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Un visiteur
4,0
Publiée le 21 février 2014
Du deja vu mais pas grave. Le film tient bien en haleine et les FX sont superbes. Jeffrey Dean Morgan méconnu du grand public français, bien dommage car acteur top.
Nul , mou , ennuyeux et mal joué , Possédée n'est pas seulement un mauvais film d'horreur c'est aussi du vu et revue mais aussi du foutage de gueule car on nous sert le film comme étant inspiré d'une histoire vraie ... Ah bon vraiment ? Stars Wars et le Seigneur des anneaux sont des histoire vraies aussi d'ailleurs . Hollywood est pret a tout pour gagner du fric avec leur daube.
Pour terminer l'année cinéma en beauté, rien ne vaut un bon petit film d'horreur. Produit par Sam Raimi et réalisé par Ole Bornedal (Le veilleur de nuit, version originale et US), voilà un film de possession démoniaque bien plaisant. Pourtant cela commence mollement. L’histoire et les personnages sont mis en place de façon traditionnelle et, si on ne s'ennuie pas, on pourrait trouver le temps long par moment. Mais le metteur en scène danois arrive à créer une certaine atmosphère à coup de montage serré et d'effet musical bien choisi et l'ambiance devient alors de plus en plus inquiétante. Le tout montant en puissance... La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-possedee-113955842.html
Encore ! Décidément les films d’horreur à la mode sont ceux abordant l’exorciste. Le prétexte, une boîte ancienne récupérée dans un vide grenier par une petite fille. Non, jamais le père ne va s’inquiéter de savoir ce qu’il y a dedans. C’est bien ma fille, va dormir avec elle. Et puis finalement après quelques effets programmés pour le sursaut plus que pour la cohérence, papa s’inquiète. On pardonne, jusqu’au grand malheur d’une bande de joyeux rabbins désespérés par une boîte vue de loin. Mon Dieu, elle est maléfique! Papa regarde alors les plus horribles vidéos sur Viméo en tapant exorcisme sur Google. On critique Papa, mais même si les acteurs, nous devons l’admettre jouent bien, ils n’ont quand même aucune personnalité. Alors on profite du fond de divorce pour mettre un coup dans l’ambiance « rêve américain ». Bref, Possédée reste un film sans prise de tête mais sans surprise, dont l’argument principal pour attirer les foules est « basé sur une histoire vraie », expression qui ne veut plus rien dire aujourd’hui.
Un film d'horreur aux effets classiques et prévisibles, mais néanmoins efficaces pour sursauter un bon coup. Basé sur de soit-disant faits réels (qui ont dû être méga extrapoler!), "Possédée" raconte une histoire de possession démoniaque qui s'est déroulée auprès d'une fillette d'une dizaine d'années, après avoir dégoté une vieille boite mystérieuse aux inscriptions hébreux dans un vide grenier. Très rapidement, des phénomènes font leur apparition comme des voix incompréhensibles provenant de la boite ou encore des invasions d'insectes... On comprend très vite l'origine du Mal et on devine bien la tournure des évènements. L'originalité se situe dans l'importance religieuse du film, le Démon est ici d'origine juive et correspond à un Dybbuk (démon qu'on a aussi vu dans "The Unborn") ; esprit s'attachant très fermement à une âme pure jusqu'à la posséder entièrement. Une fois la boite ouverte, la malédiction est déclenchée et la possession démarre progressivement. Le temps d'installation est long et déjà vu maintes fois ; une famille en crise qui, dans la tourmente de l’évènement, va se ressouder. La mise en scène possède de bonnes idées, de bonnes scènes effrayantes et surprenantes (la scène de l'institutrice, l'IRM, celle de la cuisine et notamment la fin dans la morgue,...) qui maintiennent le spectateur en haleine jusqu'au bout. Cela dit, la fin est décevante car trop gentille. Le point fort majeur reste la jeune actrice Natasha Callis qui est dominée par le démon Abyzou (nom drôle malgré lui pour la version française) et qui délivre une performance juste et bluffante. Jeffrey Dean Morgan, dans le rôle du père, est aussi convaincant mais Kyra Sedgwick reste sur la sellette pour une présence surjouée. La musique, utilisant beaucoup les percussions et les cordes, installe bien l'atmosphère du genre et nous fait davantage sursauter que la scène elle-même. Un film d'horreur qui aurait pu être bien plus effrayant par moment, mais qui reste potable le temps d'un petit moment de frisson!
