Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Elle
par Alix Girod de l'Ain
C'est bête, mais que c'est bête ! C'est drôle, mais que c'est drôle ! Un film dont on sort un peu plus idiot, mais tellement plus heureux, c'est un plaisir dont on aurait tort de se priver.
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L'Express
par Christophe Carrière
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L'Humanité
par Vincent Ostria
Au-delà de la caricature outrée, et des vrais éclats de rire qu'elle génère, l'intérêt du film, de prime abord un brin raciste (comme les précédentes oeuvres de Sacha Baron Cohen), est de renverser in fine la situation.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Alain Grasset
Avec Sacha Baron Cohen, ça passe ou ça casse. Là, entre fiction et réalité, cette farce politique superficielle est souvent très drôle, et parfois totalement dingue. Même s'il a un peu perdu le sens de la provoc de ses débuts, on rigole ! Malgré un penchant pour l'humour scatologique qui alourdit inutilement certains dialogues.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Christine Haas
En véritable anarchiste, Sacha Baron Cohen signe une satire politique aussi drôle que cruelle.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
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CinemaTeaser
par Ilan Ferry
Une tenace volonté de repousser toujours plus loin les limites de la connerie, quitte à se prendre les pieds dans le tapis.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Vincent Avenel
Déterminé à faire sauter tous les compteurs de la bienséance, l'auteur-interprète de "Borat" et de "Brüno" n'a pourtant pas, jusqu'à maintenant, brillé par la finesse de son discours ironique, ni par sa subtilité sous-jacente. Malgré une campagne de promotion tout à fait réjouissante, ce n'est certainement pas ce nouveau film qui va élever son créateur au rang d'un John Waters.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
On rigole toujours aux outrances de l'auteur-démiurge, même si l'abandon du pseudo-format documentaire amoindrit l'impact de l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Filmsactu
par Marion Plantier
Si l'on peut trouver quelques défauts au film dans sa forme, le fond reste quant à lui toujours aussi jouissif.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Même si le film est réduit à une suite de sketches vaguement reliés entre eux, il faut reconnaître à Sacha Baron Cohen un abattage dans le mauvais goût, une science du détournement parodique et un génie comique qui font souvent mouche.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
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La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Sacha Baron Cohen est de retour, mais dans un cadre purement fictionnel. Restent les vieilles habitudes : le portrait d'un être étrange hors de son élément, pour un résultat plus classique que ses précédentes folies.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Bruno Icher
Toujours à la recherche d'un gag où le rire qu'il provoque le disputera à la honte d'en être amusé, Sacha Baron Cohen remplit le contrat.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Ollivier Pourriol
Insaisissable, inassignable, le nouveau scénario de Cohen nous emmène quelque part entre Benny Hill et Andy Warhol.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Christophe Narbonne
La liberté de ton et le culot affichés par "Borat" (...) sont désormais révolus. Si certains gags et certaines répliques déclenchent l'hilarité par leur énormité, l'absence de vision et le ronronnement de la narration démontrent que Baron Cohen est en fin de cycle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
D'un mauvais goût exquis, [la dernière farce de Sacha Baron Cohen] 100% énorme est réservée aux fans de l'énergumène, qui tourne ici le dos au ciné canular, pas au délire.
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Ici, tout le monde – et en premier lieu le politiquement correct – en prend pour son grade dans un jeu de massacre filmé avec des moufles mais souvent hilarant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jérémie Couston
Humour toujours ultra corrosif, donc, et très souvent en dessous de la ceinture (...). Plus scénarisé que d'habitude, le film perd cette mise en danger masochiste qui rendait si provocatrices les outrances du cinéaste...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Excessif
par Romain Le Vern
C'est une comédie pop et trash superficielle dont les conventions ne s'accordent pas si bien que ça avec les exubérances de Sacha Baron Cohen.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Amateurs d'humour raffiné, passez votre chemin.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Ce grand vide polémique dans lequel le film nous parvient traduit bien l'échec du système Sacha Baron Cohen : sa normalisation. (...) Son nouvel opus se réduit ainsi à une succession de sketches jamais écrits, jamais filmés (...), coincés entre un genre de satire politique hérité des TV shows anglais et une farce monstrueuse à la Farrelly – le génie en moins.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Jérôme Vermelin
Si la caricature de Saddam Hussein sent le réchauffé, "The Dictator" pèche surtout par son manque de spontanéité. Finie l'esthétique documentaire, bonjour la comédie mainstream sans surprise.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Cahiers du Cinéma
par Clémentine Gallot
"The Dictator" marque une nouvelle étape dans le déclin de l'humoriste anglais Sacha Baron Cohen, amorcé par "Brüno" en 2009, qui témoignait déjà d'une tendance au ressassement.
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Triste destin que celui de l'amiral Baron Cohen, dont la maigre artillerie comique n'enfonce plus que des portes ouvertes.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par Fabrice Pliskin
Dans "The Dictator", le véritable opprimé, c'est peut être l'art de Cohen. Son cinéma avait quelque chose de tauromachique, avec la réalité documentaire dans le rôle de la corne. Ici, rien de réel. Cette irrégularité vient contaminer l'intrigue même.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Philippe Rouyer
(...) le scénario finit par contenir sur des rails dramaturgiques, fussent-ils assez larges, la folie du personnage. Au bout d'une quinzaine de minutes, malgré l'extraordinaire abattage de Sacha Baron Cohen, le soufflé retombe.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Elle
C'est bête, mais que c'est bête ! C'est drôle, mais que c'est drôle ! Un film dont on sort un peu plus idiot, mais tellement plus heureux, c'est un plaisir dont on aurait tort de se priver.
L'Express
Voir le site de L'Express.
L'Humanité
Au-delà de la caricature outrée, et des vrais éclats de rire qu'elle génère, l'intérêt du film, de prime abord un brin raciste (comme les précédentes oeuvres de Sacha Baron Cohen), est de renverser in fine la situation.
Le Parisien
Avec Sacha Baron Cohen, ça passe ou ça casse. Là, entre fiction et réalité, cette farce politique superficielle est souvent très drôle, et parfois totalement dingue. Même s'il a un peu perdu le sens de la provoc de ses débuts, on rigole ! Malgré un penchant pour l'humour scatologique qui alourdit inutilement certains dialogues.
Paris Match
En véritable anarchiste, Sacha Baron Cohen signe une satire politique aussi drôle que cruelle.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
CinemaTeaser
Une tenace volonté de repousser toujours plus loin les limites de la connerie, quitte à se prendre les pieds dans le tapis.
Critikat.com
Déterminé à faire sauter tous les compteurs de la bienséance, l'auteur-interprète de "Borat" et de "Brüno" n'a pourtant pas, jusqu'à maintenant, brillé par la finesse de son discours ironique, ni par sa subtilité sous-jacente. Malgré une campagne de promotion tout à fait réjouissante, ce n'est certainement pas ce nouveau film qui va élever son créateur au rang d'un John Waters.
Ecran Large
On rigole toujours aux outrances de l'auteur-démiurge, même si l'abandon du pseudo-format documentaire amoindrit l'impact de l'ensemble.
Filmsactu
Si l'on peut trouver quelques défauts au film dans sa forme, le fond reste quant à lui toujours aussi jouissif.
Le Monde
Même si le film est réduit à une suite de sketches vaguement reliés entre eux, il faut reconnaître à Sacha Baron Cohen un abattage dans le mauvais goût, une science du détournement parodique et un génie comique qui font souvent mouche.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Sacha Baron Cohen est de retour, mais dans un cadre purement fictionnel. Restent les vieilles habitudes : le portrait d'un être étrange hors de son élément, pour un résultat plus classique que ses précédentes folies.
Libération
Toujours à la recherche d'un gag où le rire qu'il provoque le disputera à la honte d'en être amusé, Sacha Baron Cohen remplit le contrat.
Marianne
Insaisissable, inassignable, le nouveau scénario de Cohen nous emmène quelque part entre Benny Hill et Andy Warhol.
Première
La liberté de ton et le culot affichés par "Borat" (...) sont désormais révolus. Si certains gags et certaines répliques déclenchent l'hilarité par leur énormité, l'absence de vision et le ronronnement de la narration démontrent que Baron Cohen est en fin de cycle.
Télé 7 Jours
D'un mauvais goût exquis, [la dernière farce de Sacha Baron Cohen] 100% énorme est réservée aux fans de l'énergumène, qui tourne ici le dos au ciné canular, pas au délire.
TéléCinéObs
Ici, tout le monde – et en premier lieu le politiquement correct – en prend pour son grade dans un jeu de massacre filmé avec des moufles mais souvent hilarant.
Télérama
Humour toujours ultra corrosif, donc, et très souvent en dessous de la ceinture (...). Plus scénarisé que d'habitude, le film perd cette mise en danger masochiste qui rendait si provocatrices les outrances du cinéaste...
Excessif
C'est une comédie pop et trash superficielle dont les conventions ne s'accordent pas si bien que ça avec les exubérances de Sacha Baron Cohen.
Le Journal du Dimanche
Amateurs d'humour raffiné, passez votre chemin.
Les Inrockuptibles
Ce grand vide polémique dans lequel le film nous parvient traduit bien l'échec du système Sacha Baron Cohen : sa normalisation. (...) Son nouvel opus se réduit ainsi à une succession de sketches jamais écrits, jamais filmés (...), coincés entre un genre de satire politique hérité des TV shows anglais et une farce monstrueuse à la Farrelly – le génie en moins.
Metro
Si la caricature de Saddam Hussein sent le réchauffé, "The Dictator" pèche surtout par son manque de spontanéité. Finie l'esthétique documentaire, bonjour la comédie mainstream sans surprise.
Cahiers du Cinéma
"The Dictator" marque une nouvelle étape dans le déclin de l'humoriste anglais Sacha Baron Cohen, amorcé par "Brüno" en 2009, qui témoignait déjà d'une tendance au ressassement.
Chronic'art.com
Triste destin que celui de l'amiral Baron Cohen, dont la maigre artillerie comique n'enfonce plus que des portes ouvertes.
L'Obs
Dans "The Dictator", le véritable opprimé, c'est peut être l'art de Cohen. Son cinéma avait quelque chose de tauromachique, avec la réalité documentaire dans le rôle de la corne. Ici, rien de réel. Cette irrégularité vient contaminer l'intrigue même.
Positif
(...) le scénario finit par contenir sur des rails dramaturgiques, fussent-ils assez larges, la folie du personnage. Au bout d'une quinzaine de minutes, malgré l'extraordinaire abattage de Sacha Baron Cohen, le soufflé retombe.