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Un visiteur
4,0
Publiée le 28 avril 2014
Des les premières minutes on reste scotché au charisme et la prestation saisissante de Michael y es sobre juste et seconds rôles gravitants autour y sont récit est parfaitement mené d'un bout à l'é de l'histoire du véritable tueur à gage kuklinski , un film coup de poing.
Pour ma part, et je pense être objectif, je trouve Michael Shannon monstrueux dans le rôle du Iceman. D'ailleurs, les acteurs ont était dirigés merveilleusement bien ! Il est vrai qu'il manque un peu de pêche tout au long du film, mais l'histoire est respecté et la réalisation au top. Chapeau !
Sans aucun intérêt. Un sous-polar scorcesien qui n’est même pas sauvé par la présence (pourtant impressionnante) de Michael Shannon. Il faut dire qu’Ariel Vroman est un tâcheron, incapable d’insuffler la moindre tension à sa mise en scène et qui se contente de recréer aussi poussivement que vainement le décorum du polar seventies. Quant au scénario, il passe systématiquement à côté de son sujet (le rapport au mal, la schizophrénie, la vie comme un mensonge organisé) pour dérouler son programme insipide de tueries. Même le plaisir de retrouver Winona Ryder est gâché par un rôle secondaire aussi caricatural que l’ensemble du film.
Il est clair que cette histoire vraie peut faire froid dans le dos. Passée l'envie de satisfaire notre curiosité, le tout se laisse regarder sans jamais nous éblouir vraiment. Une froideur réussie, pour un polar correct, sans plus.
The Iceman est le dernier film de gangster en date. Réalisé par Ariel Vromen, pour ma part inconnu au bataillon, c'est une nouvelle occasion de voir ce que valent maintenant les films de gangster à l'ancienne. Autant dire de suite que The Iceman ne présente pas les ambitions de ses aînés et précurseurs du genre. Je pense notamment au Parrain de Ford Coppola, aux Affranchis de Scorsese ou encore aux Incorruptibles de De Palma. Le film est davantage une petite production indépendante au budget moindre. Pour le réalisateur, de quoi s'inspirer de terrains déjà connus pour faire son film. Et cela se montre parfois réjouissant. Dès les premières minutes, nous voilà plongés dans un univers digne d'un film de Scorsese. Les couleurs à l'ancienne dominent. Un sorte de filtre blanc cassé renforce l'aspect des films classiques du genre. Nous sommes face à une très belle reconstitution de l'ambiance années 70. Tout y parait logique. Certains trouveront cela un peu toc mais là est la difficulté de reconstituer de manière réaliste une époque passée. Pour ma part, l'aspect visuel du film est fort efficace pour nous maintenir en haleine. Le casting est de qualité. Michael Shannon se montre bon et inspiré dans son personnage. Il est glacial et imperturbable. La présence d'autres acteurs de caractère est réjouissant. Winona Ryder, Ray Liotta ou encore James Franco sont tout à fait à la hauteur de leur rôle. On pourra maintenant reprocher le manque de profondeur du film. Car, inspiré d'une histoire vraie et en partie un biopic, il y a véritablement matière à rendre quelque chose de long et brillant. Ce qui ressort du film est sa linéarité et son vœux de décrire une folie sans véritable émotion. Toutes les qualités d'un film sombre et psychologique sont présentes mais Ariel Vromen se contente malheureusement de ne rester que sur du simple et efficace. L'aspect ordinaire prend le dessus et masque (pas entièrement heureusement) la patte d'un réalisateur de qualité. Le film reste tout de même fort plaisant et distrayant et il faut retenir que le résultat est largement à la hauteur de ses moyens.
J'ai plutôt été agréablement surpris par ce thriller, sorti un peu anonymement malgré une distribution alléchante. On y suit Richard Kuklinski qui mène une double vie, à la fois père de famille exemplaire et tueur à gages de la mafia Américaine. L'atmosphère froide convient bien au sujet, même si on peut regretter que certains moments dramatique soient un peu trop froid et que certaines émotions ne ressortent pas. Le film est plutôt captivant et se regarde sans ennuie, Michael Shannon est excellent dans le rôle titre, et les seconds rôles sont bon. Un bon thriller, qui ne révolutionnera pas le genre mais captivant et plutôt bien fait.
Un film très prenant et plein de repenties. Les acteurs sont excellents et le dénouement se déroule dans la bonne chronologie de la véritable histoire. On ressent même un peu de pitié pour ce tueur, ce qu'il a vécu pendant son enfance, ce qui l'a poussé à devenir comme il est devenu. Très bon film en bref, un peu long sur la fin, mais à voir.
Un excellent polar noir comme les américains savent les réaliser. L'ambiance des années soixante et soixante-dix est parfaitement restituée et la mise en scène est d'une redoutable précision , parfois aussi froide que The Iceman, remarquablement interprété. On ne décroche jamais.
L’homme de glace, un assassin tapi sous la peau d’un bon père mari aimant travailleur acharné. Un croisement de Dexter et du Ice-truck killer, mais lui a vraiment vécu. Et tué. On estime à cinq cents les victimes de Richard Kuklinski. Le jour il se disait doubleur pour Disney, sortait en famille et recevait des amis ; la nuit il fauchait pour le compte d’un cartel dont il gravira un à un les échelons. L’histoire intrigue, la présence annoncée de Michael Shannon rassure. On ne verra pourtant rien d’autre. Mal dirigés, les acteurs se débattent mollement sous l’éclairage terne d’une caméra sans génie. Pour une biographie, les personnages sonnent étonnamment faux ; le récit est plat, le rythme fait l’école buissonnière. Haché, moche, banal, The iceman prouve s’il en était besoin qu’un bon pitch ne fait pas un bon scénario. Qu’une bonne tête d’affiche ne fait pas un bon casting. Et qu’un bon pitch doublé d’une bonne tête d’affiche ne fait pas un bon film.
Difficile de noter ce film qui se résume a une succession de scènes qui se passent à plusieurs années d'intervalle et où il faut réussir à trouver le liant. Difficile de connaître les motivations du tueur, qui hormis sa famille n'est interessé par rien. Difficile de comprendre les relations avec les personnages tellement les scènes ont l'air baclé pour faire avancer le film. Difficile de comprendre comment James franco arrive 3ème en tête du casting alors qu'on le voit 3 secondes dans le film. La fin arrive alors qu'on se demande comment ce type peut être condamné pour avoir acheté du poison pour un meurtre, même pas pris en flag, procés vite expédié comme l'histoire. Difficile de comprendre comment ce type peut s'appeller "Iceman" alors que c'est son pote tueur qui congelait ses victimes à la base. Désolé mais difficile de trouver que le spectacle fût bon...
Hallelujah !!!!! Avec "The Iceman" Ariel Vromen arrive à nous faire oublier son précédent film: le catastrophique "Danika". En plus d'être captivant, ce thriller confirme une nouvelle fois, après "Take Shelter", l'immense talent de comédien de Michael Shannon qui nous livre ici une prestation haut de gamme. L'acteur porte d'ailleurs, à lui seul, une bonne partie du film, palliant presque une réalisation trop académique.
Ce film n'etait pas exceptionnel et parfois des scenes etaient ratées avec en prime une fin trop vite expédiée; mais n a grandement reussi sa prestation de mechant froid et impassible et restant un pere passionné et devoué. Apres Man of Steel, ou il fut plus que convaincant, il demontre qu'il tient admirablement les roles de mechant. Je l'ai regardé pour le voir, je n'ai pas été decu. La realisation est vraiment faible mais l'acteur a lui tout seul porte tout le film sur ses epaules. Dommage mais superbe. Prestation a voir donc...