Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Carne
78 abonnés
1 116 critiques
Suivre son activité
5,0
Publiée le 29 septembre 2006
Le meilleur film d'horreur américain de tous les temps. Cette première version qui donnera naissance à deux suites fait preuve d'une maestria remarquable tant au niveau de la réalisation que de la caméra. Un film à voir et à revoir absolument.
Difficile de parler de scénario dans ce film tant il est mauvais. L'histoire est complètement prévisible et caricaturale. Cette production d'une grande médiocrité enfonce encore un peu plus la réputation des films d'épouvante dans leurs accablants clichés. La réalisation et la photographie sont vraiment pitoyables, les effets spéciaux sont lamentables. On se demande toujours à quoi correspondent les litres de liquide blanc qui jaillissent des bras des zombies. Les dialogues sont quasi inexistants et se résumeraient à "AaAaRrGgHh". La musique est vraiment ridicule et inadaptée. Celle du générique résonne tellement mal avec cette histoire grotesque qu'elle nous fait même douter de la crédibilité de cette production. Le second volet de la saga des Evil Dead qui se veut être une parodie du premier nous prouvera que ce film est hélas bien à prendre au sérieux... Evil Dead est une réalisation négligée, une production superflue totalement dépassée, terne et stérile. A éviter ! [mon blog de critiques ciné : http://redross.skyblog.com]
Un grand classique du ‘’Gore’’ à la réputation méritée. On pourra ensuite faire aussi gore mais pas plus. C’est une histoire portant sur le célèbre Necronomicon (livre des morts) dont l’idée revint à l’anglais H P Lovecraft. Question art cinématographique c’est nul, mal interprété, mal filmé (il faut dire qu’avec une caméra dotée d’un mouvement permanent, c’est mission impossible) mais question spectacle particulier, c’est parfait. Il faut le voir an salle avec des gens sensibles non avertis car l’ambiance sera bien différente que tout seul devant une TV, son écran fut-il géant. Sam Raimi avait 20 ans, il a osé et mis tout son imaginaire dans un film à petit budget. En voilà un qui avait la vocation de réalisateur.
Film d’horreur culte par excellence, Evil Dead a marqué au fer rouge l’histoire du cinéma d’horreur et du cinéma en général. Petit film au budget fauché (350 000$), Evil Dead, malgré ses 35 ans, fait toujours son petit effet et même si certains effets spéciaux ont cruellement vieillis, on sent toute l’ingéniosité et l’amour que Sam Raimi et son équipe ont mis dans ce film. L’histoire est certes ultra simpliste mais on s’attache aux personnages, surtout à celui de Ash qui deviendra le héros de la saga, et certains effets gores sont quand bien foutus pour un film à petit budget. Bref, vous l’aurez compris, Evil Dead est une œuvre culte comme ses deux suites. A voir.
Premier long-métrage de Sam Raim et adaptation de son court-métrage Within the woods, Evil Dead est un classique du cinéma gore. Malgré son très petit budget, le film prouve l’inventivité visuelle du futur réalisateur de Spider-man : grand angle, caméra virevoltante, trucages très réussis (dans les limites de son budget et de l’animation image par image)… Le peu de moyen amène de plus un aspect amateur (il y a par moment des problèmes de point) et l’utilisation du 16 mm qui donne une image un peu sale collant parfaitement avec l’ambiance poisseuse de l’ensemble et offre au tout une impression de témoignage pris sur le vif (préfigurant un peu, après Cannibal Holocaust, Le Projet Blair witch et la mode du found footage). Il est cependant surprenant de voir qu’Evil Dead a une réputation de film effrayant. En effet, avec ce film permettant au cinéaste de rendre hommage à différents classiques (l’affiche de La Colline a des yeux de Wes Craven, le plan subjectif où l’esprit regarde par les fenêtres rappelle l’introduction de La Nuit des masques de John Carpenter), Sam Raimi pousse le gore tellement loinspoiler: (viol par la forêt) qu’il amuse plus qu’il ne fait peur. Ainsi, Evil Dead est un film très divertissant et à la mise en scène originale (à noter que l’assistant-monteur n’est autre que Joel Coen) qui possède déjà pleinement le style de Sam Raimi même si le scénario est clairement réduit au minimum.
Doté d'une bonne réalisation, "Evil Dead" n'a pour autant réussi. En effet, le scénario n'est pas assez convainquant et il peine à faire peur ou rire. D'autre part, les acteurs sont pour la plupart médiocres et désintéressent le spectateur. Ainsi, on a vraiment du mal à être captiver ou à saisir le but du film.
Une bande de jeunes s’installe dans un chalet au fin fond des bois le temps des vacances. Ce qui ne devait être qu’un paisible séjour va en réalité virer au cauchemar lorsque les deux garçons de la bande découvrent dans la cave, un vieux magnétophone qui, une fois remis en marche, réveille de vieux démons et autres forces maléfiques.
Film culte pour toute une génération de cinéphiles qui auront poncé leur VHS (chez eux ou dans les vidéo-clubs), pour son premier long-métrage, Sam Raimi (20ans lors du tournage) à laisser libre court à son imagination débordante pour mettre en scène son film d’horreur grand-guignolesque. Le film cumule les erreurs de débutants et on ne lui en voudra pas, loin de là (les faux raccords sont légion, la direction d’acteur aux abonnés absent (les acteurs en arrière-plan sont en total décalage avec ce qu’il se passe au premier plan) et l’éclairage semble avoir été géré sans l’aval d’un chef op’).
Evil Dead (1981) est l’exemple même du film qui s’apprécie au moment de sa sortie mais qui, près de 40ans plus tard, accuse sérieusement le poids des années. Je ne comprends toujours pas son aura auprès des cinéphiles, décennies après décennies. Malgré la sympathie que j’ai pour cette petite entreprise (un budget modeste d’à peine 400 000$), force est de constater qu’en réalité, quand on y réfléchit bien, le film ne cesse de brasser du vent durant ses petites 85 minutes. Des scènes à rallonge où les actions ne cessent de se répéter, tout y est grandiloquent et jusqu'au-boutiste à l’extrême comme si le réalisateur n’avait pas su trouver le juste milieu.
Malgré cela, on appréciera certaines idées disséminées ici et là, comme ces plans en caméra subjective, ce viol orchestré par Dame-Nature ou encore ces zombies en état de décomposition (un effet créé en stop-motion). Mais hélas, tout cela s’avère bien pauvre pour tenir la cadence durant tout le film et nous tenir pleinement en haleine. Mais cela n’a pas empêché le film de rencontrer son public (véritable carton au box-office en rapportant jusqu’à 8 fois sa mise de départ). Devant un tel succès et ses lettres de noblesse au cinéma horrifique, il semblerait que je sois resté hermétique à cette surenchère d’hémoglobine… Une œuvre culte et surcotée assurément.
Gore et plus sèrieux que les deux successeurs, "Evil Dead" mérite amplement son succés et présageait déjà une bonne carrière pour Sam Raimi, son réalisateur. Mené par un Bruce Campbell habité, ce premier volet dispose à la fois d'une bonne ambiance mais aussi du charme du cinéma de genre des années 80 (voir les effets spéciaux). Un incontournable !!!
Classique parmi les films d'épouvante et se caractérisant par un aspect gore assumé, Evil Dead fait cependant parti d'un genre qui a très mal vieilli. Des procédés vieillots à outrance, telle que la caméra qui court au ras du sol à grands renforts de grognements maléfiques, des personnages bâclés psychologiquement, et une interprétation désastreuse empêchent de s’enthousiasmer pour le bébé de Sam Raimi. Mais à l'instar de cadors du genre comme le Braindead de Peter Jackson, le film reste assez fun pour son coté horrifique et sanguinolent, et mérite le détour pour les amateurs du genre.
Evil dead est une comédie horrifique drôle inventive, mais qu est ce qu elle a mal vieillie. Aujourd'hui elle ressemble vraiment à un film amateur bricolé entre pote. L équipe en a pleinement conscience et joue à fond la carte du second degrés. J ai passé un bon moment en le revoyant mais le côté bricolage me gâche vraiment le plaisir.
Je viens de revoir ce film après des années... Et j'ai vu plus de défauts... Une amie revient complètement affolée et dévêtue de la forêt en pleine nuit et personne ne la soutient ?! Idem plus tar dans la maison, la fiancée crie dans la chambre (après plusieurs trucs bizarres) et la fiancé prend une éternité pour aller voir, entre dans la chambre sans paniquer, voit qu'elle a disparu mais ça n'a pas l'air de l'inquiéter en fait ?! Des fautes de raccords également comme lorsqu'après avoir décapité sa fiancée Campbell est inondé (c'est le mot !) de sang sur le visage et la seconde d'après plus une trace ! Le maquillage est une honte, même dans les années 30 on faisait mieux !... Certains diront que c'est fait exprès, c'est plus une parodie qu'un vrai film gore... Le travail sur la musique et le son est excellent et quelques scènes foutent vraiment la frousse excepté evidemment celles qui font rire !). Il y a un mixte entre horreur et satire qui laisse de fait un goût bizarre mais c'est un film qui de toute façon nous fait passer un bon moment que ce soit d'un côté ou de l'autre.
« spoiler: Salopards, pourquoi me torturez-vous ainsi ? Pourquoi ? »
Dès la scène d’ouverture de son premier long métrage, Sam Raimi, alors âgé de 20 ans, démontre tout le génie de sa mise en scène.
Limité par un minuscule budget de 375 000 $, il a inventé avec toute son ingéniosité, son innocence et sa passion.
Le projet a débuté en 1978 avec un court métrage intitulé “Within the Woods”, afin d’en démontrer sa faisabilité pour les investisseurs potentiels.
Le processus de tournage s'est avéré extrêmement éprouvant pour les acteurs et l'équipe, avant qu'un producteur n'aide à projeter le film terminé au Festival de Cannes en 1982.
Stephen King, lui-même, fut fasciné et contribua ainsi, indirectement, à l'acquisition des droits de distribution par New Line Cinema.
Fort d'un succès durable au box-office mondial, le film indépendant le plus récompensé a lancé les carrières de Sam Raimi, Robert G. Tapert et Bruce Campbell.
"The Evil' Dead" est devenu l'un des films cultes les plus importants. Cité parmi les plus grands films d'horreur de tous les temps, et apprécié tant par la critique que par le public. Un phénomène qui a lancé une franchise et instauré une icône culturelle : Ash Williams.
Un grand classique des films d'horreurs ! c'est une production totalement fauchée, les acteurs sont pas terribles, c'est hyper prévisible et ce film a aussi apporté beaucoup de clichés dans le genre. Mais bizarrement c'est ce qui fait son charme. Evil dead est un film culte, qu'il faut voir au moins une fois.
c'est le premier film de sam raimi qu'il à fait avec des potes. vraiment pas mal mais la première fois que vous allez le voir vous direz ( mais ou est le fun ). moi aussi je me suis dis sa. mais quand je l'ai vue la 2eme fois on voir ou est l'humour. c'est de l'humour subtile à la sam raimi. à voir. attention aux âme très sensible
Grand classique du film d’horreur, « Evil Dead » parvient à créer de l’unique avec du banal. Jouant sur la corde de la dérision comme de la surenchère, Sam Raimi m’a montré là qu’on pouvait faire un film au charme inégalable avec pourtant pas grand-chose.