"Possédée" est un film plutôt classique dans son genre, qui reprend plus ou moins tous les codes du genre. Cependant on peut noter la performance de la jeune Natasha Calis qui est vraiment excellente dans son rôle, elle l'habite et joue sans excès, et qui ajoute un vrai plus au film. Autre point original et fort du film est l'exorcisme en lui même, selon le rituel judaïque (personnellement c'est la première fois que je vois un film qui utilise ce rituel). A voir pour les amateurs du genre, il se classe quand même dans la moyenne.
Rien de bien innovant mais assez efficace pour nous apporter quelques frissons bien sentis. Alors il est sûr que le côté "histoire vraie" commence à être d'un lourd infini! Gardons à l'esprit que le cinéma est un art d'illusion et d'histoires, ce qui doit suffire. Sur le film lui-même, ce n'est qu'une histoire de possession de plus ais qui a le mérite d'être relativement bien joué, et qui se laisse regarder au fond de la couette pour se faire (un peu) peur.
Dans la série on prend les mêmes et on recommence, Possédée, de Ole Bornedal, tient bien sa place. Ainsi, énième film qui traite de la possession d’une fillette par un démon dont la force n’est plus à démontrer, le métrage ne se démarque en rien de ses précédentes sources d’inspiration. Entre sa scène d’introduction qui certes, s’avère à l’image de la bande-annonce et contient déjà l’un des meilleurs plans du film, et l’alternance piano/violon pour créer un sentiment d’angoisse qui faiblira avec les minutes, le film abandonne les couleurs qu’il vantait pour un fade mélange de cris et d’effets spéciaux décevants. Conviant pour l’occasion une tête d’affiche en la personne de Jeffrey Dean Morgan, comme l’on d’ailleurs au passage fait Insidious avec Patrick Wilson ou Sinister avec Ethan Hawke, c’est par une construction bien maladroite des choses qu’avance le récit, à commencer par le cliché monstre de la famille en recomposition qui s’essaye à tourner les pages, et de la jeune garce enfant qui parle à son amie que nul ne peut voir et qui nuira considérablement à sa santé mentale. Un scénario des plus simplistes qui ne sera aucunement sauvé par son jeu d’acteur, frôlant la basicité. Alors, en dépit des nombreuses critiques qui peuvent lui être faites, que reste-t-il à sauver des lambeaux cinématographiques de l’œuvre ? Le montage, pour commencer, n’est pas mauvais. La fin, bien que prévisible et trop longue, instaure une tension efficace, et le choix de confronter le démon à d’autres personnes que son messager est pour une fois le bienvenue. En fouillant bien, on retrouvera ici et là quelques similitudes d’avec Jusqu’en Enfer, en retirant la réussite de ce dernier, pour ne finalement obtenir qu’un film d’horreur morose et sans véritable intérêt.
Possédée est un bon petit film d'horreur sur le thème déjà bien usé de la possession démoniaque. Certes, je n'est pas été grandement effrayé devant ce film, mais il possède tout de même quelques très bons passages, quoique parfois un peu prévisible. Rien de bien novateur sur ce film mais l'histoire est bien faite et l'ensemble reste efficace. Le casting est quant à lui un gros point fort du film. Jeffrey Dean Morgan est très à l'aise dans le rôle de père prêt à tout pour sa fille. Il est aussi à l'aise pour jouer dans le genre fantastique (déjà le cas pour la série supernatural). J'ai trouvé aussi les deux filles très bien, surtout la cadette qui est assez effrayante. La scène de possession n'est pas sans rappeler celle du film référence l'exorciste. Au final, ce possédée offre une sorte de "l'exorciste" version juif. Un bon petit film.
Pas mal dans l'ensemble mais ce film reste quand même une déception. Un peu trop facile à mon goût et les scènes stressantes sont trop rares. Cependant il y a de bonnes idées et pour les amateurs d'exorcisme et de possession, ce film éveil un certain intérêt pour l'histoire d'origine.
Ce traitement moderne de la sempiternelle histoire de la jeune fille possédée par un démon, vendu comme étant tiré d’une histoire vraie, n’apporte finalement rien de nouveau à sa thématique. Sur la demande de Sam Raimi, Ole Bornedal revient aux Etats-Unis 14 ans après son auto-remake foireux du "Veilleur de nuit", pour nous offrir un film d’exorcisme à la narration des plus académiques. Si la première moitié s’appuie sur une mise en scène très légère, donnant un certain réalisme au récit, le réalisateur va ensuite perdre pied, accumulant les invraisemblances et se montrer incapable de surprendre son public (et donc de faire peur!), jusqu’à la scène d’exorcisme dont l’ampleur grand-guignolesque timide s’avère risible. Outre le plaisir de retrouver Jeffrey Dean Morgan ans son rôle inoubliable dans "Watchmen", le seul élément originale ce film de genre fadasse restera peut-être son image de fin inattendue.