AlloCiné
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Un film d'une incroyable platitude ou il est dur d'y trouver un quelconque intérêt.C'est mou, lent, banal.On vous montre des scènes de la vie courante de cet avocat qui va découvrir la foi et de sa femme Medecin.On colmate les faiblesses du scénario par les résultats scolaires du fils...
Trop insipide a mon goût .....
Trop insipide a mon goût .....
Il y a des longueurs dans le film, et j'avoue qu'au milieu, je me suis demandé où la réalisatrice venait nous mener. Mais le dénouement est au magnifique et emporte tout le reste. C'est l'histoire d'une conversion toute simple, pas spectaculaire à la saint-paul sur le chemin de Damas. Mais celle d'un brave type qui mène une petite vie bien rangée et qui soudain est interpellé dans ses préjugés, son train-train, et qui entame uen lente et invisible conversion intérieure. Si invisible que durant les 3 quarts du film, elle n'est pas même perçue jusqu'à la scène finale où on finit par comprendre le chemin inéérieur qu'il a parcouru.
J'ai trouve ce film Vraiment drôle!!! Super bien fait! Vraiment cela vaut la peine d'y aller
Un p'tit bijoux !
J'ai été très émue par ce film, qui de manière légère (soit) nous rappelle les fondamentaux avec humour. Je suis rarement passée du rire aux larmes ainsi ...quelle belle surprise ! c'est un moment "cinéma" que j'ai rarement vécu !
J'ai été très émue par ce film, qui de manière légère (soit) nous rappelle les fondamentaux avec humour. Je suis rarement passée du rire aux larmes ainsi ...quelle belle surprise ! c'est un moment "cinéma" que j'ai rarement vécu !
Boulversant. Emotions incroyables. Il parait que c'est basé sur une histoire vraie.
Dans les 1ers temps on se demande comment et a quoi va aboutir ce film... Et puis au fil du déroulement, des relations familiales pas toujours faciles à assumer, l'échapatoire d'un homme vers "l'autre" reprsésenté par Jésus , qui permet de prendre conscience de tout un tas de chose, pour s'améliorer, vivre autrement, avec d'autres sentiments, régler ses doutes et avancer vers une vie meilleure en soi... et nous en tant que spectateur cette découverte de la foi , de soi , des autres, on se la prend en pleine tete et on se retrouve avec nos interrogations et l'envie de prendre conscience de tout un tas de chose, grace à l'aide de Dieu pour les uns ou autre chose pour les autres...à nous de nous interroger et d'avancer pour se sentir mieux et s'ouvrir aux autres... On se retrouve donc ds ce personnage tres bien joué par Eric Caravaca meme si Dieu n'est pas notre 1ere préoccupation.
Je n'ai pas accroché. Le film est censé montrer une vocation mais on ne comprend pas ce qui la provoque. Par ailleurs, j'ai trouvé la manière de mettre en scène
l'opinion des non croyants un peu caricaturale.
l'opinion des non croyants un peu caricaturale.
Excellent. A voir absolument. Inconditionnels de l'action, s'abstenir.
Pour les autres, ceux qui ont une âme, c'est une très belle illustration du verset de St Paul:
"Quand je suis venu chez vous, je ne suis pas venu vous annoncer le mystère de Dieu avec le prestige du langage humain ou de la sagesse.
Parmi vous, je n'ai rien voulu connaître d'autre que Jésus Christ, ce Messie crucifié.
Et c'est dans la faiblesse, craintif et tout tremblant, que je suis arrivé chez vous.
Mon langage, ma proclamation de l'Évangile, n'avaient rien à voir avec le langage d'une sagesse qui veut convaincre ; mais c'est l'Esprit et sa puissance qui se manifestaient, pour que votre foi ne repose pas sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu". (1ère épître de St Paul aux Corinthiens chapitre 2)
En effet, qu'est-ce qui a bien pu retenir Antoine (Thierry Bizot) dans ce groupe qui n'a vraiment rien d'attrayant sinon "la puissance de Dieu"? Il aurait du fuir mille fois...
Et en plus, c'est très bien joué. Merci Mme Giafferi.
Pour les autres, ceux qui ont une âme, c'est une très belle illustration du verset de St Paul:
"Quand je suis venu chez vous, je ne suis pas venu vous annoncer le mystère de Dieu avec le prestige du langage humain ou de la sagesse.
Parmi vous, je n'ai rien voulu connaître d'autre que Jésus Christ, ce Messie crucifié.
Et c'est dans la faiblesse, craintif et tout tremblant, que je suis arrivé chez vous.
Mon langage, ma proclamation de l'Évangile, n'avaient rien à voir avec le langage d'une sagesse qui veut convaincre ; mais c'est l'Esprit et sa puissance qui se manifestaient, pour que votre foi ne repose pas sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu". (1ère épître de St Paul aux Corinthiens chapitre 2)
En effet, qu'est-ce qui a bien pu retenir Antoine (Thierry Bizot) dans ce groupe qui n'a vraiment rien d'attrayant sinon "la puissance de Dieu"? Il aurait du fuir mille fois...
Et en plus, c'est très bien joué. Merci Mme Giafferi.
Julien D
La seule chose à attendre d'un tel film à la lecture de son pitch était la manière dont seraient traités les thèmes de la conversion brutale et de la place de la religion dans la société. Dès l'instant où l'on sait qu'il a été réalisé par la femme de l'auteur du pamphlet autobiographique dont il s'inspire, autrement dit par celle qui inspire cette femme dont la seule réplique théologique est "Tu as une coiffure bizarre, ça te fait une tête de catho !", on comprend que le traitement de la question religieuse sera au moins aussi vulgarisé que la mise en scène. Ce n'est donc pas à une grande quête spirituelle que nous assistons là mais à une simple crise de la quarantaine bien interprétée par Eric Caravaca.
La platitude de la mise en scène n’a d’égale que celle des dialogues d’une indigence rare. Cette histoire de quadra touché soudainement par la grâce en se rendant à des réunions de catéchisme qui ressemblent à des thérapies de groupe et qui perd ses repères familiaux, n’est pas très crédible. Sur le ton d’une comédie douce amère, le message catho boy scout passe mal, et la chronique sociale ne fait qu’empiler les clichés. Saluons pourtant les mérites d’Eric Caravaca qui constitue le seul élément intéressant du film.
Quelle surprise ce film ! Il m'a fait réfléchir sur le sens de ma propre vie. Eric Caravaca joue avec une grande sensibilité le bouleversement intérieur de cet homme qui a découvert une autre dimension bien difficile à expliquer. Pourtant, sa vie, tout en restant la même, a désormais un autre goût.
Ce film a quelque chose pour lui, mais quoi? les personnages manquent un peu de chaleur.Pour faire court, c'est pas mal...
Ecrasé par le nombre de sorties cette semaine, cette comédie française au titre et à l'affiche peu accrocheurs va certainement passer inaperçu... Le script n'a rien de spécialement alléchant sur le papier non plus ; Un père de famille est convié à une séance de catéchèse par le professeur de son fils, y allant au départ par politesse, il va y trouver son compte et se construire un nouveau rapport à la religion. On était en droit de craindre un prosélytisme appuyé, mais le film d'Anne Giafferi est assez intelligent et juxtapose au portrait de son personnage principal, un regard extérieur appréciable (avec un soupçon d'ironie). Trouvant un équilibre incroyable entre comédie et drame, le film brille pour sa sincérité et son intelligence. Plus qu'un film sur la religion qui constitue souvent la toîle de fond, c'est une chronique familiale touchante, sur la relation au père notamment (à mettre en lien avec le Christ). L'ensemble du casting sert très bien le propos, Eric Caravaca est convaincant, Valérie Bonneton géniale (comme à son habitude!), les seconds rôles tiennent la route... Soignée, la mise en scène n'a rien d'exceptionnelle et on peut remarquer quelques problèmes de doublage (des dialogues ont certainement changé au dernier moment). Qu'importe, il est difficile de bouder ce joli film finement écrit, une comédie dramatique française de qualité supérieure. Une bonne surprise.
Film fin et sensible sur l'itinéraire d'une conversion. Rien à redire. Toutefois, je pense qu'il ne plaira pas aux anti-cathos pour lesquels il semblera peu plausible. J'ai pourtant vu des tas d'itinéraires tout à fait comparables.
C’est une très belle réponse aux valeurs de notre société moderne : l’efficacité, l’homme parfait, l'embryon parfait … et tout ce que cela engendre : l’individualisme, l’affirmation de soi allant jusqu’à écraser les autres, la recherche de l’amour propre en compensation de ce que l’on n’a pas reçus… Il a une très bonne étude des relations parent - enfant, des relations parent - ados, des relations dans le couple, des relations entre frère, sœur et grand - parent, du pardon, du vrai amour pas celui qui est possessif. Le père qui ressent toute cette violence est touché par ce Christ flagellé qui n'a rien dit... C'est cela qui fait prendre de la hauteur à ce père alors que les évènements l'ont fait tombé bien bas... Un détail m'a beaucoup touché à la fin : ceux qui étaient venu au cours pour chercher leur amour propre n'ont rien trouvé, alors que celui qui est venu sans rien a trouvé le bonheur. Film à méditer.
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