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Votre avis sur The Dictator ?
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L'humour gras, pourquoi pas, même si au bout d'une demi-heure le filon semble épuisé et qu'au bout du compte on nous sert les clichés les plus éculés. Au final, on retient surtout l'absence totale de qualités cinématographiques de cet exercice.
Ce qui est bien avec Scha Bron Cohen, c'est qu'il n'y va pas par 4 chemins. Dès l'ouverture du film, premiers rires dans la salle en découvrant l'histoire de l'Amiral Général Aladeen et son accession au pouvoir. En réalisant un mix entre Sadaam Hussein et le colonel Khadafi peut jouer à fond sur la parodie de ces dictateurs, et à ce titre le personnage d'Aladeen est sans doute le plus abouti du répertoire de Sacha Baron Cohen. Dans la même veine que Borat, il a jouer sur l'opposition entre le dictateur et sa vision absolutiste du pouvoir face à son immersion aux Etats-Unis, symbole de la démocratie et du libéralisme.
Il va réussir à imaginer une quantité de gags à destination de tous : Américains, arabes, racistes, écologistes, chinois... qui vont permettre de maintenir un rythme effréné à cette comédie, ce qu'il n'avait pas réussi à faire sur ces deux précédents films "Borat" et "Bruno". L'outrance de ce personnage délirant était un sujet parfait pour Sacha Baron Cohen : il est parvenu à en ressortir le meilleur (ou le pire c'est selon).
Il va réussir à imaginer une quantité de gags à destination de tous : Américains, arabes, racistes, écologistes, chinois... qui vont permettre de maintenir un rythme effréné à cette comédie, ce qu'il n'avait pas réussi à faire sur ces deux précédents films "Borat" et "Bruno". L'outrance de ce personnage délirant était un sujet parfait pour Sacha Baron Cohen : il est parvenu à en ressortir le meilleur (ou le pire c'est selon).
Cohen abandonne le Faux documentaire pour revenir à un film plus convenu qui avait fait sa renommée avec "Ali G" , alors même si on trouve le sens de la vanne très présent , la minutie de l'écriture des dialogues , je trouve l'histoire trop convenu pas assez folle , alors certes certaines scènes vont je pense resté culte comme celle de l'accouchement ... Mais je m'attendais à plus , peut être est-il trop attendu qu'il ne choque plus .
Julien D
Sacha Baron Cohen ne peux pas, comme dans ses deux précédents films, refaire un faux-documentaire mais bien une fiction, sa cible principale étant les grands acteurs de la situation géopolitique internationale. Les gags visuels, les jeux de mots, les blagues trash comme les répliques incisives se mélangent pour nous offrir un cocktail hilarant d’humour politiquement incorrect parfaitement jouissif. L’intrigue met un petit peu de temps à débuter, sans doute du fait que certaines des scènes d’ouverture aient été passées en boucle lors de la promotion excessive du film, mais dès lors que la situation est posée, les scènes comiques se suivent à toute vitesse. Leur ingéniosité et le sens du détail parviennent à amplifier leur effet. Le rythme est si efficace que l’on a à peine le temps de reprendre son souffle que de nouvelles institutions se font violemment insultées ou que la bien-pensance se fait bousculer à travers des vannes qui, subtiles ou grossières, font toujours mouche.
Evidemment, ce film ne fait ni dans la dentelle ni dans la demie-mesure mais si on aime l'humour gras, le 25ème degré et les blague d'ados attardé, ce film est pour vous. Ce film est comme une pâtisserie bretonne : très lourd, très gras mais finalement très bon. On passe un bon moment avec cette satire cruelle de notre époque formidable.Très drôle.
C'est une blague ou quoi ? Ce film est tout simplement ridicule, on se demande comment on peut produire de telz films aujourd’hui...
A éviter
A éviter
The Dictator est une excellente satyre à prendre évidemment avec beaucoup de second degré.
Le film donne le ton dès la première scène, avec une caricature à peine exagéré de certains dictateurs (car certaines des dictatures actuelles ne sont pas très éloignées de ce qu'on voit dans ce film et certains dictateurs sont bien plus mégalomane et sanguinaire que Sacha Baron Cohen). Démarrer sur un hommage à Kim Jong-Il, ça met déjà la barre très haut.
On ne peut pas reprocher à ce film de faire dans le caustique et le consensuel : c'est ultra-corrosif (bon sang, le film arrive à se moquer des attentats des Jeux Olympiques de Munich de 1972). Attention pour les gens à l'humour sensible, certaines vannes sont très choquantes spoiler: (lorsqu'un bébé vient d'accoucher, Aladeen dit en voyant le sexe du bébé « Ah mince, c'est une fille ! Où est la poubelle ? »)
.
L'histoire est complètement loufoque.
Le film n'y va pas avec des pincettes pour taper sur tout. Au-delà des dictatures d'Afrique et du Moyen-Orient, le film y va franco sur le racisme américain (considérant tout ce qui se trouve en dehors de ses frontières comme étant arabe), les journalistes politiques américains (sur-analysant tout), les contrats économiques qui gouvernent les changements géopolitiques de ces pays et surtout les associations marginales (écolos-libertariens, pro-droit de l'homme, égalitaristes, … qui défendent toutes les bonnes causes). spoiler: Le discours où Sacha Baron Cohen décrit une dictature à travers des caractéristiques qui font très fortement penser aux États-Unis est génial.
L'évolution du personnage principal est certes très classique (du méchant froid à l'humain un peu plus empathique) mais le ton reste particulièrement marquant.
De la même manière, il y a un petit creux en milieu de film, mais le reste est vraiment fort et le rythme est là, on est loin de l'humour consensuel et peu-prises-de-risque de la plupart des séries américaines.
