AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,0
9050 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur The Dictator ?
5
79 critiques
4
272 critiques
3
325 critiques
2
173 critiques
1
75 critiques
0
76 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Enfin un film à l'humour très décapant qui cogne vraiment fort et sur tout le monde ! Un film féroce, parfois vérace où toutes les "minorités" en prennent plein-la-gueule, mais aussi les américains et les catégories que j'appellerai "les intouchables". C'est gras, méchant et très drôle. Autant préciser que je partais avec un a priori assez négatif, n'ayant pas vraiment accroché par le passé aux films de S. B. Cohen, a priori vite balayé par les cinq premières minutes qui envoient du bois !
Les critiques négatives sont en grande partie l'oeuvre de tous ceux qui se font allumer par ce film et bien entendu, les gardiens de la bonne pensée mainstream "boboisante" moralisatrice qui n'en finit pas de s'indigner à chaque petit dérapage politiquement non correct.
Un must-see humoristique.
Les critiques négatives sont en grande partie l'oeuvre de tous ceux qui se font allumer par ce film et bien entendu, les gardiens de la bonne pensée mainstream "boboisante" moralisatrice qui n'en finit pas de s'indigner à chaque petit dérapage politiquement non correct.
Un must-see humoristique.
Sasha Baron Cohen est agaçant pour certains, hilarant pour d'autres. "The Dictator" est une farce irrévérencieuse, qui pourra en choquer plus d'un. Mais les fans de l'acteur seront servis !
Tel "La Cité de la Peur" des Nuls, Sacha Baron Cohen fait dans le même registre : blagues fines et potaches, vannes efficaces, clins d’œil parodiques permanents.
Sur un plan purement comique, "The Dictator" est désopilant, multipliant les missives sur le ton de la parodie lourde et de la caricature sur-appuyée.
Régale à hurler de rire dans lequel viennent s’auto-parodier, avec courage mais brio, des stars comme Megan Fox et Edward Norton.
Comédie corrosive et trash au mauvais goût jouissif, "The Dictator" compte sur la pas trop stupidité des gens pour comprendre le détournement sarcastique. Sacha Baron Cohen nous fait marrer, fait marrer ses fans et le film devient une énormité complètement grotesque et assumée. Malgré quelques ratées, les blagues s'enchaînent.
Avec "The Dictator", le réalisateur new-yorkais Larry Charles signe un faux remake parodique du "Dictateur" de Charlie Chaplin.
Et pour apprécier le film, reste juste à aimer ce type de cinéma qui ne vole pas haut dans son abattage humoristique mais qui a un sens de la parodie radicalement efficace et impressionnant.
Tel "La Cité de la Peur" des Nuls, Sacha Baron Cohen fait dans le même registre : blagues fines et potaches, vannes efficaces, clins d’œil parodiques permanents.
Sur un plan purement comique, "The Dictator" est désopilant, multipliant les missives sur le ton de la parodie lourde et de la caricature sur-appuyée.
Régale à hurler de rire dans lequel viennent s’auto-parodier, avec courage mais brio, des stars comme Megan Fox et Edward Norton.
Comédie corrosive et trash au mauvais goût jouissif, "The Dictator" compte sur la pas trop stupidité des gens pour comprendre le détournement sarcastique. Sacha Baron Cohen nous fait marrer, fait marrer ses fans et le film devient une énormité complètement grotesque et assumée. Malgré quelques ratées, les blagues s'enchaînent.
Avec "The Dictator", le réalisateur new-yorkais Larry Charles signe un faux remake parodique du "Dictateur" de Charlie Chaplin.
Et pour apprécier le film, reste juste à aimer ce type de cinéma qui ne vole pas haut dans son abattage humoristique mais qui a un sens de la parodie radicalement efficace et impressionnant.
J'ai arrêté ce fiasco au bout de 30 minutes. Humour vulgaire et tellement lourd que le film en devient vite indigeste. On est très loin des documentaires poilants que nous offrait Sacha Baron Cohen avec Borat ou Bruno. Ici aucune finesse ni trait d'esprit, je me suis senti mal à l'aise et profondément ennuyé. L’événement The Dictator n'était au final que le déclin consternant de l'humoriste anglais. Nullissime.
