AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
2,6
50 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur The Unjust ?
5
1 critique
4
1 critique
3
1 critique
2
6 critiques
1
4 critiques
0
0 critique
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Quand le suspect d'un tueur en série meurt un policier essaie de créer un faux tueur. Mais les choses dérapent lorsqu'un homme de main qui a aidé les policiers à créer le faux tueur en série tente de faire chanter un officier de police. Une mauvaise histoire avec un scénario incohérent et inintéressant. La performance des acteurs principaux est mauvaise et en plus le scénario inintéressant ne leur a pas permis de briller plus. Les scènes de poursuite ne sont pas très réalistes et l'apogée n'est pas surprenante. Les autres scènes de combat nous fatiguent au lieu de nous rendre nerveux et de nous divertir. tous comme le film...
The Unjust où Le petit manuel du carriériste peu scrupuleux est un film Coréen bien loin des grandes réussites du pays du matin calme.
Dans ce polar, on suit principalement Jung-Min Hwang (A bittersweet life, A man who was superman) dans la peau d'un policier émérite, à la tête d'une équipe en mal de reconnaissance, et Ryoo Seung-bum, frère du réalisateur, en procureur un brun nerveux et à l'attitude outrancière. Les deux hommes se retrouvent liés par une affaire de tueur en série qui fait bien trop de bruits pour la police. A la manière du superbe Memories of Murder, la pression va pousser les forces de l'ordre à fabriquer un coupable idéal. C'est le point de départ de ce jeu d'intimidation qui va se jouer de part et d'autre de la fine ligne de la légalité. Lestés de leur fardeau respectif, ils vont devoir petit à petit mener à bien leurs objectifs tout en prenant soin de laisser une partie de leurs agissements dans l'ombre.
Si sur le papier, le film de Ryoo Seung-wan est alléchant, il manque malheureusement de liant et clairement d'une patte. Après un démarrage en trombe, on tombe très vite dans une mise en scène épurée ou le récit se contente d'enchaîner les scènes de parlotte entre les différents acteurs. On retrouve un peu le même formatage que le film The Beast, les images glauques et l'action en moins, où l'opposition entre les deux personnages au centre de l'intrigue est enrobée d'informations qui rajoutent une complexité à la nécessité relative. Et d'un fait à un autre, le scénario oublie d'épaissir ses personnages, de les rendre véritablement humains pour qu'on s'y attache. Lorsqu'on sort de leur ambition pure et simple, c'est uniquement pour continuer à donner des informations nécessaires à l'avancée de cette enquête fabriquée et finalement, alors qu'ils sont de quasiment tous les plans, on se sent très peu affecté par leur sort.
Dommage car, derrière cette longue guerre des nerfs qui ne réussit jamais à nous secouer, le twist final est une vraie réussite et il vient malicieusement remettre en perspective ces deux heures en demi-teinte.
Loin d'être mémorable sans être raté, The Unjust se regarde et s'oublie aussi vite. On lui préférera largement l'urgence d'un The Chaser ou le classicisme brutal d'un A bittersweet life.
Dans ce polar, on suit principalement Jung-Min Hwang (A bittersweet life, A man who was superman) dans la peau d'un policier émérite, à la tête d'une équipe en mal de reconnaissance, et Ryoo Seung-bum, frère du réalisateur, en procureur un brun nerveux et à l'attitude outrancière. Les deux hommes se retrouvent liés par une affaire de tueur en série qui fait bien trop de bruits pour la police. A la manière du superbe Memories of Murder, la pression va pousser les forces de l'ordre à fabriquer un coupable idéal. C'est le point de départ de ce jeu d'intimidation qui va se jouer de part et d'autre de la fine ligne de la légalité. Lestés de leur fardeau respectif, ils vont devoir petit à petit mener à bien leurs objectifs tout en prenant soin de laisser une partie de leurs agissements dans l'ombre.
Si sur le papier, le film de Ryoo Seung-wan est alléchant, il manque malheureusement de liant et clairement d'une patte. Après un démarrage en trombe, on tombe très vite dans une mise en scène épurée ou le récit se contente d'enchaîner les scènes de parlotte entre les différents acteurs. On retrouve un peu le même formatage que le film The Beast, les images glauques et l'action en moins, où l'opposition entre les deux personnages au centre de l'intrigue est enrobée d'informations qui rajoutent une complexité à la nécessité relative. Et d'un fait à un autre, le scénario oublie d'épaissir ses personnages, de les rendre véritablement humains pour qu'on s'y attache. Lorsqu'on sort de leur ambition pure et simple, c'est uniquement pour continuer à donner des informations nécessaires à l'avancée de cette enquête fabriquée et finalement, alors qu'ils sont de quasiment tous les plans, on se sent très peu affecté par leur sort.
Dommage car, derrière cette longue guerre des nerfs qui ne réussit jamais à nous secouer, le twist final est une vraie réussite et il vient malicieusement remettre en perspective ces deux heures en demi-teinte.
Loin d'être mémorable sans être raté, The Unjust se regarde et s'oublie aussi vite. On lui préférera largement l'urgence d'un The Chaser ou le classicisme brutal d'un A bittersweet life.
Très déçue de ce " thriller " coréen. Je m'attendais à un film d'enquête sur un tueur en série, mais ce tueur ne sert ici que de prétexte, et l'enquête, ( si l'on peut parler d'enquête ), n'est qu'accessoire, elle aussi. En fait, c'est une satire des différents systèmes coréens, police et justice, les connexions avec les milieux d'affaires, la corruption, l'ambition, et la soif de pouvoir qui sont le sujet du film. C'est plutôt confus, il faut s'accrocher pour suivre, surtout qu'avec leurs noms qui se ressemblent phonétiquement, ( pour nous, Européens, ils doivent penser la même chose de nous ), je n'ai pas toujours su qui était qui, ou avec un train de retard. Bon, il n'y a aucun manichéisme dans ce film, les principaux protagonistes sont pourris, et c'est vrai qu'il y a beaucoup d'injustice. Mais j'aurais aimé voir autre chose, ( une heure et demie pour une scène qui remue ), et une enquête plus classique et sérieuse, car la pirouette avec le tueur en série, c'est juste débile. Et il n'y a aucune femme qui compte, dans ce film, ( comme objet sexuel, ou faire-valoir, c'est tout ), tout se passe entre hommes. Et le seul personnage valable est un subalterne, autant dire qu'on ne ressent que peu d'empathie pour les personnages, et que l'on se fiche de ce qui leur arrive, à une exception près, mais on ne le sait qu'après. Bref, c'est mauvais pour un film coréen, vu qu'ils nous ont habitués à mieux, et j'y allais en confiance, donc, grosse déception à l'arrivée.
On a vu mieux en matière de thriller coréen. Ici, les acteurs jouent comme des pieds, la mise en scène est molle, le rythme l'est encore plus et le film s'embrouille dans un scénario parfois confus et mal maitrisé.
Une grosse déception ce film , après avoir vu des chef d'oeuvre du cinéma coréen je m'attendais a un bon film mais non , le scénarios avait tout pour plaire mais se révèle confus et bordélique , les acteurs sont d'ailleurs la perte meme du film tellement ils sont mauvais . A éviter
Dik ap Prale
Un film bedonnant, bruyant et tape à l'oeil, qui se regarde limite vivre, à vouloir enfler au dessus de certaines références. L'intrigue se laisse pourtant suivre avec moins de déplaisir que le ressentit d'indigestion provoqué par la présence de certains personnages trop caricaturaux pour être honnêtes. A voir, seulement.
Les personnages sont toujours en colère ! C'est très surprenant, assez drôle. L'intrigue est un peu difficile à suivre au début, mais bonne. Le procureur, joué par un acteur à l'expression très mobile, est tout à fait excellent.
Un thriller coréen qui loupe le coche. La frénésie du récit gache clairement la qualité de la mise en scene et des images. Cette volonté de donner du rythme en permanence ne parvient qu'a rendre le résultat final assommant et indigeste. Passez votre chemin !
Un bon thriller à la coréenne ! Un bon réalisateur et des acteurs qui sont à fond dans leur roles. Une trame à suspense très intéressante, de la tension et un grand rebondissement.
acteurs mauvais, pourtant avec le scenario il y avait de quoi faire!! dommage
Assez compliqué à suivre au début mais peu à peu on se laisse prendre. Un scénario assez intéressant mais des personnages parfois trop cliché.
Très compliqué à la limite du confus, c'est une sorte de comédie dramatique sur les coups bas, corruption et pots de vin. Rien ne se passe et pourtant l'intrigue accroche. Assez mitigé, pas franchement mauvais ni vraiment bien. On retrouve les caricatures du cinéma asiatique avec ses attitudes, ses gestes, ses comportements, bref agaçant ! Des interprétations aux traits tirés à l’extrême qui sonnent fausses mais attachantes. Un scénario étoffé mais simpliste. Ennuyeux au final ! 2/5 pas plus !!!
Christoblog
A force de voir des thrillers coréens, on finit par devenir exigeant. Celui-ci n'a pas de date de sortie en France et je doute qu'il en ait une, car il est particulièrement confus et complexe à suivre.
Pour faire simple, il entrecroise (à un rythme tout coréen qui fait ressembler Tarantino à Refn) les destinées :
- d'un flic ambitieux et prêt à tout
- d'un procureur ambitieux et prêt à tout
- d'un journaliste prêt à tout
- de 2 truands par définition prêts à ...
- d'un autre flic
- d'un tueur en série
- des supérieurs du flic et du procureur (prêt à ...)
- d'un autre tueur
- des familles des uns et des autres
etc...
Inutile de dire que pour s'y retrouver c'est coton, à tel point que le réalisateur éprouve le besoin de mettre au début de son film des incrustations pour nous indiquer qui est qui. Le scénario est alambiqué à l'extrême (le mieux est d'imaginer un hamburger dans lequel on aurait mis 12 steacks, 5 tranches de fromage et 17 sauces différentes) et totalement irréaliste (le rebondissement concernant le tueur en série est un des trucs les plus improbables qu'il m'ait été donné de voir au cinéma).
Pour le reste, c'est l'efficacité coréenne dans toute sa splendeur, décors étonnants et scènes d'actions efficaces. Comme d'habitude les subalternes sont humilés (la pratique atteint ici des sommets, avec la généralisation du coup de pied dans le tibia) et les flics de base sont ridicules. D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666blogsallocinefr.over-blog.com/
Pour faire simple, il entrecroise (à un rythme tout coréen qui fait ressembler Tarantino à Refn) les destinées :
- d'un flic ambitieux et prêt à tout
- d'un procureur ambitieux et prêt à tout
- d'un journaliste prêt à tout
- de 2 truands par définition prêts à ...
- d'un autre flic
- d'un tueur en série
- des supérieurs du flic et du procureur (prêt à ...)
- d'un autre tueur
- des familles des uns et des autres
etc...
Inutile de dire que pour s'y retrouver c'est coton, à tel point que le réalisateur éprouve le besoin de mettre au début de son film des incrustations pour nous indiquer qui est qui. Le scénario est alambiqué à l'extrême (le mieux est d'imaginer un hamburger dans lequel on aurait mis 12 steacks, 5 tranches de fromage et 17 sauces différentes) et totalement irréaliste (le rebondissement concernant le tueur en série est un des trucs les plus improbables qu'il m'ait été donné de voir au cinéma).
Pour le reste, c'est l'efficacité coréenne dans toute sa splendeur, décors étonnants et scènes d'actions efficaces. Comme d'habitude les subalternes sont humilés (la pratique atteint ici des sommets, avec la généralisation du coup de pied dans le tibia) et les flics de base sont ridicules. D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666blogsallocinefr.over-blog.com/
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse