux. Le livre abordait le chauvinisme et surtout la féroce bêtise du monde des enfants qui en fin de compte est très ressemblant au monde des adultes. Là tout semble tout beau tout rose alors que dans ce contexte d'Occupation (ce qui n'était pas une mauvaise idée en soi) on aurait pu s'attendre à quelque chose de plus sale encore. Mais c'est bien simple, ici tous les habitants sont des résistants et par contre les deux collabos sont moches et en plus cancres. Barratier nous ressort son rouquin rebelle des Choristes pour jouer le rôle d'un collabo sous un jour on ne peut plus caricatural. Ce raccourci est con, Barratier a juste négligé l'écriture de ses personnages, ce manichéisme inutile ne sert en rien l'histoire et n'apporte aucune force au récit.
Alors déjà on part sur une bonne base, youpi. Allez je suis sûr que le film contient quand même quelques qualités... Allez parlons d'abord de la technique du film car c'est bien simple sur ce point-là, des qualités, il n'y en a pas... C'est tout bonnement catastrophique même. Barratier nous sert une photographie d'une laideur sans nom, c'est bourré de filtres, ça transpire le retouché, c'est juste hideux. Pareil pour les scènes intérieures, ça pue le studio à plein nez avec ce sur-éclairage tout moche. Au niveau de la mise en scène c'est guère mieux même si Barratier a quand même réussi un exploit que peu de gens ont su réaliser: il arrive à rendre illisibles des scènes de batailles entre mômes. Franchement j'avais hésité à applaudir dans ces moments-là car ça en devenait franchement risible. Je crois qu'à la base le tonton Barratier a oublié qu'il s'agissait de batailles d'enfantS et non d'arrachage de tripes en règle à la mode hollywoodienne. Et puis voilà c'est ça que je reproche surtout à cette nouvelle guerre des boutons: ça tente de se donner un air épique alors que c'est complètement foiré et hors-propos.
Ce sont des enfants Christophe, des enfants merde! Nous sommes en 1944, très peu ont vu Braveheart je pense alors pourquoi diable est-ce que tu nous ressors les mêmes scènes hein? Ils n'ont pas encore de poil au zboub que tu décides de nous les faire passer pour des guerriers héroïques qui parodient les guerriers héroïques made in hollywood. Tu nous ressors les ingrédients repompés par les mauvais films d'action récents avec ta musique pseudo-héroïque sur une phrase de killer sortie de la bouche d'un Tony Montana des bacs à sable qui arbore son regard de killer accentué par sa cicatrice trop dark qui doit faire mouiller les minettes de 12 ans. Mais quel est l'intérêt de nous ressortir ces scènes pré-fabriquées dans cette histoire? (je me pose la question alors que j'ai déjà la réponse... Aucun, évidemment) Le fait de placer l'intrigue dans un contexte de seconde guerre mondiale était, je trouve, une bonne idée. Il suffisait de savoir l'exploiter, chose que tonton Barratier n'a pas su faire. En fait c'est clairement anecdotique, on fait très peu écho entre les deux "conflits", ça n'a aucun intérêt dans l'intrigue. Enfin si on le fait une fois en comparant de manière trèèèèèès subtile (ironie) que Bacaillé ressemble fortement à un collabo. Donc autant dire que c'est nul, bête et méchant. C'est quand même fou de voir à quel point ce film peut être lourdingue.
La suite ici: http://thelastpictureshow.over-blog.com/article-la-nouvelle-guerre-des-boutons-au-pays-des-bisounours-86575846.html