Mené tambour battant, ce petit film à l'européenne se laisse regarder sans complexe. Eckhart, dans un rôle inédit, est plus que crédible en ce père, ancien homme d'élite, qui se trouve embarqué par les mauvaises relations. La magnifique Kurylenko est presque méconnaissable et laisse son côté femme fatale pour être juste une belle de terrain. Certes bourré de clichés et de dénouements convenus, The Expatriate est un bon DTV dans son canapé.
Un spécialiste de la sécurité découvre qu'il travaille pour une société fictive. Le scénario mêle maladroitement un histoire d'espionnage et de de relation père-fille, Aucune des 2 histoires ne retient véritablement notre intérêt. La réalisation et le jeu des acteurs a beau tenir la route, rien n'y fait. Aucune originalité, un thriller inefficace qui s'oublie pendant qu'on le regarde.
Pas vilain ce film qui paraît sans prétention. Le scénario tien agréablement la route et garde le rythme en ne tirant pas sur la longueur, les protagonistes jouent bien leurs rôle, et la réalisation est également très agréable. Une bonne surprise.
Ce film est une bonne surprise. Il se laisse bien regarder. J'ai être surpris par le réalisme des scènes d'actions et de combats. L'acteur est charismatique. L'histoire est un peu classique mais divertissante. A voir sans hésiter.
Ce film d'espionnage mélangeant action et espionnage rappel vaguement Jason Bourne tout en étant assez éloigné. Si vous avez aimer les films avec Matt Damon, vous serez certainement déçu, même si ce film est plutôt bien ficelé. Rien ne m'a vraiment surpris si ce n'est le début, une fois qu'Aaron Eckhart se retrouve piégé, on sait parfaitement ce qu'il va entreprendre. Le film est donc réglé comme du papier à musique et manque cruellement d'originalité. Cependant, on passe tout de même un petit moment agréable.
"The Expatriate" est un thriller d'espionnage au rythme globalement efficace qui rappelle sensiblement des films comme "Sans identité" ou la saga Jason Bourne. En effet, l'histoire repose sur une base intrigante: un expatrié américain découvre que l'entreprise où il travaillait a disparu du jour au lendemain. L'intrigue n'utilise pas des éléments nouveaux (la relation classique père/fille, le milieu de la CIA, l'abondance des courses poursuites) mais fonctionne avec fluidité. Par ailleurs l'action se situe dans les paysages urbains de la Belgique. Le pitch de départ est donc assez séduisant, même si la piste exploitée par la suite reste monotone et conventionnelle.
L'histoire se concentre assez fortement sur les personnages, notamment à travers cette relation entre le père espion et sa fille qui apprennent à se connaître. La présence d'Aaron Eckhart en tête d'affiche participe à la réussite du film. On peut émettre davantage de réserve sur la prestation un peu sérieuse de Liana Liberato.
Pour résumé, il s'agit d'un film d'action divertissant pour les amateurs du genre, tout à fait honnête dans la réalisation. Le seul regret que l'on puisse émettre est un suspense plutôt banal qui ne marquera pas les esprits au delà du visionnage.
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Un ingénieur lambda qui se retrouve sans identité est dans la merde mais heureusement son passé d'agent de la CIA va bien lui être utile... Voilà un speech des plus basiques qui, en plus, va se coupler avec un scénario des moins original possible. Une impression de déjà-vu qui devient presque désagréable tant le réalisateur fait montre d'aucun talent particulier. Quelques invraisemblances (ouvrir une porte blindée avec un trombone entre autres) et un style passe-partout en font un film qui mérite son direct-to-DVD. La gamine est trop forte (zen en qausi tout instant !) mais Aaron Eckart fait de son mieux mais c'est loin d'être suffisant. Ce film est un mixte entre "Sans identité" (2011) et "Ennemi d'état" (1998) mais les qualités en moins. Ca se laisse regarder, et même d'un oeil tant rien ne peut surprendre.
Plus chanceux que nos amis français, nous avons eu droit à une sortie cinéma qui était bien méritée l'action du film se déroulant sur notre plat pays "fait plutôt rare pour un film US que pour le signaler". Si son histoire est somme tout basic, voici un film au casting intéressant Aaron Eckhart (The Dark knight, Battle L.A, Rhum Express, acteur de qualité, trop peu utilisé à mon goût), Olga Kurylenko (Quantum of Solace, Centurion, There be Dragon) et Liana Liberato (vue récemment dans Trust). Avec un budget modeste de +/- 12 millions d"Euros le film s'en sort plutôt bien et ne mérite surtout pas les mauvaises critiques (et surtout les comparaisons) qu'il reçoit du fait qu'il sort quasi partout en Direct to DVD. Je m'avancerai même à dire que : en comparant les budgets, ce petit film est de loin supérieur à certains autres qui bénéficies de campagnes promotionnelles tapageuses et au final sont de grosses déceptions. The Expatriate reste malgré tout un thriller efficace où suspense, action et manipulation se côtoient pour nous offrir un bon divertissement.
Film plutôt sympa, il ne faut pas s'attendre à un chef d'oeuvre et on passe un bon moment, avec des acteurs crédibles et un casting pas mauvais, il mérite d'être vu !
Le film est plutôt sympa, sans plus. Si on ne s'attend pas à un chef d’œuvre à la Greengrass on passe un bon moment. The Expatriate tient d'ailleurs la dragée haute à certains produit hollywoodiens ultra-formatés et filmés à la truelle comme salt ou piégée plats,froids et sans réels intérêt(rendez-nous le Soderbergh de tarffic!)!
Le début est intelligent puis le film commence à dériver et à perdre de son intensité. Il y a aussi des faiblesses dans l'interprétation et les décors sont mal utilisés (Bruxelles et Anvers).
Un ancien agent de la CIA reconvertit en spécialiste de la sécurité bancaire se fait poursuivre lui et sa fille par des méchants garçons qui veulent les flinguer; ouaip pas trop original et les scènes d'action ont été vu un billiard de fois, on a l'impression de voir le remake de Léon (un gars avec une gamine qui tuent les méchants) mais en 10 fois moins bien, ça passe un moment mais c'est pas génial; allez une tisane et au dodo.