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Un visiteur
4,0
Publiée le 30 novembre 2011
Je vais commencer par dire tout mon mécontentement quand je vois que "Hideaways" n'est quasiment plus programmé dans les salles dés la deuxième semaine (3 petites salles à Paris). La même chose que pour "Nuit Blanche" qui n'est vraiment pas restés longtemps à l'affiche, la faute à tous ces films qui reste et qui reste alors qu'on aimerait passer à autre chose (à part pour l'exception "Drive" qu'on peut voir chaque semaine toujours avec le même plaisir. Heureusement que le Gaumont Parnasse a eu la bonne idée de nous proposer ce Hideaways en première semaine donc et heureusement que j'ai eu la bonne idée d'aller le voir au tout dernier moment, soit le mardi 29/11 soir...j'avais un pré-sentiment qui s'est vérifié. La bande annonce et ses belles images m'avaient convaincus et je ne pouvais pas le louper : le film était vraiment à la hauteur de mes espérances et j'ai tout simplement adoré au contraire des mauvaises critiques que je lis de ci de là. Ça doit être mon côté fleur bleu qui ressort de temps en temps car je reconnais qu'il m'en faut peu mais ce film, raconté à la manière d'un conte fantastique est composé de plein d'ingrédients auxquels on peut difficilement rester insensible. Le conte avec sa dose de magie, d’imaginaire, ses malédictions, son cadre champêtre, sa morale et bien sûr sa joli histoire d'amour avec le prince et la princesse. Sauf qu'ici le prince est un jeune garçon doté malgré lui d'un pouvoir maléfique et mortel depuis sa naissance et la princesse, une jeune fille atteint d'un cancer générationnel qui n'a plus que quelques temps à vivre. Deux post-ados sans espoirs dont la rencontre accidentelle va leur redonner gout à la vie et par la même occasion générée des choses incroyables. Au cœur d'une campagne et d'une forêt irlandaise, la mise en scène d'Agnès Merlet est parfaite et très soigné : elle nous propose une rencontre et une relation touchante, innocente, avec son lot de maladresse, de timidité et d'hésitation. Ca fonctionne et on se laisse prendre facilement d'autant que les deux acteurs principaux sont excellents à commencer par la jeune Rachel Hurd-Wood qui est épatante. Au delà ce cette passion fusionnelle, la réalisatrice pimente cette love-story d'une histoire de vengeance qui apporte un côté dramatique intéressant et qui a surtout toute son importance dans le climax final. Vu le nombre de salles qui diffuse encore le film je ne dirais pas A VOIR mais plutôt ceux qui n'ont pas pu le voir on manqué un très beau film plein d'espoir.
Heuuu...? Pourquoi? C'est creux, vide, plat... Les 3/4 des personnes (à la séance à laquelle j'étais) sont partis avant le milieu du film. J'ai pris mon mal en patience en espérant une belle fin, et là..., grosse poilade!!! Ce film est sans intérêt du début à la fin.
Au départ, je n'étais pas allée au ciné pour voir ce film en particulier c'est plus par défaut..mais je ne regrette pas qu'il n'y ait plus eu de places pour celui que je devais voir car ce film est vraiment très bon! Je le recommande vivement, les acteurs ne sont pas très connus pour la majorité mais ils sont très bons. Le film est émouvant et vraiment nous ne pouvons que nous attacher au personnage principal. J'ai tout simplement ADORé!
Je suis allé voir ce film sans savoir ce quoi ça pouvait bien parler, juste que ça durait 1h35 (avant de suivre quelqu'un au cinéma, je regarde au moins la durée, pour savoir combien mon calvaire peut éventuellement durer). Mais bon après tout ça peut être une bonne surprise ? tu parles. Ce film est une sorte de conte, une malédiction qui se passe de génération en génération, de père en fils, dans le genre on conseillera plus la chute de la maison Usher de Epstein (enfin bon). Seulement voilà, c'est filmé caméra à l'épaule, c'est mal cadré, c'est juste abominable. Attends, on peut utiliser la caméra à l'épaule, mais si on veut raconter un conte, c'est pas ce que l'on va privilégier. Il faut être cohérent quelque part. Alors autre question pourquoi filmer le nez de l'acteur principal ? je veux dire je savais qu'on faisait des inserts d'yeux, de bouches, de mains etc, mais de nez ? attends c'est pas très beau un nez. D'ailleurs en parlant de nez, on apprend que ceux qui ont un gros nez n'auront pas de cancer, ce qui augure que du bon pour Belmondo et moi. Bon passons. Le mec a donc une malédiction qui tue tout ce qui est autour de lui dès qu'il souffre. Ok, pourquoi pas après tout ? Ouais mais non. Parce que tout est cousu de fil blanc, c'est catastrophique. Dès le début on se doute de comment cet étron va finir. On retrouve un pitch similaire à Restless, sauf que restless est bien mieux, un jeune garçon un peu étrange qui rencontre une cancéreuse en phase terminale (qui a l'air tout à fait saine, alors qu'il lui reste un mois à vivre, looogggiiquuue, je ne fréquente pas beaucoup de cancéreux, j'espère que ça va rester ainsi, mais bon ça ne me semble pas crédible). Alors forcément lorsqu'ils sont ensemble tout est parfait et blablabla, niaiserie, à grand niveau. Et puis c'est d'un ridicule, cette fin, mais j'ai ris, c'est un excellent nanar. On voit le visage du héros flotter dans le ciel. Oh mais mon dieu, c'est juste nul. Aux frémissements dans la salle je pense que je ne suis pas le seul que cette scène a choqué. C'est juste de la merde. Je ne vois pas à qui se destine ce genre de film. ça veut se la jouer film d'auteur sensible, alors que c'est vraiment nul à chier et sans subtilité, musique triste à gogo, aucun univers, aucune personnalité, tout est d'une banalité et d'une laideur. Mais bon on a quand même une belle morale qui dit : baisez avec les hommes des bois ! Je dirai ça au petit chaperon rouge. Bref un navet impardonnable.
un bon film avec des haut et des bas. Le sc�nario est assez bien trouver mais le "tout public" est un peu l�ger a mon go�t car le sang et voir des personnes mourir de cette fa�on n'est pas une bonne image pour les enfants. Sinon en g�n�ral le film est bien.
Ce n'est pas le film du siècle mais il a pour qualité de ramener au pays de l'imaginaire, duquel nous sommes trop souvent tirés! Une histoire en forme de conte, quoi...
Si vous voulez savoir à quoi tient un ratage complet ? Vous trouverez la réponse dans " Hideways " ! Comment peut-on faire des films d'un vide abyssal comme celui-ci? Et pourtant il partait sur un principe intéressant qui était de mélanger le lyrisme, la chronique dramatique et le romantisme. Un dérivé de Twilight sans les vampires ni le gothisme mâché et les effets ostentatoires. Dans " Hideways ", c'est cependant le même degré de la réflexion, c'est à dire : Zéro ! On aurait souhaité être plus troublé et voir un film inventif ( chose qu'il laissait paraitre à la lecture du synopsis ) mais lorsque l'on met en scène des personnages qui n'ont pas de profondeur, l'ennui est là évidemment. Pas une seconde le spectateur est en adéquation avec les émotions des personnages et les acteurs ne facilitent pas la chose non plus. Ils n'ont aucun charisme, aucune grâce et sont toujours dans le sur-jeu notamment Thomas Brodie-Sangster qui est un jeune acteur plutôt bon habituellement. Le scénario est mal écrit, ennuyeux, paresseux et la photographie est hideuse. Nous luttons sans cesse pendant le film afin de ne pas s'endormir et survivre à cette torture cinématographique qu'Agnès Merlet nous inflige. Son précédent film " Dorothy " était moins pire mais tout aussi mauvais ! A quand un film réussi dans sa filmographie ?
Malgré quelques faux raccords (ce qui lui donne un petit côté artisanal), Hideaways est un conte métaphorique simple mais très visuel et baigné d'amour. L'interprétation est à la hauteur des ambitions du film.
Pas mal , ce film aurait pu etre plus intriguant et plus stressant sur la thématique de la mort mais tout en étant cousu de fil blanc il se laisse regarder dans une poésie tranquille .
Un film très poétique en effet, qui s avère finalement assez léger et vraiment inspirant. Le theme de la nature fusionnelle rappel cependant Legend de Ridley Scott. Du coté technique on pourra regretter l image granuleuse et hyper saturée, le maquillage effaçant l expression et le naturel des visages ainsi que le doublage son peu convainquant. La bande originale est quand a elle tout simplement magnifique, m immobilisant dans mon fauteuil jusqu'à la fin du générique. A voir mais n hésitez pas a privilégier la VO et peut être la diapo au numérique, si il en reste.
Trois ans après Dorothy, Agnès Merlet nous revient avec un nouveau film fantastique. Sur le papier très alléchant, Hideaways finit malheureusement par être décevant. Le tout est fait assez platement. C’est dommage car cela commence bien. L’histoire de la famille maudite est racontée avec plein d’humour tout en étant assez flippant. Mais dès qu’on rentre de plein pied dans la vie du dernier rejeton, cela se gâte et tout rentre dans l’ordre. On assiste alors à une banale histoire d’amour entre deux adolescents... La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/