Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film au ton juste et sensible qui croise deux formes d’exclusion : l’immigration clandestine et l’homosexualité.
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
Davantage qu'un film sur l'immigration, “Fronteras” est une histoire d'amour à al fois intense et bienveillante. Et qui fait la part belle à l'interprétation solaire de ses deux acteurs principaux.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Dans ce tour de force, le réalisateur n’a pas raté l’essentiel, caster deux acteurs non-professionnels à la fraîcheur libérée qui éclatent les clichés pour soutenir cette impression succulente de ciné-réalité. Mikel Rueda est une révélation.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Clément Graminiès
Alors que la menace de l’anecdotique pesait lourdement sur lui, "Fronteras" s’en tire à bon compte en s’attardant sur les détails et les nuances, trouvant sa modeste cohérence dans cette sentimentalité pleinement assumée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce drame espagnol réaliste et engagé brasse les thèmes de la quête identitaire, du racisme et de la crise migratoire, son réalisateur tissant un lien entre l’homosexualité cachée du premier des protagonistes et la clandestinité du second. Certes le parallèle laisse perplexe; certes la musique s’avère trop envahissante. Mais ce film porté par des acteurs convaincants a le bon goût de ne céder ni à l’impudeur ni au pathos.
Le Parisien
par Thierry Dague
Ce film gentillet et sans surprise, qui dépeint en parallèle la découverte de l'homosexualité à l'adolescence et la situation difficile des immigrés clandestins, vaut surtout pour la vérité qui se dégage de ses jeunes acteurs, German Alcarazu et Adil Koukouh, de complets débutants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Habile dans sa manière de faire cohabiter les thèmes de l'immigration et de la découverte de l'homosexualité, cette chronique n'évite toutefois pas les lieux communs.
Télérama
par Nicolas Didier
Convaincant en dépit de quelques faiblesses formelles (la mise en scène est brouillonne, par moments), le cinéaste envisage la solidarité comme un pur acte d'amour. Ce qui, dans le contexte actuel de défiance vis-à-vis des migrants, met un peu de baume au coeur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Christophe Carrière
Le dénouement est assez poignant, mais il se mérite. Avant d'y arriver, il faut regarder plus d'une heure de cinéma alambiqué.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Seules ses bonnes intentions surnagent.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Le problème, c’est que jamais le film ne s’écarte de ce schéma pesamment démonstratif et lourdement naïf. Tous les personnages sont ici archétypaux, à commencer par les deux jeunes héros, qui déroulent leur rôle à la manière d’une dissertation, niveau certificat d’études, sur le thème de l’identité à l’orée de l’âge adulte.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
Un film au ton juste et sensible qui croise deux formes d’exclusion : l’immigration clandestine et l’homosexualité.
Les Fiches du Cinéma
Davantage qu'un film sur l'immigration, “Fronteras” est une histoire d'amour à al fois intense et bienveillante. Et qui fait la part belle à l'interprétation solaire de ses deux acteurs principaux.
aVoir-aLire.com
Dans ce tour de force, le réalisateur n’a pas raté l’essentiel, caster deux acteurs non-professionnels à la fraîcheur libérée qui éclatent les clichés pour soutenir cette impression succulente de ciné-réalité. Mikel Rueda est une révélation.
Critikat.com
Alors que la menace de l’anecdotique pesait lourdement sur lui, "Fronteras" s’en tire à bon compte en s’attardant sur les détails et les nuances, trouvant sa modeste cohérence dans cette sentimentalité pleinement assumée.
Le Journal du Dimanche
Ce drame espagnol réaliste et engagé brasse les thèmes de la quête identitaire, du racisme et de la crise migratoire, son réalisateur tissant un lien entre l’homosexualité cachée du premier des protagonistes et la clandestinité du second. Certes le parallèle laisse perplexe; certes la musique s’avère trop envahissante. Mais ce film porté par des acteurs convaincants a le bon goût de ne céder ni à l’impudeur ni au pathos.
Le Parisien
Ce film gentillet et sans surprise, qui dépeint en parallèle la découverte de l'homosexualité à l'adolescence et la situation difficile des immigrés clandestins, vaut surtout pour la vérité qui se dégage de ses jeunes acteurs, German Alcarazu et Adil Koukouh, de complets débutants.
Studio Ciné Live
Habile dans sa manière de faire cohabiter les thèmes de l'immigration et de la découverte de l'homosexualité, cette chronique n'évite toutefois pas les lieux communs.
Télérama
Convaincant en dépit de quelques faiblesses formelles (la mise en scène est brouillonne, par moments), le cinéaste envisage la solidarité comme un pur acte d'amour. Ce qui, dans le contexte actuel de défiance vis-à-vis des migrants, met un peu de baume au coeur.
L'Express
Le dénouement est assez poignant, mais il se mérite. Avant d'y arriver, il faut regarder plus d'une heure de cinéma alambiqué.
Le Monde
Seules ses bonnes intentions surnagent.
L'Obs
Le problème, c’est que jamais le film ne s’écarte de ce schéma pesamment démonstratif et lourdement naïf. Tous les personnages sont ici archétypaux, à commencer par les deux jeunes héros, qui déroulent leur rôle à la manière d’une dissertation, niveau certificat d’études, sur le thème de l’identité à l’orée de l’âge adulte.