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Zoumir
67 abonnés
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2,5
Publiée le 19 juillet 2020
Stupidité, futilité et... Enfin, ce tremblement de terre !
Oui parce que le début de cet Aftershock, est à l'image de ce que nous avait offert Eli Roth dans son Hostel avec son atmosphère festive de franche camaraderie à la recherche du frisson sexuel au milieu de boîtes de nuit et de filles dénudées. Ca cadre sur les formes avantageuses à l'image de ce long plan suivant la démarche chaloupée d'une fille en maillot de bain, petit bout de viande qui n'existera que le temps de sa plastique. Malgré quelques petits détails saupoudrés au cours de discussions qui viendront renforcer un peu le caractère très caricatural de ces personnages en quête de rapprochements, l'ensemble s'éternise et on attend avec impatience que les choses s'emballent. Et lorsque les premières secousses frappent ce petit groupe nouvellement formé, on prend un virage serré vers le film catastrophe. Les corps sont malmenés sans détours au milieu de la panique et très vite, le chacun pour soit ressort. Le cas classique de l'événement dramatique qui vous fait brusquement revoir toutes vos priorités, la peur, l'horreur et le comique d'un membre baladeur balayant d'un grand revers de la main toute superficialité. Le mode survie est lancé. Loin d'être au bout de nos émotions, le film va alors s'orienter vers le survival glauque, reléguant les secousses sismiques au second plan avec l'entrée en scène d'une nouvelle menace. Certes, celle ci est toute trouvée pour permettre de continuer à glisser dans l'horreur mais elle amène un côté malsain gratuit et haletant qui recoupe par moment avec les petites incartades du début. Aftershock n'est donc pas à mettre devant tous les yeux car passé le cap de la catastrophe, il devient particulièrement violent et sadique, mettant les corps et les esprits à mal sans aucune pitié. Sans rien révolutionner, lorgnant vers la dynamique d'un Hostel, affiliation à peine masquée sur l'affiche, il remplit finalement son contrat jusqu'à la dernière minute.
Avec une bande annonce pourtant prometteuse et bah... c'est raté ! Le mélange survival-catatrophe ne marche pas du tout pour moi. Et là c'est là que c'est dommage car jusqu'à l'histoire de la prison, le film se tient et est plaisant. Mais l'irruption des délinquants dans la ville et tout le gore qui s'en suit (bien sur le gore était présent déjà bien avant) nous donne l'impression changer de film. Le jeu d'acteur ne vient pas redorer le tout et ne parlons pas du final aussi décevant que prévisible. Après on ne va pas non plus dire que c'est vraiment un narnar car on arrive quand même à passer un "bon" moment devant.
Un gros gros navet, j'ai eu envie d’arrêter avant la fin tellement c'est mauvais! On en regrette presque le moment avant le tremblement de terre, c’était presque pas mal jusque là!!
Même en direct to dvd, il y a des films qui nous surprennent pour atteindre des sommets de nullité affligeante. Ici, scénario, acteurs, doublage,effets spéciaux,tout concoure pour le prix de la pire daube à éviter. Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu une telle bouse à subir pour ma soirée... Vous serez prévenus.
un film d horreur qui mélange horreur et catastrophe. mais pour un film d horreur il ne fait pratiquement pas peur . Dommage que selena gomez n'est qui petit rôle dans le film
Je trouve le public dur avec "Aftershock", non pas que ce soit un grand film, ni même un bon film. Mais c'est assez efficace pour ce qu'on lui demande de produire. Le problème, c'est déjà que l'action met très longtemps à se dessiner, et arrive d'un seul coup au bout d'une grosse demi heure. C'est bizarre, et la première demi heure n'est donc pas franchement un besoin pour le film, le temps de mettre en place les personnages et l'intrigue, ça aurait du durer un quart d'heure, pas plus. Là, on s'en fout de savoir qu'un gars qui va crever au bout d'une heure a des problèmes avec son ex, ou qu'un autre arrive pas à emballer une nana. Franchement, je m'en balance. Une fois que l'intrigue est posée et que la catastrophe survient, ça devient plus ou moins intéressant. Passons les incohérences, les clichés et les moments mélo à la con, l'histoire qu'il reste est plutôt bien foutue, la fin est pas dégueulasse, quoiqu'on s'en doute un peu. On peut également rajouter que le suspense est présent, là encore c'est plutôt efficace. C'est clairement pas le film de l'année mais c'est un divertissement acceptable, qui se laisse regarde.
le réalisateur, mais je soupçonne une grande part de Roth, ici acteur, ne fait pas dans la dentelle, fait plus dans le bricolage mais par des plans, avec des bandes de copains, arrivent a divertir avec quelques frayeurs.
Pas mal, mais un peu inégal ! Première partie assez bête sans rien d'exceptionnel, puis vient le coté catastrophe - horreur, avec quelques scènes assez violentes ( sans être non plus gore ) et tendues, le tout sans réelles surprises ou suspense.
