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    The Dictator
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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 octobre 2012
    Dans le meme ton que Borat et Bruno. On aime ou on deteste, perso j'adore. Tout le monde en prend pour son grade, des islamistes aux américains, en passant par les européens. Dictatures pourris et démocraties pas mieux... A voir et à écouter la super BO
    ferdinand75
    ferdinand75

    571 abonnés 3 931 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2012
    Un 3e Opus très réussi, le scénario est solide, l'histoire inspirée de la réalité est assez astucieuse. L' humour est corrosif et décalé à souhait. Le personnage de l'écolo hippy de New York est très sympa. La tirade à l'assemblée sur la "belle démocratie" américiane est pein de double sens, et très astucieuse. Le bouquet final est un vrai régal.
    scoubi2004
    scoubi2004

    18 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2012
    Excellent film, hilarant. On aime ou on aime pas. Perso j'ai adoré les blagues méchantes à deux balles lancées à tout va. Film comique et satirique des politiques de certains pays arabes et des états unis
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 octobre 2012
    Si Sacha Baron Cohen réussit a fournir des situations drolatiques et une critique politique (qu'on aurait aimé plus développée) à l'égard des démocraties occidentales (la démocratie américaine principalement), il (puisqu'il a co-écrit le scénario) ne parvient pas à fournir un film totalement fini et cohérent.
    En effet, les scènes s'enchainent autour d'une ligne d'intrigue parfois abandonnée, puis reprise trois scènes plus tard. Il y a là aussi un problème de montage, puisque certains passages du film ne ressemblent à rien. "The Dictator" est un objet foutraque.
    Cependant, il faut souligner l'humour de Cohen et le culot de certaines de ses situations. Mais encore une fois, tout ceci est bien irrégulier a du mal à tenir sur la durée. Certains gags sont mêmes très prévisibles quand d'autres ne dépassent pas le stade du pipi-caca.
    Toutefois, on ne s'ennuie pas car le postulat de départ du film (l'histoire d'un tyran) amène à constamment s'interroger sur sa finalité, et ceci est une bonne chose.
    Source: Plog Magazine, les Critiques des Ours
    http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/06/dictator.html
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 23 octobre 2012
    Je n’ai pas vu Borat. Je n’ai pas vu Bruno. Commençons ainsi, j’avais de fort mauvais a priori avant de voir The Dictator. Mais contrairement aux films sus-cités, le dernier film issu de l’esprit probablement dérangé de Sacha Baron Cohen ne me semblait pas être issu de la même veine créative. Certes, on retrouve son humour politiquement incorrect et son absence de tact, mais c’est devant un film que l’on se trouve, pas une sorte de docu-fiction-caméra-cachée-hoax… J’ai été surpris de rire à de nombreuses reprises. Car oui, The Dictator est un film amusant, amusant parce que le réalisateur et ses comédiens s’autorisent beaucoup de choses et avec plaisir, ce qui se voit à l’écran. Au final, c’est un film potache à l’humour parfois lourd, mais qu’importe, une fois de temps en temps, ça ne fait pas de mal ! Mais si vous faites partie des français qui ne vont au cinéma que 2 fois par an en moyenne, allez voir autre chose et attendez que celui-ci passe à la télévision bon sang !

    Source : Plog Magazine, les critiques des ours
    http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/06/dictator.html
    Vanessa Vieuxbled
    Vanessa Vieuxbled

    50 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 octobre 2012
    J'ai trouvé ça stupide anti tout et trop contre Israël et pas marrant ennuyeux. Histoire sans intérêt
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 21 octobre 2012
    Regardez la bande annonce et vous aurez les seules moments drôle de ce film. Pour le reste oubliez vite ce film. Il y a même des moments où je trouve que c'est limite indécents et choquant.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 28 septembre 2013
    Une bande-annonce prometteuse, un début de film bien sympa avec de bonnes idées mais au bout d'une demie-heure, tout s'essouffle très vite ! Les gags viennent à manquer, ils ne sont pas drôles, longs et le scénario est vraiment sans intérêt... sans parler de l'apparition inutile de Gad Elmaleh qui ressort un de ces numéros ringards ! A oublier !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 novembre 2012
    Du Sacha baron Cohen à son meilleur car effectivement le Dictator est son meilleur film ... Politiquement incorect, il fallait oser. Dès la premiere image nous avons un hilarant "à la memoire de Kim jong hil". L'utilisation d'image d'archive est genial, et on rajoute la promo du film à mourir de rire ... Un film a ne pas louper !!
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 octobre 2012
    Comment décrire ce film ? Voilà en tout cas un film original et totalement décalé. "The Dictator" est long-métrage à gags de premier dégré malheureusement trop répétitifs et trop souvent inefficaces. On rigole beaucoup mais on est géné par les fluctuations entre rires et silences.
    jd78
    jd78

    7 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 octobre 2012
    Après s’être fait connaître dans le rôle du rappeur Ali G, avoir choqué l’Amérique sous les traits de Borat, fier et digne représentant de la nation Kazakhstan, et incarné l’homo-facho-fashionista autrichien Brüno, Sacha Baron Cohen revient sur grand écran avec un nouveau personnage haut en couleur dont lui seul a le secret. J’ai nommé l’Amiral Général Aladeen, leader suprême de l’Etat de Wadiya, riche de milliards de pétrodollars. Un dictateur ayant accédé au pouvoir dès l’âge de 6 ans à la mort de son père. Un pouvoir dont il use et abuse à outrance, en remplaçant des mots du dictionnaire par son nom, exécutant tous ceux qui lui déplaisent, ou en consommant des prostituées stars d’Hollywood ou en exigeant la fabrication d’ogives nucléaires pointues. Bref, Aladeen est le tyran des tyrans, inspiré par ses illustres et déchus prédécesseurs comme Saddam, Khadafi, ou encore Kim Jong Il, à qui il rend hommage.

    Comme toujours, le comédien a fait sa promo en orchestrant savamment quelques happenings sur le tapis rouge des Oscars ou à Cannes où il répondait à Michel Denisot comme à son habitude sous le costume et avec l’accent de son personnage. Il a aussi fait monter le buzz en envoyant une vidéo de félicitations via YouTube à un François Hollande fraîchement élu, dans laquelle il le félicitait d’avoir battu le « nain » Sarkozy tout en regrettant la non élection de DSK, le seul président Français qu’il reconnaisse véritablement…

    Mais le film, dans tout ça ? Potacherie vulgaire ou satire politique bien sentie ? Eh bien les deux mon général ! Comme dans ses précédents films, Baron Cohen campe un type politiquement très incorrect et installe des situations totalement trash. Mais il délaisse cette fois l’aspect semi documentaire (avec de « vraies gens » filmés qui réagissent aux horreurs qu’il débite) pour une fiction plus traditionnelle, s’octroyant même les services de bons acteurs dans des seconds rôles comme Ben Kingsley, son félon numéro deux, ou Michael C. Reilly en barbouze spécialiste en torture.

    Le dictateur perd ici sa barbe et son titre lors d’une visite à New York où il se rend pour faire un discours aux Nations Unies, piégé par un complot ourdi par son oncle chef de la sécurité qui entend livrer son pays à de puissants groupes pétroliers. Classique… Ce dernier le remplace donc par un sosie profondément débile afin qu’il signe une nouvelle constitution démocratique pour son pays pour laisser la voie libre à ces vautours de l’énergie. Notre dictateur déchu va se retrouver confronté à la vraie vie, découvrant notamment le travail et l’amour au service d’une droit de l’hommiste incarnée par Anna Faris, et tenter d’empêcher la mise à exécution du complot qui le vise en reprenant sa véritable place.

