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mx13
242 abonnés
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4,0
Publiée le 25 août 2018
C’est un film délirant, un dénouement délirant, et une histoire délirante. Larry Charles sort une bonne comédie satirique. Très drôle et bien écrit. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 3/5
Une très bonne comédie, très bien écrite, dotés de gags hilarants et pourvus de comédiens convaincants dont un hilarant Sacha Baron Cohen. Un très bon moment de cinéma.
Inutile de tergiverser, The Dictator est un hommage au film de Chaplin à la sauce Baron Cohen. Le décor a changé (les allemands n'envahissent plus personne mais les dictateurs arabes tombent les uns après les autres) mais les thèmes sont restés les mêmes : critique de la société et de la bêtise humaine. Après Borat et Brüno, Larry Charles continue d'être le fidèle partenaire de Sacha Baron Cohen en créant un nouveau personnage déjanté : le dictateur Alladeen, général de la République de Wadiya. Nous sommes prévenus avant même d'entrer dans la salle, le style des deux compères est particulier. Mais pourquoi changer une équipe qui gagne ? L'acteur garde encore et toujours cet humour excessif et caricatural qui a fait sa force pour mieux dénoncer ce qu'il incarne, et tout le monde en prend pour son grade : la paranoïa du terrorisme, l'écologisme à deux francs ou la soif de pouvoir des dirigeants politiques. Si l'histoire d'amour naissante entre le général et une écolo perchée n'a pas forcément sa place, le récit comporte de nombreux gags auxquels nous sommes obligés de rire. Certes tout n'est pas hilarant et certains passages sont un peu lourds, mais il faut avouer qu'on prend une grande satisfaction à voir ce dictateur échoué dans une ville où personne ne le reconnaît. L'apparition de guest stars (dont on ne dévoilera pas le nom pour le plaisir des spectateurs) renforce cette comédie au ton corrosif, porté par un Sacha Baron Cohen qui aura marqué sa génération par son charisme et un genre qui n'appartient qu'à lui.
Je n'avais pas vu le premier film de ce fou furieux, je n'avais donc aucun préjugé sur les qualités de cet acteur producteur comique. Je je n'ai pas été déçu, le film est comme annoncé précédemment, complètement débile ! Mais ce n'est pas pour déplaire, c'est un style loufoque extravagant, qui mérite d'exister, quand il est efficace vis-à-vis du public qui en redemande.
Si Sacha Baron Cohen réussit a fournir des situations drolatiques et une critique politique (qu'on aurait aimé plus développée) à l'égard des démocraties occidentales (la démocratie américaine principalement), il (puisqu'il a co-écrit le scénario) ne parvient pas à fournir un film totalement fini et cohérent. En effet, les scènes s'enchainent autour d'une ligne d'intrigue parfois abandonnée, puis reprise trois scènes plus tard. Il y a là aussi un problème de montage, puisque certains passages du film ne ressemblent à rien. "The Dictator" est un objet foutraque. Cependant, il faut souligner l'humour de Cohen et le culot de certaines de ses situations. Mais encore une fois, tout ceci est bien irrégulier a du mal à tenir sur la durée. Certains gags sont mêmes très prévisibles quand d'autres ne dépassent pas le stade du pipi-caca. Toutefois, on ne s'ennuie pas car le postulat de départ du film (l'histoire d'un tyran) amène à constamment s'interroger sur sa finalité, et ceci est une bonne chose. Source: Plog Magazine, les Critiques des Ours http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/06/dictator.html
Je n'ai jamais vu les films de Sacha Baron Cohen car parait-il ce n'est pas de mon âge, je comprends pourquoi, car dans ce film, il y a plein de perversité. À mon avis, Sacha Baron Cohen aime bien provoquer les gens, notamment Kim Jong Il. Un bon film, mais j'attendais un peu mieux de ce film, 3.5/5.
J'ai adoré ce film. Il est super marrant et j'ai adoré qu'il mette l'actrice Anna Faris de Scary movie . C'est l'un des meilleures film que j'ai regardé !
Le créateur déjanté de Borat n’a aucune limite et c’est pour ça qu’on l’aime... ou pas ! D’un mauvais goût exquis, sa dernière farce 100% énorme est donc strictement réservée aux fans de l’énergumène. A voir !
C'est rigolo et c'est cool. Après, il ne faut rien attendre de spécial.
En revanche, la campagne de communication menée de part le monde pour la promotion de ce dernier (notamment à Cannes) est quant à elle une vraie originalité :) ! On dirait presque qu'elle est completée par le film (ce qui est très original vu que d'habitude c'est l'inverse).
La limite du délire mégalomaniaque, extravagant et criminel des dictateurs est qu'il n'y en a absolument aucune. Donc du pain béni pour Sacha Baron Cohen qui n'a pas à trop forcer le trait de son personnage qui s'inspire de Kadhafi, de Saparmyrat Nyýazow et de quelques autres de ces charmants messieurs. Les gags tournant directement autour du dictateur quand il est dictateur (c'est-à-dire ceux du début surtout !!!) sont de loin les meilleurs et les plus drôles ; en outre le discours où sans le savoir et avec justesse notre personnage dénonce les très grandes limites de l'autoproclamée "plus grande démocratie du monde" est très percutant. Mais entre les deux, quand le dictateur n'est plus dictateur il faut bien dire que l'intrigue est assez cousue de fil blanc et peu intéressante ; de plus les personnages secondaires, Cohen étant ironiquement aussi imposant que le rôle qu'il interprète, peinent sérieusement à exister à l'instar de l'oncle qui veut être "calife à la place du calife" joué par Ben Kingsley qui est trop sous-exploité alors qu'il aurait pu être un très bon vivier de gags. Bon ben c'est pas tout ça, je vais aller tirer ma condamnation à 9999 ans de prison que cette critique m'a apportée.
The Dictator s'avère être une comédie bien déjantée et décalée, s'autorisant bon nombre de politiquement incorrect. L'humour y est en effet bien noir et ne plaira sûrement pas à tout le monde... Reste que Sacha Baron Cohen y est beaucoup plus supportable que dans Borat, et que l'on retrouve un casting sympathique. Une bonne comédie donc, surprenante et osée!
Malgrès quelques gags sympathiques, on ne retiendra rien d'autre du film The Dictator. Larry Charles, parait inexistant en tant que réalisateur. L'on obtient ainsi Une vitrine à l'apogée d'un Baron "Mégalomaniaque" Cohen qui a hélas perdu ses talents créatifs (scénaristiques, d'acting etc...) depuis Bruno. Meme en tant qu'acteur, Sacha Baron Cohen laisse ici une prestation à désirer.
Au final, un film creux, fragile, non fini, plus lourdingue qu'un Eddie Murphy, moins bien écrit qu'un Horrible Boss, sans queue ni tête. Un film loin du Génial Borat, qui n'a de raison d'exister que son acteur, producteur et co-scénariste Sacha Baron Cohen.