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    Lola Montès
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    59 critiques spectateurs

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    Bernard D.
    Bernard D.

    114 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2020
    De Max Ophüls, je n’avais admiré que « La Ronde » sorti en 1950. Je viens de voir sur grand écran « Lola Montès » produit 5 ans plus tard mais ici dans une version restaurée car à sa sortie il y avait eu un tel scandale que les producteurs avaient coupé certaines scènes et modifié totalement le montage. La version présentée est – selon le carton qui précède le film – très proche des intentions du réalisateur … et au passage, on peut juger de l’évolution - pour ne pas dire révolution des mœurs - depuis 70 ans !
    L’histoire est en elle-même simple : l’ascension rapide car « sur canapé » dirons-nous, de la comtesse de Landsfeld (Martine Carol) parmi les plus hautes sphères et en particulier le roi Ludwig 1er de Bavière puis sa déchéance pour terminer dans un cirque à la Nouvelle Orléans où Monsieur Loyal (Peter Ustinov) lui demande chaque soir de répondre à toutes questions des curieux avant de finir dans une « cage aux fauves » où les hommes ont le droit de toucher la main de la « courtisane scandaleuse » pour 1 dollar. Le film est d’ailleurs encadré par l’ouverture et la fermeture d’un rideau … en hommage peut-être à « La Chienne » de Jean Renoir (1931) ?
    Ce qui est assez extraordinaire ce n’est pas bien sûr l’histoire de ce conte cruel et mélancolique parois onirique, mais la technique cinématographique avec une caméra rarement immobile suivant toujours les personnages ou prolongeant/annonçant les actions et ce au travers d’un décor baroque hypertravaillé (comme dans « La Ronde ») sans compter les cadrages obliques, les jeux de lumière et d’ombres … et alors que le film a été tourné en cinémascope, l’utilisation de caches pour rétrécir le champ sur des plans plus « intimes ».
    Un petit défaut : on ne perçoit pas très bien les rapports qui unissent Mr Loyal et sa bête de cirque même « si le scandale, c’est de l’or partout et que (tous les 2) font le même métier ». Par contre on sera amusé par le choix du peintre officiel du roi de Bavière (Anton Walbrook dont le jeu est très subtil et qui était d’ailleurs le narrateur/meneur de jeu de « La Ronde »), choix fonction non pas du talent … mais de son temps pour faire un tableau. De même on est amusé de voir dans le rôle d’un jeune étudiant autrichien essayant de sauver Lola Montès de la révolte qui éclate en Bavière, Oskar Werner … qui n’est autre que Jules du fameux « Jules et Jim » de François Truffaut (1962).
    Un film peut-être réservé aux cinéphiles pour essayer d’approcher toute la finesse technique de Max Ophüls et ce à l’époque où les caméras pesaient un certain poids !
    mx13
    mx13

    249 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 mars 2019
    Un vieux film qui ne donne pas l’impression aux spectateurs d’assister à un film qui en vaut la peine, grâce à des enjeux et à un scénario prenant. Non recommandable. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 2/5
    Antoine D.
    Antoine D.

    42 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2020
    Max Ophüls signe un nouveau film, avec des mouvements de caméra qui en influenceront plus d'un. C'est l'un de ses premier film en couleur pourtant il semble l'a manier avec une expérience infinie. Dans chaque plan, il nous fais ressentir des émotions, surtout pessimiste.

    On a ici la vie de Lola Montès incarné par la sublime Martine Carol. C'est un film où le but est de montrer sa déchéance à travers un numéro de cirque qui fait le lien et nous emmène dans son passé où aucune joie n'y est mis en scène.

    Cette oeuvre est avant tout intemporelle et c'est ce qui en fait sa beauté. On est au cirque, on affiche la vie d'une femme en racontant son passé comme on le faisait dans les expositions coloniales ou aujourd'hui dans la télé-réalité.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    108 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2017
    Inspiré de la vie de la courtisane Lola Montez, qui au cours du XIXème siècle, eu des amants aussi célèbres que Franz Liszt ou le roi Louis 1er de Bavière, ce portrait de femme déchue est remarquablement interprété par Martine Carol. Si les thématiques abordées manquent parfois quelque peu d'intérêt, force est de constater que la caméra de Max Ophuls est d'une superbe fluidité, et ses nombreux plans-séquences sont superbes et d'une grande poésie.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 188 abonnés 5 196 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 août 2016
    Construit comme un ballet spectacle, l'évocation de la vie de cette femme qui "ne savait pas danser, mais savait déclencher un scandale".
    Le film est un flashback permanent sur sa vie et la construction originale nous montre le spectacle de sa vie au travers du cirque. On apprend davantage sur la façon dont les hommes s'emparent de Lola qui est en éternelle représentation, sa faiblesse d'ailleurs, que sur sa vie elle-même qu'elle va subir constamment.
    Une fantaisie très élégante.
    Top of the World
    Top of the World

