1ere partie un peu mole (on fait connaissance )...20/30mn a peu prés ... mais quand, on rentre en "boite" de nuit ( séisme) là ça "déboite" et ça "boite" en sortant... à partir de là, ça change de ton ! C'est, scènes bien gore, suspense, film catastrophe, poursuite de psychopathe ... j'ai bien aimer.
33 minutes "d'exposition", sérieusement? Ca passe parce que les acteurs s'en sortent bien et que les personnages sont relativement bien écrits, toute proportion gardée hein, on est dans une production Eli Roth ça explore pas non plus les recoins de la psychologie, mais qd même, y sont sympathiques ces personnages, amusants sans être lourdingues, mais bon, 33 minutes de discothèques et de tourisme... bon c'est la formule Roth, et puis ça permet d'économiser sur la partie qui doit coùter le plus cher, à savoir la catastrophe, on pardonne parce qu'on est bien dans un esprit de bricole propre à la série b, et celle-ci est très honnête, on est pas loin du réalisme par moment (=quels sont les comportement de chacun au cours d'une catastrophe naturelle). Twist invraisemblable (et inutile) qui m'a fait penser à Outlast. Quant à la fin... ben c'est la fin quoi. En résumé, un honnête petit divertissement, sans doute trop court, où à l'exposition abusivement longue.
Stupidité, futilité et... Enfin, ce tremblement de terre !
Oui parce que le début de cet Aftershock, est à l'image de ce que nous avait offert Eli Roth dans son Hostel avec son atmosphère festive de franche camaraderie à la recherche du frisson sexuel au milieu de boîtes de nuit et de filles dénudées. Ca cadre sur les formes avantageuses à l'image de ce long plan suivant la démarche chaloupée d'une fille en maillot de bain, petit bout de viande qui n'existera que le temps de sa plastique. Malgré quelques petits détails saupoudrés au cours de discussions qui viendront renforcer un peu le caractère très caricatural de ces personnages en quête de rapprochements, l'ensemble s'éternise et on attend avec impatience que les choses s'emballent. Et lorsque les premières secousses frappent ce petit groupe nouvellement formé, on prend un virage serré vers le film catastrophe. Les corps sont malmenés sans détours au milieu de la panique et très vite, le chacun pour soit ressort. Le cas classique de l'événement dramatique qui vous fait brusquement revoir toutes vos priorités, la peur, l'horreur et le comique d'un membre baladeur balayant d'un grand revers de la main toute superficialité. Le mode survie est lancé. Loin d'être au bout de nos émotions, le film va alors s'orienter vers le survival glauque, reléguant les secousses sismiques au second plan avec l'entrée en scène d'une nouvelle menace. Certes, celle ci est toute trouvée pour permettre de continuer à glisser dans l'horreur mais elle amène un côté malsain gratuit et haletant qui recoupe par moment avec les petites incartades du début. Aftershock n'est donc pas à mettre devant tous les yeux car passé le cap de la catastrophe, il devient particulièrement violent et sadique, mettant les corps et les esprits à mal sans aucune pitié. Sans rien révolutionner, lorgnant vers la dynamique d'un Hostel, affiliation à peine masquée sur l'affiche, il remplit finalement son contrat jusqu'à la dernière minute.
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0,5
Publiée le 29 mai 2020
Tout d'abord, le jeu des acteurs est douloureusement mauvais. Tellement mauvais que ça m'a presque donné envie de jeter quelque chose à l'écran. Les personnages sont vraiment ennuyeux et ça m'a fait oublier tout le reste du film. La seule bonne chose était la belle musique au générique de fin et les 5 dernières secondes lorsque le tsunami a pourchassé le tueur de Miss Party. Il y a des gens stupides dans des situations ridicules, des femmes traitées comme des morceaux de viande sur le marché des hormones mâles et des décisions plus stupides qui conduisent à des conséquences plus stupides encore. La seule chose décente dans ce film était le fait que Eli Roth se laisse tuer. Des acteurs principaux mordant la saleté et quant au reste du casting bon débarras. Cela aurait pu aurait dû être bon car il avait beaucoup du potentiel, mais çà s'est désagrégé aussi rapidement que les bâtiments détruits. Quelle perte de temps...
le réalisateur, mais je soupçonne une grande part de Roth, ici acteur, ne fait pas dans la dentelle, fait plus dans le bricolage mais par des plans, avec des bandes de copains, arrivent a divertir avec quelques frayeurs.
Excellente surprise que ce film à l'allure de série B avec 2 parties bien contrastées. Une première partie de 35 minutes où 3 jeunes hommes rencontrent 3 belles jeunes filles en vacances au Chili et là c'est l'ambiance drague, boîtes, sea, sex and sur. Puis tout dérape avec le tremblement de terre de 2010 pour un film qui immédiatement se transforme en film d'horreur catastrophe gore où ça meurt à tours de bras dans les circonstances les plus affreuses. Les protagonistes entre autre traqués par les prisonniers échappés de la prison, vont tomber les uns après les autres dans des situations atroces. Des rebondissements et un final digne de l'ensemble, ironique et caustique, un pur bonheur d'humour noir. Une distribution de grande qualité, avec des acteurs excellents dont la sublime Natasha Yarovenko (room in Rome). A noter le petit rôle surprise de Selena Gomez.
Ce film n'est pas un thriller. Ce n'est pas non plus un film catastrophe. C'est juste un film gore, plein de brutalités, de cris, de sang et donc sans réel intérêt.
Un film moyen, à l'image de la note que je lui attribue. Une partie plaisante avec du suspense et des moments sanglants, mais malheureusement, beaucoup trop de longueur tout au long du film, notamment au début, où l'on se demande à quel moment cette onde de choc va arriver. En revanche j'ai beaucoup apprécié la scène finale qui conclut à merveille ce film catastrophe. Il y a du bien, il y a du mauvais, à regarder. 2.5/5
Tous les ingrédients du film d'action/aventure/horreur/thriller/Gore y sont, ah ca oui. Et cela donne une mixture déplaisante et écoeurante. Rien de surprenant de la part de Elie Roth, mais franchement à quoi bon faire des navets, Élie Roth, arrête de croire que montrer les pires horreurs en moins de 5 min c'est du cinéma, non, ca s'appelle un navet.
Ce film est une très bonne surprise. Cela commence doucement comme dans un film d'ados avec des jolies filles en maillot pour ensuite partir dans le gore. Quelques scènes m'ont même fait surpris. On a du mal à réaliser que les acteurs principaux meurent les uns après les autres. Il y a un bon climat angoissant jusqu'à la scène finale. Bon film. A voir
un film d horreur qui mélange horreur et catastrophe. mais pour un film d horreur il ne fait pratiquement pas peur . Dommage que selena gomez n'est qui petit rôle dans le film
2/5 vraiment pas terribles, vraiment ces dommages l'histoire en elle-même est bien mais le manque de suspense et le manque de charisme des acteurs plombe le film.
"Aftershock", réalisé par Nicolas Lopez et écrit ainsi qu'interprété par Eli Roth, est un film catastrophe dont je n'attendais pas grand chose mais dont j'ai été assez déçu. La bande annonce de ce long-métrage me faisait croire à un film ultra-violent, sexy et haletant mais ce ne fut pas le cas. En fait, j'ai surtout un gros reproche à faire envers ce film : le temps qu'il met à démarrer. Le film nous montre 40 minutes de scènes de boîtes de nuit, de fêtes, de visites (dont on aurait pu, pour la plupart, s'en passer) et ensuite, on enchaîne avec une virée en enfer pas vraiment stressante. Un peu comme "Hostel" du même Eli Roth d'ailleurs. Sauf que dans ce film-ci, aucune atmosphère pesante ne nous accompagne. Chaque protagoniste de cette mésaventure n'est attachant. Le film peine à nous les présenter dans la première partie mais aucune émotion ne survient quand ils doivent faire face à la mort. Bref, au niveau du scénario, ce n'est pas là que le film va brancher les gens. Et bien sûr, si les personnages ne sont pas travaillés psychologiquement, les acteurs ne peuvent jouer correctement ! Sauf qu'ici, je les trouve plutôt convaincants, malgré les clichés et stéréotypes. La réalisation de Nicolas Lopez est efficace et n'est pas trop illisible, ce qui est assez bien lors des quelques scènes de tension. Car oui, quelques scènes peuvent susciter un léger stress sans qu'elles soient haletantes, bien qu'elles soient prévisibles. Prévisible d'ailleurs, comme la fin, qui manque de surprise et d'inventivité.