Sacha Baron Cohen est complètement déjanté en général Aladeen, il porte impeccablement le projet et on sent sa patte tout au long du film. C'est clairement lui la vedette et il est habité (au point de continuer à jouer son rôle pour faire la promo du film). À ses côtés, le casting est très bon avec notamment Ben Kingsley, Anna Faris, Jason Mantzoukas et John C. Reilly (parfait en gros beauf américain).
Si vous avez aimé l'humour de type OSS 117, normalement, vous ne devriez pas être insensible à ce film.
Le film donne le ton dès la première scène, avec une caricature à peine exagéré de certains dictateurs (car certaines des dictatures actuelles ne sont pas très éloignées de ce qu'on voit dans ce film et certains dictateurs sont bien plus mégalomane et sanguinaire que Sacha Baron Cohen). Démarrer sur un hommage à Kim Jong-Il, ça met déjà la barre très haut.
On ne peut pas reprocher à ce film de faire dans le caustique et le consensuel : c'est ultra-corrosif (bon sang, le film arrive à se moquer des attentats des Jeux Olympiques de Munich de 1972). Attention pour les gens à l'humour sensible, certaines vannes sont très choquantes spoiler: (lorsqu'un bébé vient d'accoucher, Aladeen dit en voyant le sexe du bébé « Ah mince, c'est une fille ! Où est la poubelle ? »)
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L'histoire est complètement loufoque.
Le film n'y va pas avec des pincettes pour taper sur tout. Au-delà des dictatures d'Afrique et du Moyen-Orient, le film y va franco sur le racisme américain (considérant tout ce qui se trouve en dehors de ses frontières comme étant arabe), les journalistes politiques américains (sur-analysant tout), les contrats économiques qui gouvernent les changements géopolitiques de ces pays et surtout les associations marginales (écolos-libertariens, pro-droit de l'homme, égalitaristes, … qui défendent toutes les bonnes causes). spoiler: Le discours où Sacha Baron Cohen décrit une dictature à travers des caractéristiques qui font très fortement penser aux États-Unis est génial.
L'évolution du personnage principal est certes très classique (du méchant froid à l'humain un peu plus empathique) mais le ton reste particulièrement marquant.
De la même manière, il y a un petit creux en milieu de film, mais le reste est vraiment fort et le rythme est là, on est loin de l'humour consensuel et peu-prises-de-risque de la plupart des séries américaines.
Sacha Baron Cohen est complètement déjanté en général Aladeen, il porte impeccablement le projet et on sent sa patte tout au long du film. C'est clairement lui la vedette et il est habité (au point de continuer à jouer son rôle pour faire la promo du film). À ses côtés, le casting est très bon avec notamment Ben Kingsley, Anna Faris, Jason Mantzoukas et John C. Reilly (parfait en gros beauf américain).
Si vous avez aimé l'humour de type OSS 117, normalement, vous ne devriez pas être insensible à ce film.
j'ai vraiment trouvez ca pas terrible avec un humour PiPI Caca assez prononcé.
Soyons clair ! En matière de dictateur il vaut mieux rester sur le standard Chaplin. Et même si Sacha Baron Cohen a toute mon admiration (il porte comme d'habitude le film sur ses seules épaules grâce à ce personnage drolatique), l'ensemble est trop inégal, souvent pas très drôle, la faute entre autre à une écriture paresseuse... Reste 2 ou 3 moments d'anthologie (la scène d'accouchement vraiment gonflée) qui font vraiment se tordre de rire, mais bon pas au point de perdre une heure et demi ...
The Dictator est très drôle et très irrévérencieux. En effet, avec un humour qui n'appartient qu'à lui, Sasha Baron Cohen tire sur tout ce qui bouge et ne se pose aucun sujet tabou : c'est simple, tout le monde y passe ! Le discours final montre d'ailleurs qu'au-delà de la bêtise évidente du film, il y a une critique, fort bien faite en plus ! Mais il ne faut pas penser que le film est sans défauts, en effet, certaines baisses de régime apparaissent (mais moins que ne le laisser présager la bande annonce) et Anna Faris m'horripile toujours !
Un film délirant, rempli d'humour qui vole bas mais très efficace !
Drôle on passe un agréable moment .
Avec Baron Cohen dans le rôle principal, on sait à quoi s'attendre: des personnages travaillés et complètement décalés, et un humour absurde, bien lourd, mais plaisant.Ces éléments sont effectivement réunis dans "The Dictator", qui est n'est pas cette fois axé vrai faux-documentaire.
L'intrigue se déroule sans accrocs dans un rythme soutenu, sans longueurs superflues et l'humour est bien présent et très juste, à l'image du discours d'Aladeen sur la démocratie.
L'intrigue se déroule sans accrocs dans un rythme soutenu, sans longueurs superflues et l'humour est bien présent et très juste, à l'image du discours d'Aladeen sur la démocratie.
Génial. Je ne comprends pas les mauvaises critiques. Il ne faut jamais prendre en 1er degré Sacha. Un très bon moment. Après avoir vu borat que j ai apprécié, je ne pensais jamais de rire autant.
Excellent humour noir, mais aussi qq messages subliminaux envers certains qui se disent démocrates mais ne valent pas bcps mieux que certains dictateurs. C'est bien amené, et c'est drôle !!
Reste que pour ceux qui connaissent ce genre de situation de trop près, l'humour peut mal passer. Comme disait Coluche "On peut rire de tout mais pas avec tout le monde..."
Reste que pour ceux qui connaissent ce genre de situation de trop près, l'humour peut mal passer. Comme disait Coluche "On peut rire de tout mais pas avec tout le monde..."
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