Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Première
par Isabelle Danel
Cette première fiction en dit plus long qu'un documentaire. Sans complaisance, Mateo Guez filme la laideur et en extrait la beauté.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Des choix formels audacieux mais probants qui, par effet de contraste, intensifient et humanisent ce portrait politique de la misère la plus absolue du monde.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce premier long métrage foisonnant désoriente souvent, séduit parfois, mais révèle certainement un auteur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Vincent Ostria
Malgré quelques effets un peu ostentatoires relevant du clip vidéo (...), le film demeure une belle proposition à la frange du documentaire, et décrit sans complaisance une misère palpable.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Scénario minimal pour une oeuvre tournée en neuf jours à Manille par un cinéaste français. Celui-ci tente de lui adjoindre une plus-value esthétique en employant divers artifices (...). [Mais] le film conserve une saveur documentaire. (...) De plus, ses personnages ont de la grâce.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Guillaume Tion
Avare de dialogue et porté par une bande-son signifiante, le voyage initiatique s'immobilise assez vite, comme annihilé par l'originalité d'une idée bien sentie : celui qui va mal, c'est Lucky, le personnage à qui tout sourit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Clément Sautet
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Pierre Murat
Réalisme et onirisme se mêlent. La musique (...) ajoute à l'hypnose ambiante qui, par moments, vire malheureusement à la préciosité pure. Mais on aime la façon dont le cinéaste saisit la langueur et le trouble.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Aureliano Tonet
Les afféteries stylistiques - plans savamment composés, ralentis, musique omniprésente... - donnent la désagréable impression d'assister à un long clip publicitaire, aux confins de la propagande humanitaire et de l'autopromotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Caroline Derache
Une quête identitaire dans les bidonvilles de Manille, traitée de manière superficielle et décousue, qui aboutit à une fin trop conventionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Cette production canadienne tournée aux Philippines par un réalisateur français, nous tenons l'emblème du devenir-sketch d'un certain world cinéma pétri de tics et de bonne conscience.
Critikat.com
par Benoît Smith
Rien de plus repoussant que d'instrumentaliser le monde sous son aspect le plus dégradé, de le prendre en otage, en caution, en accessoire pour contrefaire une joliesse déconnectée de ce réel, seulement vouée à satisfaire un ego d'auteur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
Cette première fiction en dit plus long qu'un documentaire. Sans complaisance, Mateo Guez filme la laideur et en extrait la beauté.
TéléCinéObs
Des choix formels audacieux mais probants qui, par effet de contraste, intensifient et humanisent ce portrait politique de la misère la plus absolue du monde.
20 Minutes
Ce premier long métrage foisonnant désoriente souvent, séduit parfois, mais révèle certainement un auteur.
L'Humanité
Malgré quelques effets un peu ostentatoires relevant du clip vidéo (...), le film demeure une belle proposition à la frange du documentaire, et décrit sans complaisance une misère palpable.
Les Inrockuptibles
Scénario minimal pour une oeuvre tournée en neuf jours à Manille par un cinéaste français. Celui-ci tente de lui adjoindre une plus-value esthétique en employant divers artifices (...). [Mais] le film conserve une saveur documentaire. (...) De plus, ses personnages ont de la grâce.
Libération
Avare de dialogue et porté par une bande-son signifiante, le voyage initiatique s'immobilise assez vite, comme annihilé par l'originalité d'une idée bien sentie : celui qui va mal, c'est Lucky, le personnage à qui tout sourit.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Réalisme et onirisme se mêlent. La musique (...) ajoute à l'hypnose ambiante qui, par moments, vire malheureusement à la préciosité pure. Mais on aime la façon dont le cinéaste saisit la langueur et le trouble.
Le Monde
Les afféteries stylistiques - plans savamment composés, ralentis, musique omniprésente... - donnent la désagréable impression d'assister à un long clip publicitaire, aux confins de la propagande humanitaire et de l'autopromotion.
Les Fiches du Cinéma
Une quête identitaire dans les bidonvilles de Manille, traitée de manière superficielle et décousue, qui aboutit à une fin trop conventionnelle.
Cahiers du Cinéma
Cette production canadienne tournée aux Philippines par un réalisateur français, nous tenons l'emblème du devenir-sketch d'un certain world cinéma pétri de tics et de bonne conscience.
Critikat.com
Rien de plus repoussant que d'instrumentaliser le monde sous son aspect le plus dégradé, de le prendre en otage, en caution, en accessoire pour contrefaire une joliesse déconnectée de ce réel, seulement vouée à satisfaire un ego d'auteur.