    Ce choc des cultures est forcément propice à des situations comiques ; et s’il alourdit sa farce politique par des gags scato et des blagues limite racistes, l’acteur scénariste parvient à renverser la situation grâce à des dialogues bien sentis où l’Amérique en prend pour son grade… Notamment dans un discours final plein d’ironie qui est bien sûr loin d’égaler celui du « Great Dictator » de Chaplin. Ce Dictator là n’en reste pas moins une bonne surprise et un divertissement plaisant.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 octobre 2012
    Dans le déroulement de sa carrière à deux vitesses, le trublion Sacha Baron Cohen n’oublie jamais de coopérer avec son acolyte, Larry Charles. Et oui, après Borat et Brüno, voici l’Amiral Général Aladeen, guide suprême d’un état fictionnel nord-africain, en somme, un personnage tout droit inspiré du défunt Colonel Kadhafi, paix ou tourments à son âme, c’est selon. Cohen, donc, dans un élan comique qui lui est tout bonnement propre s’amuse là à balancer des pains non seulement aux dictatures orientales, criminelles et perverses, mais aussi à la mesquinerie de l’occident dit propre, un occident qui ne verra en un abominable tyran qu’une barrière à l’enrichissement pétrolier. Si le contexte est posé, reste à découvrir le comment.

    Pour les ahuris, oui, ils ne sont pas nombreux, ne connaissant pas les élucubrations artistiques du britannique le plus inclassable de son époque, la pilule pourrait être fadasse et dure à avaler. Pour les autres, hormis un traitement d’avantage hollywoodien que précédemment, l’on se retrouve à baigner dans le même marais poisseux que précédemment, même si certains d’entre nous y trouve un malin plaisir, de s’y replonger, j’entends. Ici, une ethnie en prend elle aussi pour son grade, quoique le choc des cultures étant moins agressif du fait que Cohen s’attaque là, qu’à une infime partie de la population orientale. En gros, il s’agira de parodier un fait politique d’actualité, les relations entre l’occident et les dictatures orientales à l’heure du printemps arabe.

    Nous avons donc Aladeen, héritier des reines d’un pays fictionnel en plein désert. Un dictateur, donc, malhonnête, outrancier, raciste, cruel et j’en passe, se retrouvant à devoir se justifier auprès des nations unies pour l’avéré programme nucléaire que développe sa nation d’opprimés. Ni une ni deux, notre gus se retrouve à New-York, se perdant par le bais d’une supercherie, dans la population de la Grosse Pomme, victime d’un complot visant à la vente du sol pétrolier de son pays aux multinationales occidentales. Cherchant pour tous les moyens à reconquérir son statut, nous suivrons les aventures de notre dégénéré du moment, mêlé à une faction écologique citadine, retrouvant d’anciens opprimés de son pays natal et surtout tombant plus ou moins amoureux. Bref, difficile d’en dire plus, le film étant tellement concis qu’il serait malhonnête d’en rajouter.

    En somme, rien de neuf si l’on connaît l’artiste. Certains s’offusqueront de toutes ses vulgarités, d’autres, à l’humour plus évasif, riront à plein poumons. Comme je l’ai dit, hormis un traitement plus hollywoodien que jamais et quelques pieds de nez à notre société du monde libre mais mesquin, le film n’apporte pas autant que l’avait fait Borat en son temps. Quelques bonnes idées, cependant, notamment la retranscription de la BO en version arabe, les multiples caméos, souvent salaces, fallait le faire, et quelques blagues bien trouvées, au détriment d’autres, lourde et pesante. Enfin, un exercice de plus pour le duo Cohen/Charles qui ne s’arrêtera sûrement pas en si bon chemin. 09/20
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 octobre 2012
    m'a bien fait rire!
    à voir si vous avez de l'humour!
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 novembre 2012
    Quelques blagues marrantes, mais ça tend à être lourd et on apprécie moins du coup. Faut aimer le style de Sacha Baron Cohen... Un peu dommage car le concept est assez sympa.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 14 octobre 2012
    Après Borat…
    Après Brüno…
    Voici le Général Aladeen !


    Sacha Baron Cohen adore prendre la personnalité des personnages qu’il incarne, et nous nous l’aimons pour ça ! Il n’a pas de limites et c’est surement ça que j’aime personnellement chez lui et dans ses films. Il arrive toujours, à sa manière certes, à nous mettre en exergue les défauts de notre société que nous ne souhaitons pas voir au grand jour. Et je pense qu’avec le dernier né, The Dictator, Sacha Baron Cohen frappe fort encore une fois contre certaines démocraties du Nord !

    Si il y a une chose que l’on peut féliciter, c’est bien la communication qui fut organisée autour de la sortie du film, et qui a commencé bien des mois avant la sortie officielle. Pour faire sa promotion, Sacha Baron Cohen a usé de sa nouvelle personnalité pour faire un tour du monde « médiatique » et surfer sur l’actualité. On peut le voir sur la Fan Page française que le community management a intégré totalement les codes du film et du général Aladeen pour faire vivre sa communauté. Les publications sont toutes plus magnifiques les unes que les autres (spéciale mention pour les questions !). Et quand la promo continue avec de l’événementielle lors du Festival de Cannes, c’est une sortie très remarquée que les stars et cannois ont pu avoir (voir les photos sur la Fan Page depuis la yacht de Aladeen). L’équipe a mis le paquet, et je pense que personne n’a été déçu par cette communication très bien orchestrée.

    Au niveau du film en lui même, je reste mitigé malgré de très bons fous rires pendant toute la projection. Il y a une surenchère continuelle qui peut parfois être très positive, mais à d’autres moments du film, cela fait trop, trop surfait, et on en arrive à ne pas rigoler. Mais les clichés mis en évidence dans le film demeurent tout de même excellents, et comme dit au début, tous les pays en prennent pour leur fierté.

    Tout d’abord tout le bloc Occidental du fait qu’il accepte de négocier pendant des années avec des régimes totalitaires, ne respectant pas les Droits de l’Homme, mais qui le font dans l’unique but de pouvoir puiser dans les ressources naturelles de ces régimes. On y voit aussi un pied de nez à ces pays ayant accepté les exigences de Kadhafi lors de ces déplacements « officiels » dans différentes nations du Monde, avec son immense tente par exemple. Bref, on y voit bien que personne n’est épargné dans le film, et cela fait son charme.

    Le jeu d’acteur de Sacha Baron Cohen est toujours parfait. Il s’imprègne tellement de son personnage, qu’il est parfois troublant de se demander si lui même sait qui il est réellement. Il l’a dit lui même lors d’une interview, mais c’est flagrant à l’écran. Il faut vraiment une très grande force pour avoir cette capacité a si bien intégré l’ensemble des traits de son personnage, et ne pas quitter le costume une fois le film tourné.

    Il y a des petits moments bien « géniaux » dans le film. Je pense notamment à la balade en hélico comme ça en premier, qui demeure un petit bijou. Ensuite il y a la scène de l’accouchement, quand il a la petite fille dans les mains et qu’il demande ou se trouve la poubelle… Magique ! Après, pour moi, la première image du film restera celle qui m’a le plus marqué ! Nous offrir un portrait de notre défunt dictateur Nord Coréen et saluer la mémoire de ce « Grand Homme »… Je crois qu’il n’y avait pas mieux pour nous mettre dans l’ambiance !


    Et à ce propos, voici le communiqué de presse en sa mémoire :

    « Je suis attristé d’apprendre la disparition de mon cher ami Kim Jong-Il. Nos pensées vont à sa femme et ses 813 enfants. « K-Jo » était un grand leader, un bon ami, et un partenaire de badminton moyen. Il est mort comme il a vécu, dans un 4×4 de luxe. Cet homme extraordinaire a fait beaucoup pour répandre la compassion, la sagesse et l’uranium à travers le monde. Ahmadinejad, Chavez et Newt Gingrinch s’associent à moi-même afin de souhaiter la bienvenue à son fils Kim Jong-Un dans « axe du mal ». »

    The Dictator n’est pas un phénomène hors du commun, mais un film qui se laisse voir assez facilement et qui nous apporte notre dose d’humour pour un bon moment. A voir quand vous le pourrez… Et si vous ne le faites pas, les forces spéciales de Wadiya connaissent votre adresse !
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