Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Critikat.com
par Benoît Smith
Une approche de l'espace rural jamais empesée par une nécessité de se rengorger d'images typiques de la "France profonde", mais portée par une recherche de motifs de cinéma, par la croyance que ces gestes et ces décors réels sont aussi porteurs d'histoires à raconter.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Benjamin Untereiner
Un premier film porté par une impressionnante force de conviction, une interprétation plus que solide et surtout une confiance absolues dans les capacités picturales et narratives de l'image cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Danièle Heymann
C'est un premier film, beau comme un requiem.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Excessif
par Nicolas Schiavi
"L'Hiver dernier" manque singulièrement d'une personnalité hypnotique. On retiendra surtout le visage de Vincent Rottiers, qui semble porté à lui seul tout le destin des traditions liées au métier de la terre. Oeil noir et visage gravé par le froid, l'acteur, au rôle quasi-muet, porte le film avec sa seule présence.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Christophe Carrière
John Shank célèbre l'espace à force de magnifiques plans mélancoliques. Un choix radical inspiré de ses maîtres, John Ford et Terrence Malick. "L'Hiver dernier" n'a pas la puissance des "Raisins de la colère" ou de "La Balade sauvage", mais se situe largement au-dessus de la moyenne de ce qu'on voit par ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) le film est avant tout une expérimentation à partir d'un genre classique américain, décomposé et synthétisé avec un indéniable talent. (...) Bresson, Malick, Tarr : de beaux parrains pour un cinéaste prometteur. On est très curieux de voir la suite.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Louise Auvitu
Pour son premier long métrage, John Shank réalise un film poétique pour décrire un monde agricole en perdition. (...) Dommage que le scénario manque de rebondissement et parfois de clarté.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Peinture sombrement lyrique de la fin du monde, ce premier film témoigne d'un beau sens de l'espace et de la nature.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Isabelle Regnier
Filmer la paysannerie française d'aujourd'hui dans le style d'un western classique, ou d'un film de mafia américain. Le défi était de taille et John Shank (...) l'a relevé sur le plan forme. Le film s'en trouve propulsé dans une dimension quasi mythique, que renforce la présence d'acteurs comme Aurore Clément ou Michel Subor.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
Ce monde de mecs faits rocs est tempéré par un impeccable casting féminin (...). Mais il faut Bresson garder : on reste dans une pudeur renfrognée, élégante, où le héros préfère se dissoudre littéralement dans la nature que de surprendre un peu le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Olivier De Bruyn
Dans des décors de western, (...) le cinéaste signe une fiction âpre, envoûtante, où, sans jamais s'abîmer dans la psychologie et le didactisme, il donne à voir une communauté aux prises avec des enjeux vitaux.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Antoine Prioul
Et le film de John Shank d'enregistrer l'asphyxie du monde paysan (...) cela se traduit par une mise en scène élégante mais un poil trop figée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Cette manière bancale d'aller vers la fiction évite du moins les cahots : tout est joué comme en sourdine, rien ne dérange l'atmosphère contemplative du film, visiblement addictive pour John Shank. Un drôle de cinéaste est né.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par La Rédaction
D'évidence envoûté par la beauté ingrate des paysages et le visage de son jeune acteur, le cinéaste fait un peu trop confiance dans la force de fascination de son humeur sombre et contemplative.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Le film se complet bizarrement dans un statisme poseur, un peu lourd – une tendance à faire de la peinture au cinéma, à refouler le principe même de l'action.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
Une approche de l'espace rural jamais empesée par une nécessité de se rengorger d'images typiques de la "France profonde", mais portée par une recherche de motifs de cinéma, par la croyance que ces gestes et ces décors réels sont aussi porteurs d'histoires à raconter.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film porté par une impressionnante force de conviction, une interprétation plus que solide et surtout une confiance absolues dans les capacités picturales et narratives de l'image cinématographique.
Marianne
C'est un premier film, beau comme un requiem.
Excessif
"L'Hiver dernier" manque singulièrement d'une personnalité hypnotique. On retiendra surtout le visage de Vincent Rottiers, qui semble porté à lui seul tout le destin des traditions liées au métier de la terre. Oeil noir et visage gravé par le froid, l'acteur, au rôle quasi-muet, porte le film avec sa seule présence.
L'Express
John Shank célèbre l'espace à force de magnifiques plans mélancoliques. Un choix radical inspiré de ses maîtres, John Ford et Terrence Malick. "L'Hiver dernier" n'a pas la puissance des "Raisins de la colère" ou de "La Balade sauvage", mais se situe largement au-dessus de la moyenne de ce qu'on voit par ailleurs.
L'Humanité
(...) le film est avant tout une expérimentation à partir d'un genre classique américain, décomposé et synthétisé avec un indéniable talent. (...) Bresson, Malick, Tarr : de beaux parrains pour un cinéaste prometteur. On est très curieux de voir la suite.
La Croix
Pour son premier long métrage, John Shank réalise un film poétique pour décrire un monde agricole en perdition. (...) Dommage que le scénario manque de rebondissement et parfois de clarté.
Le Figaroscope
Peinture sombrement lyrique de la fin du monde, ce premier film témoigne d'un beau sens de l'espace et de la nature.
Le Monde
Filmer la paysannerie française d'aujourd'hui dans le style d'un western classique, ou d'un film de mafia américain. Le défi était de taille et John Shank (...) l'a relevé sur le plan forme. Le film s'en trouve propulsé dans une dimension quasi mythique, que renforce la présence d'acteurs comme Aurore Clément ou Michel Subor.
Les Inrockuptibles
Ce monde de mecs faits rocs est tempéré par un impeccable casting féminin (...). Mais il faut Bresson garder : on reste dans une pudeur renfrognée, élégante, où le héros préfère se dissoudre littéralement dans la nature que de surprendre un peu le spectateur.
Positif
Dans des décors de western, (...) le cinéaste signe une fiction âpre, envoûtante, où, sans jamais s'abîmer dans la psychologie et le didactisme, il donne à voir une communauté aux prises avec des enjeux vitaux.
Première
Et le film de John Shank d'enregistrer l'asphyxie du monde paysan (...) cela se traduit par une mise en scène élégante mais un poil trop figée.
Télérama
Cette manière bancale d'aller vers la fiction évite du moins les cahots : tout est joué comme en sourdine, rien ne dérange l'atmosphère contemplative du film, visiblement addictive pour John Shank. Un drôle de cinéaste est né.
Libération
D'évidence envoûté par la beauté ingrate des paysages et le visage de son jeune acteur, le cinéaste fait un peu trop confiance dans la force de fascination de son humeur sombre et contemplative.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Le film se complet bizarrement dans un statisme poseur, un peu lourd – une tendance à faire de la peinture au cinéma, à refouler le principe même de l'action.