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Votre avis sur The Dictator ?
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Sacha Baron Cohen est décidément un abruti complet. Ce film est extrêmement exécrable, sans idées, pas drôle du tout, beaucoup trop vulgaire, beaucoup trop lourdingue, beaucoup trop pesant… A recommander uniquement aux obsédés sexuels confirmés.
J'ai souri une fois, fait "beuaaaark" deux fois et fait "pffffffff" tout au long du film. Sacha Baron Cohen est clairement sur le déclin. Borat était génial et intelligent malgré ses moments purement vulgaires, Bruno était juste vulgaire, The Dictator est juste débile...
Le fantasque Sacha Baron Cohen est de retour. Après le rappeur (AliG), le crétin patriote(Borat) et l'effeminé de service (Bruno), le voilà avec le dictateur d'un pays arabe!Et le moins que l'on puisse dire c'est que c'est réussi.L'interprétation de son personnage ne lui échappe pas et malgré la caricature on se marre et c'est le principal.La double facette de son personnage suite à la perte de sa barbe et l'utilisation de doublures sont des points très positifs de ce film.Et j'ai adoré la bande son reprise de standards sauce wahadyenne!Sous le film comique se cache une sensiblerie et une dénonciation du diktat de certains de ce monde.Qui a parlé de la Corée du Nord??!
defleppard
Humour très décalé vis à vis des dictateurs de ce monde. Très bien sauf qu'au bout d'un quart-d'heure ça devient vite ennuyeux. 1 étoile et demie.
Le film en trois mots : Délirant - Décalé - Décadent
comme il dit l'affiche " c'est une bombe " JE CONFIRME !!.
c'est a mourir de rire, mais des fois il en font trop mais bon c'est quand même énorme.
c'est a mourir de rire, mais des fois il en font trop mais bon c'est quand même énorme.
C'est comment dire euhhh, très con, très second degré, assez cru ou vulgaire mais avec quelques pics sur notre société actuelle et surtout un bon moment d'humour, une bonne mise en scène et au final une bonne surprise...
...Et pourtant j’ai ri, mais il me manque le côté « improvisation » calculé ou réelle qui faisait la force des épisodes précédents. Manque d’inspiration ou lassitude, en tout cas il est clair que son système bougrement efficace par ailleurs semble atteindre ses limites. On a un bon comique potache, mal élevé, et provocateur, mais les gags ne rebondissent plus sur leurs auteurs pour révéler la bêtise forcené de la nature humaine. Les seconds rôles ne sont pas assez détonants un peu fades, pas comme d’hab. En puis je trouve la méchanceté du dictator un peu feinte aussi, un peu forcé, sans intérêt réelle, raté. Son dictateur ne fait jamais peur, pas même une minute. Les rôles de beautiful losers genre Borat, il les réussit beaucoup mieux.
Après Ali-G le rappeur misogyne, Borat le journaliste un peu ... et plus encore, et Bruno le coiffeur gay, Sacha Baron Cohen prend un pari fou: sauter une lettre de l'alphabet.
M'arrêter là semblerait bien violent , mais voila si j'ai apprécie les anciennes moutures, celle ci ne passe plus du tout. C'est ce que les scientifiques appellent l'effet Dieudonné, The Dieudo Effect.
Quand un humoriste non juif fait un sketch sur un colon juif il est antisémite(apparemment ne pas être du coté de l'état d'Israel c'est être forcémént antisémite), le manichéisme dans toute sa splendeur je m'y met sur le champ.
On a donc un humoriste qui fait un sketch d'une heure et demie sur Kadahfi , n'ayant aucun argument pour défendre le vrai Dictateur , je laisse le faux s'agiter dans tous les sens sans grand résultat.
Aucun cliché ne sera épargné (luxure,harem, éxecutions publiques) la banale routine de tout despote qui se respecte. Puis l'exil viendra pertuber le train de vie du tyran et la le film sombre totalement, plus aucun gag ne fonctionne le personnage complètement décalé du monde occidental qui passe de roi à serviteur, on attend l'avalanche comique de situation.
Oups raté on se prend à avoir pitié et honte du personnage en même temps .Etait ce l'effet recherché j'en doute fort.
L'acteur se garde bien de mêler la religion musulmane à son "délire" , c'est ce qui sauve le film d'un américanisme primaire en ce qui concerne le Moyen Orient. Mais les autres clichés sont risibles.
Quand Borat est animé d'un antisémitisme grotesque et d'une attirance magnétique pour Pamela Anderson le trait est tellement gros que le mécanisme fonctionne on rit , non pas parce que c'est un raciste à moitié pédophile, mais parce que le personnage a un bon fond et des défauts cumulés qui sont irréalistes c'est le déclencheur comique.
Ce type la est juste un salaud, comment rire de clichés qu'on trouve dans les séries Z, "moi terroriste kamikaze qui vait faire pêter ton pays de vils capitalistes", quand va t on montrer ces gens sous un trait humain?
The dictator réunit tout ce que le cinéma américain a su produire de haineux vis à vis du Moyen Orient sous le label "Vous avez droit de rire de de tout et pour rien".
M'arrêter là semblerait bien violent , mais voila si j'ai apprécie les anciennes moutures, celle ci ne passe plus du tout. C'est ce que les scientifiques appellent l'effet Dieudonné, The Dieudo Effect.
Quand un humoriste non juif fait un sketch sur un colon juif il est antisémite(apparemment ne pas être du coté de l'état d'Israel c'est être forcémént antisémite), le manichéisme dans toute sa splendeur je m'y met sur le champ.
On a donc un humoriste qui fait un sketch d'une heure et demie sur Kadahfi , n'ayant aucun argument pour défendre le vrai Dictateur , je laisse le faux s'agiter dans tous les sens sans grand résultat.
Aucun cliché ne sera épargné (luxure,harem, éxecutions publiques) la banale routine de tout despote qui se respecte. Puis l'exil viendra pertuber le train de vie du tyran et la le film sombre totalement, plus aucun gag ne fonctionne le personnage complètement décalé du monde occidental qui passe de roi à serviteur, on attend l'avalanche comique de situation.
Oups raté on se prend à avoir pitié et honte du personnage en même temps .Etait ce l'effet recherché j'en doute fort.
L'acteur se garde bien de mêler la religion musulmane à son "délire" , c'est ce qui sauve le film d'un américanisme primaire en ce qui concerne le Moyen Orient. Mais les autres clichés sont risibles.
Quand Borat est animé d'un antisémitisme grotesque et d'une attirance magnétique pour Pamela Anderson le trait est tellement gros que le mécanisme fonctionne on rit , non pas parce que c'est un raciste à moitié pédophile, mais parce que le personnage a un bon fond et des défauts cumulés qui sont irréalistes c'est le déclencheur comique.
Ce type la est juste un salaud, comment rire de clichés qu'on trouve dans les séries Z, "moi terroriste kamikaze qui vait faire pêter ton pays de vils capitalistes", quand va t on montrer ces gens sous un trait humain?
The dictator réunit tout ce que le cinéma américain a su produire de haineux vis à vis du Moyen Orient sous le label "Vous avez droit de rire de de tout et pour rien".
Cohen abandonne le Faux documentaire pour revenir à un film plus convenu qui avait fait sa renommée avec "Ali G" , alors même si on trouve le sens de la vanne très présent , la minutie de l'écriture des dialogues , je trouve l'histoire trop convenu pas assez folle , alors certes certaines scènes vont je pense resté culte comme celle de l'accouchement ... Mais je m'attendais à plus , peut être est-il trop attendu qu'il ne choque plus .
De l'humour a la Sacha Baron Cohen dans la veine d' Ali G, un film a ne pas prendre au sérieux. On passe un agréable moment !
Drôle on passe un agréable moment .
À apprécier à sa juste valeur sans forcément passer pour un beauf !
J'adore "la soupe aux choux" et "le dictateur" aussi !! Il faut juste arrêter de tout intellectualiser et regarder tout simplement pour passer un bon moment, même si ce film n'est pas le meilleur !
J'adore "la soupe aux choux" et "le dictateur" aussi !! Il faut juste arrêter de tout intellectualiser et regarder tout simplement pour passer un bon moment, même si ce film n'est pas le meilleur !
Des bons fou rires, une réalité historique sous-jascente et de la provocation soft. Donc pas aussi hard que les métrages précédent mais un script plus cohérent au détriment de la folie furieuse. Un vrai bon film comique.
Un peu lourdeau, quelques (très) bons passages. Dans un même style, j'ai préféré "rien que pour mes cheveux", qui malgré le titre de gros navet est excellent.
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