C'est très gras. C'est très TRES con. Mais c'est souvent très drôle aussi !
De la bombe? plutôt un pétard mouillé décevant au vu du très bon BRUNO et du moyen BORAT, on ne rit que trop peu
A sauver la démonstration aux américains qu'ils sont eux même des dictateurs: hilarante
A sauver la démonstration aux américains qu'ils sont eux même des dictateurs: hilarante
Je suis pas fan de ce genre de film en général mais là il faut avouer qu'il est très bien fait! Fou rire du début à la fin du film!! Il faut bien sûre prendre ce film au second voir troisième degré! J'ai passé un très bon moment
Non, non et non! Je n'aime pas faire ce genre de procédé mais Je suis obligé de faire un parallèle avec le Dictateur de Chaplin: quand on ose en prendre le même nom, on aurait pu s'attendre à un film subversif et dérangeant, visionnaire (le Dictateur ayant été tourné dès le début de la guerre)... et comique! Ahah! Tout le contraire!
The Dictator est lourd, très lourd. L'humour est quasi tout le temps sous la ceinture. Enchainement de scènes ultra-vulgaires, grotesques, pipi-caca, circulez il n'y a rien à voir.
The Dictator est opportuniste. Lorsqu'il sort, Kadhafi est déjà mort, Ben Ali et Moubarrak sont déjà destitués. Sorti un an avant, il aurait déjà un peu plus de gout de vitriol.
The Dictator est consensuel. Les personnages, les institutions sont caricaturales pour mieux flatter la moyenne de connaissances géopolitiques du public, affleurant le zéro absolu. Même dans le jeu Tropico, les dictateurs sont moins benêts que ça!
The Dictator remporte la palme de l'accent arabe le plus emprunté et le moins crédible qu'il soit. Jeu d'acteur: zéro. Je veux que l'on m'apporte la tête de la maquilleuse dans un plateau, et celle du costumier au bout d'une pique.
The Dictator est laid. Filmé avec des gants de boxe, monté à la débroussailleuse, éclairage dégueulasse, narration peu claire, nombreuses contradictions.
The Dictator n'est pas nul, il est juste très mauvais (soit une étoile au lieu de une demie) car seul le premier quart d'heure est un tant soit peu taquin et drôle ( spoiler: la dédicace du film à la mémoire de Kim Jung-Il
) Après, c'est du Bigard-like.
The Dictator est une escroquerie, loin d'être un film dérangeant ou faisant réfléchir, il a d'ailleurs fait un petit bide bien mérité. Mais bon, dans un pays où l'on voudrait nous faire croire que la subversion, c'est Stephane Guillon, c'est Le Petit Journal, et c'est Laurent Gerra, il n'est guère étonnant que des journalistes en disent qu'il sagisse d'un bijou de politiquement incorrect.
The Dictator est lourd, très lourd. L'humour est quasi tout le temps sous la ceinture. Enchainement de scènes ultra-vulgaires, grotesques, pipi-caca, circulez il n'y a rien à voir.
The Dictator est opportuniste. Lorsqu'il sort, Kadhafi est déjà mort, Ben Ali et Moubarrak sont déjà destitués. Sorti un an avant, il aurait déjà un peu plus de gout de vitriol.
The Dictator est consensuel. Les personnages, les institutions sont caricaturales pour mieux flatter la moyenne de connaissances géopolitiques du public, affleurant le zéro absolu. Même dans le jeu Tropico, les dictateurs sont moins benêts que ça!
The Dictator remporte la palme de l'accent arabe le plus emprunté et le moins crédible qu'il soit. Jeu d'acteur: zéro. Je veux que l'on m'apporte la tête de la maquilleuse dans un plateau, et celle du costumier au bout d'une pique.
The Dictator est laid. Filmé avec des gants de boxe, monté à la débroussailleuse, éclairage dégueulasse, narration peu claire, nombreuses contradictions.
The Dictator n'est pas nul, il est juste très mauvais (soit une étoile au lieu de une demie) car seul le premier quart d'heure est un tant soit peu taquin et drôle ( spoiler: la dédicace du film à la mémoire de Kim Jung-Il
) Après, c'est du Bigard-like.