Co-production américano-chilienne, Aftershock de Nicolas Lopez conduit le spectateur dans du bis décevant. Aidé d'Eli Roth (Hostel) au scénario, Lopez reste cantonné dans une production qui aurait gagné à être plus rigoureuse. Entre la futilité des dialogues, des comédiens mal dirigés, une mise en scène assez pauvre et un manque d'inventivité, le cinéaste réussit quand même, très rarement, à étonner. En effet, Aftershock se veut autant un film catastrophe qu'une bobine d'horreur où le gore, les maquillages sont bons, et la violence graphique accompagnent un traitement pas si désagréable à la fin.
À Santiago du Chili, Gringo, Pollo et Ariel font la fête. Ils rencontrent lors d'une soirée Monica et sa soeur Kylie, ainsi que leur amie Irina. L'alcool aidant, les 3 fêtards invitent les demoiselles à Valparaiso où d'autres soirées les attendent. Mais un tremblement de terre vient gâcher leur joie et, tandis que la ville est confrontée à la violence, ils doivent tenter de se sauver par tous les moyens...
La beauté des décors ne peut faire oublier le sentiment profond qu'Aftershock est bourré d'éléments gênants : le script est léger, trop balisé (surtout dans les deux premiers tiers du film) où la lenteur de l'exposition et de pauvres dialogues escortent des plans de petits paquets aux déhanchements fiévreux. Assez insipide en fait. Et aussi, le métrage de Lopez n'arrive pas à faire ressortir une vraie tension. Malgré ces lourds handicaps, il y a des détails satisfaisants. En premier lieu, la brutalité visuelle avec maquillages réussis et secondement, la dose de cruauté qui surprend. Dommage que la pellicule manque de force et d'impact, son climax en fait les frais. 2/5
"Eli Roth présente", ça en accroche sur la jaquette, mais malheureusement, il aurait dû s'abstenir. Et puis, revenons-en à cette jaquette qui bizarrement zappe complètement les acteurs chiliens, ça fait toujours plaisir pour eux... Le film est court (1h20) mais on a l'impression qu'il dure plus longtemps, tellement on s'ennuie: 35 minutes pour nous présenter les personnages qui sont tellement stéréotypés qu'on n'en a rien à carrer de ce qui peux leur arriver. (eh oui, Nicolas Lopez n'est pas Greg McLean et ça se voit). Après, on a le tremblement de terre, et puis voilà les péripéties ô combien inintéressante qui arrivent: un mort, une scène surjouée du mec qui se reproche cette mort, et puis un autre mort, et puis on va mettre des prisonniers évadés parce que sinon, on va se faire chier (déjà que...), et puis un viol, et puis un mort .... et puis la fin (qu'on aura deviné 30 min à l'avance). Merci Eli Roth de nous avoir présenté cette "merveille".
33 minutes "d'exposition", sérieusement? Ca passe parce que les acteurs s'en sortent bien et que les personnages sont relativement bien écrits, toute proportion gardée hein, on est dans une production Eli Roth ça explore pas non plus les recoins de la psychologie, mais qd même, y sont sympathiques ces personnages, amusants sans être lourdingues, mais bon, 33 minutes de discothèques et de tourisme... bon c'est la formule Roth, et puis ça permet d'économiser sur la partie qui doit coùter le plus cher, à savoir la catastrophe, on pardonne parce qu'on est bien dans un esprit de bricole propre à la série b, et celle-ci est très honnête, on est pas loin du réalisme par moment (=quels sont les comportement de chacun au cours d'une catastrophe naturelle). Twist invraisemblable (et inutile) qui m'a fait penser à Outlast. Quant à la fin... ben c'est la fin quoi. En résumé, un honnête petit divertissement, sans doute trop court, où à l'exposition abusivement longue.
Aftershock est un film qui sort de l'ordinaire car on ne sait ou le classer, la première demie heure ressemble à "Bad Trip" puisqu’une bande de potes se retrouve, fait la bringu , drague les filles, on va passer une bonne soirée ! La seconde partie (le tremblement de terre) vire au gore , personnes écrasées, drames humains,sang qui gicle , là ce n'est plus à mettre devant les yeux de tout le monde et il faut reconnaitre que les effets spéciaux sont une réussite. La troisième partie est la violence et la cruauté d'un gang rencontré pendant la panique, alors qu'est ce qu'on regarde en fait ? Çà se disperse un peu dans les genres et le spectateur est un peu perdu à vrai dire. Un film moyen avec des acteurs corrects, sans plus.
Cherchant encore un quelconque attrait pour Aftershock, j'avoue que je lui trouve très peu d'atouts. Si le film commence comme une virée sympa entre 3 potes avides de passer du bon temps au Chili, il bifurque après 35 (trop) longues minutes vers le survival pur et dur. Malheureusement pour les 6 vacanciers (3 filles se joignent a eux) tout va se liguer contre eux. La nature déchaînante, un téléphérique capricieux qui lâche au mauvais moment, une bande de détenus pré ou très légèrement post puber, et j'en passe... Le peu d'intérêt concernant l'histoire des personnages n'aide pas vraiment à l'attachement censé les lier au spectateur, leur sort nous importe peu et ce n'est le rebondissement final qui sauvera le film.