    70 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 juillet 2016
    Dernier film de Max Ophüls, qui raconte ici l'histoire de Lola Montès, ex-courtisane devenue l'attraction principale d'un cirque au XIXème siècle...Le sujet est intrigant et les premières minutes, envoûtantes, laissent penser que l'on tient à la fois une puissante réflexion sur la société du spectacle et sur la condition de la femme, dominante puis volontairement réduite au rang d'objet, de matière à fantasmes. Mais une question majeure se pose rapidement : si les thématiques qui ressortent du récit sont potentiellement passionnantes, l'histoire elle-même l'est elle ? Non, loin s'en faut, là faute à une écriture assez paresseuse, qui confronte de manière poussive l’héroïne aux hommes qu'elle rencontre successivement, les personnages manquant eux-mêmes d'épaisseur et étant interprétés par des acteurs plutôt ternes. Le rythme monocorde ainsi qu'une mise en scène, certes élégante, mais qui ne parvient pas à se renouveler et finit par sembler un peu figée (hormis un superbe dernier plan), accentuent l'ennui poli qui gagne le spectateur au fil des minutes devant un film qui manque de vie, d'étincelles, de passion. Ce n'est donc pas catastrophique mais franchement oubliable.
    Benjamin A
    Benjamin A

    717 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juin 2015
    C'est dans un gigantesque cirque, sous un chapiteau géant, que l'on découvre Lola Montès alors en pleine déchéance et rejouant sa propre vie, face à un public voyeur et profitant de cette femme blessée.

    Dernier film d'Ophüls, qui connaîtra la mort deux ans après sa sortie, Lola Montès a d'abord beaucoup divisé à son époque. Il nous fait suivre la déchéance de cette femme à travers une structure audacieuse tournant autour d'un spectacle de cirque dont elle est la vedette et où elle joue son propre rôle, celui d'une courtisane qui aura connu diverses aventures notamment dans les milieux mondains avant de chuter et de se retrouver vieillie et malade dans ce cirque, où sa chute est visible aux yeux de tous.

    C'est assez effrayant la manière dont la vie de cette femme est livrée en pâture à un public odieux et la façon dont elle accepte son sort et rejoue sa propre vie, ne rendant son sort que plus fort et cruel. Les limites entre la vie à la scène, la glorification de cette déchéance, tout cela est maitrisé par Ophüls et il retranscrit toute cette humiliation. Pourtant, j'ai été plutôt déçu par le film, par son fond, l'histoire entière de cette femme et sa vie dont Ophüls ne m'y a que partiellement intéressé, contenant en plus quelques lourdeurs et surtout un manque d'émotions vis-à-vis de son sort. C'est finalement lors des séquences de cirques que l'intérêt et la puissance du film sont les plus forts et les mieux retranscrits.

    C'est dommage car le film est, dans la forme, magnifique, que ce soit au niveau des couleurs ou la maîtrise de la caméra par Ophüls tant dans les mouvements que dans les plans ou les techniques (quels plan-séquences !). De plus, Martine Carol livre une remarquable composition, tout en sobriété pour retranscrire les enjeux, la déshumanisation et la cruauté du sort de cette femme.

    Décevante dernière pour Max Ophüls, notamment dans l'émotion, la puissance et le fond de l'histoire mais Lola Montès brille aussi par sa beauté formelle, l'ingéniosité dont est toujours capable de faire preuve le metteur en scène de La Ronde ou encore une grande Martine Carol. Après cela, Max Ophüls décédera et laisse derrière lui un immense héritage dont il me tarde encore d'en découvrir toutes les facettes, surtout après avoir été totalement bouleversé par Lettre d'une inconnue et ébloui par des œuvres comme La Ronde ou Le Plaisir.
    hpjvswzm5
    hpjvswzm5

    46 abonnés 459 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 février 2014
    J'ai vu une version qui, paraît-il, collerait le plus possible à la vision originelle d'Ophuls (avec notamment, une narration non chronologique). Je pense que c'est une bonne chose, ça colle sans doute plus à l'idée d'une vie racontée par morceaux. Je trouve l'attirance qu'à Ophuls pour le cirque assez fascinante, surtout quand c'est aussi bien mis en scène. Je pense que ce que je retiendrai du film c'est sa mise en scène juste sublime, fluide, enivrante... C'est vraiment un grand metteur en scène. Après l'histoire est intéressante, on a une femme à scandales, qui affiche sa vie comme ça, pour le spectacle. Il y a tout un travail là-dessus, qui donne lieu à des scènes assez drôles dans la vie de cette femme "libérée" (comme sa rencontre avec le roi de Bavière par exemple). Globalement, c'est un très beau portrait de femme, magistralement organisé par la mise en scène virtuose d'Ophuls, mais qui ne m'a pas totalemnt emporté par l'émotion. Lorsque Cavalier (ou même Kechiche) nous font vivre la vie de personnes, soit en direct ou par le biais de leurs souvenirs, je trouve ça bouleversant parce qu'on partage la vie de quelqu'un d'autre, ses joies, ses peurs, ses moments de faiblesse etc. Là, même si c'est extrêmement bien fait, il y a une certaine barrière qui m'empêche d'être ému autant que je le voudrais. Reste que j'ai passé un moment délicieux en compagnie d'un film d'une grande maîtrise, très réussi.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 octobre 2013
    Une ode à la vacuité ! Ce film démontre s’il en était encore besoin les errements dans lesquels l’équipe initiale des « cahiers du cinéma » ont conduit certains regards sur l’histoire du cinéma. Certes ils s’insurgeaient et à raison contre ces gens qui savaient à peine filmer, et leur combat fut une illustration de la grammaire du bon caméraman (travelling, panoramiques, mouvements de grues…) Et à ce propos on est bien obligé de constater que Max Ophuls sait filmer… le problème c’est qu’il ne sait faire que ça, le problème c’est qu’un film ce n’est pas que ça, c’est aussi une direction d’acteurs et c’est aussi un scénario qui suscite l’intérêt. Et sur ces deux aspects le film est un échec total pour ne pas dire une catastrophe.
    iamameloche
    iamameloche

    25 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juin 2013
    La construction du film est très intéressante : le film se déroule le temps d'un spectacle de cirque et intègre de nombreux flashbacks.
    Beaucoup d'éléments à analyser: le rapport fantasme/réalité; la déchéance/l'ascension; la place de la femme; la femme objet; la désillusion; l'éternelle insatisfaction...
    L'alternance plans larges/plans resserrés est aussi à noter.
    Bref, un film que les cinéphiles apprécieront autant pour sa forme que son fond.
    Estonius
    Estonius

    3 474 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 novembre 2012
    Ce film joue un peu dans l'histoire du cinéma français, le rôle de Pelléas et Mélisande dans celui de l'Opéra. En dire du mal vous fait passer pour un amateur de ringardises… Tout étudiant en cinéma se doit de l'avoir vu, d'en dire du bien et de mépriser du haut de sa jeune culture tous ceux qui n'ont rien compris à "cet éternel chef d'œuvre aujourd'hui unanimement admiré ". Et bien non, ce film n'est qu'un chef d'œuvre d'ennui et de prétention. A sa sortie le public l'a hué (comme il avait hué Pelléas) et le film fut un échec commercial. Vous me direz le public n'a pas toujours raison ! Certes ! Mais parfois quand même !
    Sans les réactions et le "combat" de quelques critiques de la nouvelle vague (Godard, Truffaut, mais aussi Cocteau), plus personne ne parlerait de ce film aujourd'hui !
    Philippe C
    Philippe C

    101 abonnés 1 059 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2012
    J'ai eu la chance de découvrir ce film dans le cadre du festival Lumière 2012 à Lyon et dans la version récemment restaurée et conforme à la volonté originale de Max Ophüls.Le film, qui fut certes d'avant garde à sa sortie, date un peu de par sa technique cinématographique, sa mise en scène, la musique et le jeu des acteurs, mais il n'en reste pas moins plus que d'actualité en mettant en scène ce qu'on pourrait appeler "le cirque réalité", bien avant le succès de la presse people et de la TV-reality avec un Monsieur Loyal en guise d'animateur bateleur. C'est ça le côté génial du film. En ce sens il est universel en montrant ce que peut être l'ascension et le déclin pitoyable d'une star et le voyeurisme du peuple. Si j'ai trouvé le jeu d'acteur de Peter Ustinov extraordianire, celui de Martine Carol, plus figé ne m'a guère séduit.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 août 2012
    Le dernier film de Max Ophüls est à rapprocher du "French Cancan" de Renoir de la même année et du "Moulin Rouge" d'Huston sorti en 1952 dans la volonté de leurs auteurs d'effectuer un travail sur la couleur au travers de la restitution d'une époque. La belle époque pour Renoir et Huston, la première moitié du XIXème siècle pour Ophuls. Le cinémascope est arrivé en 1953 et il provoque un regain d'intérêt pour les films à grand spectacle. Pour son dernier film Ophuls adopte un ton désenchanté en narrant de façon grandiloquente le destin funeste de cette courtisane qui fut la maîtresse entre autres de Louis Ier de Bavière et de Franz Litz. Si les scènes de cirque par leur faste grandiose sont plutôt réussies, leur alternance avec les évocations des amours de Lola Montes apporte un contraste troublant entre les promesses vantées par Peter Ustinov et ce qui nous est proposé par Ophuls. Le problème du film il faut bien l'avouer est le jeu de Martine Carol qui en rien n'évoque le charisme irrésistible de cette femme dont Ustinov nous explique qu'elle avait toute l'Europe des princes à ses pieds. Ce n'est d'ailleurs peut-être pas un hasard si Ophuls à aucun moment ne filme sa vedette en gros plan et non pas une volonté de prendre la distance nécessaire à l'évocation distanciée de moments perdus. Une Danièle Darrieux ou une Micheline Presle auraient sûrement donner une autre aura à Lola Montès au moment de sa splendeur. Sans doute pour cette raison le film d'Ophuls est bancal et rate sa cible. Avec le temps et sachant la triste fin de Martine Carol on peut voir un sens prémonitoire au choix de Max Ophuls et se dire que c'est la fragilité de l'actrice qui l'avait convaincu qu'elle saurait mieux qu'une autre rendre sur l'écran la détresse de cette femme déchue qui n'a plus d'autre ressource que d'exposer sa vie sur une piste de cirque. C'est justement dans les scènes de cirque et dans l'exposition des coulisses qu'elle donne toute sa mesure offrant sa propre détresse au personnage. Au final le film qui est le dernier d'Ophuls et celui de l'amorce du déclin pour Carol prend une dimension pathétique qui ne peut qu'émouvoir le spectateur cinéphile.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    160 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 mai 2012
    Fresque imposante et virtuose, «Lola Montès» brille par la magnificence de ses décors, par ses couleurs sublimes, par sa débauche de moyens rappelant l'opulence et le soin maniaque accordé aux détails des longs métrages de von Stroheim ou de Visconti. Mais ce qui n'aurait pu être qu'une chronique historique, lourde et académique de plus se transforme sous la géniale caméra de Max Ophüls en saisissante tragédie humaine, non dénuée d'ironie. C'est une fois de plus le récit d'une ascension exceptionnelle et d'une chute vertigineuse, mais qui offre une vision kaléidoscopique de l'époque dans laquelle vivait Lola Montès (pas si éloignée de la nôtre) et de tous les êtres qui gravitent autour d'elle. En effet le scénario va et vient entre le présent douloureux de Lola et son passé qui a fait sa renommée et sa gloire. Ophüls maîtrise suffisamment son sujet pour éviter le pur exercice de style, et s'il brosse le portrait d'une courtisane arriviste il dépeint dans le même temps toute une galerie de seconds rôles masculins non moins touchants, approfondissant sur un plan sentimental et thématique un long métrage déjà riche et foisonnant du point de vue de la mise en scène et de la profondeur de champ. Le ton du film oscille entre la vulgarité et le voyeurisme du cirque et l'éclat de passions amoureuses sublimées par le regard d'Ophüls (et le souvenir nostalgique de Lola), avant de se ternir en raison de la versatilité quasiment innée de cette croqueuse d'hommes. Aujourd'hui le scandale provoqué par «Lola Montès» est oublié, surtout que le dernier film de Max Ophüls s'est couvert d'une patine qui heureusement ne le dessert pas : tous ces mouvement gracieux, ces dialogues finement ciselés n'ont pas grand chose de naturel mais c'est ce qui fait tout leur charme. L'avant-gardisme prétendu de «Lola Montès» est donc relatif, mais le talent de son réalisateur est quant à lui absolument indéniable. [2/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 novembre 2011
    Magnifique, incontournable. Quelle profusion et Martine Carol est éblouissante.
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