The Dictator est une escroquerie, loin d'être un film dérangeant ou faisant réfléchir, il a d'ailleurs fait un petit bide bien mérité. Mais bon, dans un pays où l'on voudrait nous faire croire que la subversion, c'est Stephane Guillon, c'est Le Petit Journal, et c'est Laurent Gerra, il n'est guère étonnant que des journalistes en disent qu'il sagisse d'un bijou de politiquement incorrect.
gimliamideselfes
Voici un des films que j'attendais le film, faut dire que Brüno me vendait du rêve, c'est un des rares films que j'ai vu 3 fois et où je riais plus à chaque vision, car je savais par avance que ça allait être énorme. Après j'aime un peu moins Borat (peut-être car je l'ai vu à sa sortie et en VF), mais je n'aime pas trop Ali G.
J'avais malgré tout un peu peur de The Dictator, puisque c'est comme Ali G, ici pas de rencontre avec le citoyen américain lambda, les gags servent une histoire. J'aimais bien la gratuité de Borat et Bruno.
Mais bon j'ai beaucoup, comme j'avais pas ris depuis longtemps. Alors oui j'ai pas autant ris que devant Bruno, mais tout de même, c'est une belle tranche de rire complètement con. Je dirai même que la mise en scène est moins dégueulasse que dans Bruno. Ce qui est toujours bon à prendre.
Du coup on a une histoire plutôt bien menée, qui enchaîne les situations débiles, mais qui va plus loin. Enfin je veux dire que malgré tout j'ai trouvé que le film disait quelque chose sur les dictateurs. Ces pays qui veulent rester indépendant des superpuissances financières et qui sont montrées par l'occident comme des monstres (bon là c'est un peu un gros débile le dictateur), et qui si elles s'ouvrent au commerce extérieur deviennent des pays respectables. C'est un peu le même message que dans Syriana mais en moins profond bien entendu.
Mais je ne vais pas m'attarder là dessus, parce que je suis venu pour les gags. Et il y en a des pas mal. On peut noter que Cohen ne résiste jamais à l'envie de montrer son sexe.
On a des scènes assez débiles qui valent le coup d'oeil (mais rien que vaille l'émission dans Bruno avec l'hélico bite), je pense notamment à une scène d'accouchement où plus con tu meurs.
Et pour une fois le film est assez extrême et va au bout de son concept (même si on dira qu'on peut toujours aller plus loin) et on peut passer un très bon moment à ricaner comme des truies.
De plus je dirai qu'il n'y a pas vraiment de gags qui tombent à plat, donc c'est tout bénef.
Après faut aimer la connerie XXL.
J'avais malgré tout un peu peur de The Dictator, puisque c'est comme Ali G, ici pas de rencontre avec le citoyen américain lambda, les gags servent une histoire. J'aimais bien la gratuité de Borat et Bruno.
Mais bon j'ai beaucoup, comme j'avais pas ris depuis longtemps. Alors oui j'ai pas autant ris que devant Bruno, mais tout de même, c'est une belle tranche de rire complètement con. Je dirai même que la mise en scène est moins dégueulasse que dans Bruno. Ce qui est toujours bon à prendre.
Du coup on a une histoire plutôt bien menée, qui enchaîne les situations débiles, mais qui va plus loin. Enfin je veux dire que malgré tout j'ai trouvé que le film disait quelque chose sur les dictateurs. Ces pays qui veulent rester indépendant des superpuissances financières et qui sont montrées par l'occident comme des monstres (bon là c'est un peu un gros débile le dictateur), et qui si elles s'ouvrent au commerce extérieur deviennent des pays respectables. C'est un peu le même message que dans Syriana mais en moins profond bien entendu.
Mais je ne vais pas m'attarder là dessus, parce que je suis venu pour les gags. Et il y en a des pas mal. On peut noter que Cohen ne résiste jamais à l'envie de montrer son sexe.
On a des scènes assez débiles qui valent le coup d'oeil (mais rien que vaille l'émission dans Bruno avec l'hélico bite), je pense notamment à une scène d'accouchement où plus con tu meurs.
Et pour une fois le film est assez extrême et va au bout de son concept (même si on dira qu'on peut toujours aller plus loin) et on peut passer un très bon moment à ricaner comme des truies.
De plus je dirai qu'il n'y a pas vraiment de gags qui tombent à plat, donc c'est tout bénef.
Après faut aimer la connerie XXL.
La dernière farce de Sacha Baron Cohen sent le réchauffe,même si son goût pour la provocation facile reste intact.Apres Ali G,Borat et Bruno,Baron Cohen singe les dictateurs type Saddam Husseim et Kadhafi,en synchronisation parfaite avec les événements du Printemps Arabe."The Dictator" démarre sur les chapeaux de roue.Le Général Aladeen,dictateur du Wadiya,exhibe sa richesse,son pouvoir et sa vulgarité.Mais fini la vie de roi,lorsqu'il se retrouve exilé dans New York,trahi par son proche conseiller.Baron Cohen provoque les mêmes réactions épidermiques.Soit on encense son impertinence,soit on maudit le vide narratif et l'humour systématiquement raciste.Le fait est qu'en abandonnant le format reportage TV,pour une narration plus consensuelle,Baron Cohen perd ce qui fait son sel:son indépendance créative.Redhibitoire.Ceci étant,si l'on ne cherche pas à analyser,il faut admettre que l'on rit énormément tant les gags sont énormes,inattendus,et visuellement badass.Le premier quart d'heure est un festival,tant le comique britannique appuie sur le côté extrémiste de son personnage.Au final,peu de contenu,mais une bonne tranche de rigolade.
this is my movies
Si ce film confirme tout le talent comique de S. B. Cohen, il en montre aussi les limites et surtout, un inquiétant manque d'inspiration. Vous me direz, impossible de faire mieux que "Borat" sauf que là, Cohen, en décidant de retourner à la fiction (une première depuis "Ali G"), en tire un canevas assez convenu voire bâclé malgré quelques gags assez fendards ou encore un sous-texte subversif toujours aussi acide mais noyé au milieu d'un étalage de bons sentiments et la sensation que ce grand malade s'est fait récupérer et que, sous couvert de 2-3 blagues acides ou osées, on lui impose un ton plus consensuel. Les 2nds rôles sont sympathiques, on rit bien mais le rythme a du mal à suivre et on s'ennuie parfois un peu devant ce spectacle assez policé au fond. Marrant mais pas inoubliable. D'autres critiques sur
Farce politique caricaturale qui reste souvent très drôle malgré quelques défauts et lourdeurs.
La poilade... j'adore cet humour... certes moins énorme que Borat.... mais mieux que Brunö.... et on s'éclate tellement c'est con ! mais que c'est bon !
Mais qu'est devenu le type mordant que j'avais connu plus tôt, Sacha Baron Cohen ?
Ici, on aligne les clichés (principe de base de l'oeuvre de Cohen) sans mordant et sans plaisir. On passe le film à ne jamais vraiment sourire, à peine à vrai dire. Ca finit même dans une bleuette saugrenue alors que la promo internationale du dictateur avait été, je trouve, excellente et vraiment drôle. On en est loin, au final...
Peut-être Sacha Baron Cohen a-t-il épuisé le genre après son très médiocre gay.
Ici, on aligne les clichés (principe de base de l'oeuvre de Cohen) sans mordant et sans plaisir. On passe le film à ne jamais vraiment sourire, à peine à vrai dire. Ca finit même dans une bleuette saugrenue alors que la promo internationale du dictateur avait été, je trouve, excellente et vraiment drôle. On en est loin, au final...
Peut-être Sacha Baron Cohen a-t-il épuisé le genre après son très médiocre gay.
gabdias
Autant le dire d'entrée, ça ne vole pas haut avec Sacha Baron Cohen, c'est souvent gras et en bas de la ceinture mais fondamentalement cette caricature des dictateurs et notamment de Sadam Hussein est jouissive, c'est enlevé, c'est provoc à souhait, c'est irrévérencieux, bref l'Amérique puritaine va en prendre un coup !
Je pensais honnêtement que tous les gags seraient dans la bande-annonce... j'ai eu tort.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse