Under the Skin
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677 critiques spectateurs

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scarface666
scarface666

195 abonnés 155 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 13 juillet 2014
Waw ! Film à ne pas mettre en toute les mains ! Scarlett Johansson y incarne une alien dans un corps humain qui ère la nuit en conduisant un van blanc, dans le but d'y séduire des hommes et ... de les faire disparaitre ! Expérimental, sensoriel, musique hypnotisante, lent et un peu terrifiant. Pour cinéphile avertit et tolérant, Under The Skin est à voir.
nikolazh
nikolazh

65 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 2 juillet 2014
Il y a des réalisateurs qui arrivent à faire aimer le cinéma dit "expérimental", et qui apporte une autre vision de ce que peut être la narration. Glazer n'en fait pas partit ! C'est formidable que ce genre de film puisse se faire encore de nos jours, et c'est toujours rassurant de voir apparaître ce genre d'OVNI fait par des passionnés, mais le film n'arrive jamais à la hauteur de ses ambitions. C'est mal écrit, extrêmement répétitif, long et ennuyeux et visuellement très pauvre (la seule idée de mise en scène vraiment étonnante est tellement répétée qu'elle perd tout son charme). Bref c'est maladroit et décevant, et ce ne sont pas les nichons de Scarlett qui suffiront à faire passer le temps.
Thierry M
Thierry M

172 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 28 juin 2014
C'est quoi ce film? Des scènes qui se repetes et un scenario nulles. Scarlett , que viens tu faire la dedans?
yeuce
yeuce

31 abonnés 936 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 14 janvier 2016
Une des plus grosse arnaque du cinéma, il ne se passe rien que des longs plan séquence vide de tout, le néant cinématographique d'intellectuel névrosés chiant à mourir.
Kloden
Kloden

133 abonnés 997 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 26 décembre 2014
Souvent taxé de film purement expérimental, d'illusion dont le trompe-l’œil esthétique cache une absence de vision ou de portée, Under the skin, dans une magnifique mise en abyme qui prouve plus que jamais à quel point vie et cinéma sont liés, cache lui-aussi sous sa peau extra-terrestre une humanité et un répertoire tant idéal qu'émotionnel indéniable. Histoire d'invasion extra-terrestre filmée du point de vue d'un alien ayant investi le corps sculptural et envoûtant de Scarlett Johansson, chargée d'attirer dans ses filets de jeunes hommes séduits par sa plastique, il séduit d'abord par une hypnotique tendance à l'abstraction, qui redéfinit complètement le regard. Filmé à travers les (beaux) yeux de l'alien, Under the skin remet étonnement en perspective les contours de l'humanité, sans jamais réellement forcer le trait (à une exception près, sans doute). Puis, avant que le voyage n'atteigne ses limites, Jonathan Glazer complexifie la donne et amorce un virage narratif qui justifie de façon fascinante les deux facettes visuelles d'un film un peu bivalent jusque là ; cette fascinante tendance à l'abstraction et un naturalisme qui venait enraciner ce film de science-fiction avec profondeur dans une dimension humaine. C'est dans l'entremêlement de ces deux composantes et dans leur dialogue avec le récit (ne pas non plus négliger l'apport de la bande-son, prégnante au possible) que Under the skin atteint une forme de poésie unique, parvenant à la faire émaner grâce à son thème et son traitement extra-terrestre d'une forme d'au-delà. Fascinant, le lyrisme quasi-transcendant de l'oeuvre n'en reste pas pour autant cantonné à une sphère abstraite, et n'oublie pas de développer une charge émotionnelle qui achève de construire cette déconstruction déchirante de l'humanité. Au fond, Under the skin rappelle sans doute à quelle point l'humanité est précieuse, à quel point elle demeure un don qu'il est impossible de falsifier, et au contraire si facile de détruire. C'est un film rare, beau et lumineux, malgré sa dureté certaine. Minimaliste dans les moyens, maximaliste dans la justesse. L'un des long-métrages les plus marquants de l'année.
maljam
maljam

9 abonnés 12 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 5 septembre 2014
L'esthétisme et l'abstraction poussés à l'extrême, ça donne finalement un "truc" qui traine en longueur absolument impossible à regarder si on recherche un moment de détente. Et si on veut malgré tout chercher à tordre l'histoire pour en retirer quelque chose, ça sonne bien vite creux...
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 1 juillet 2014
VIOLENT! visuel et bande son sans aucun sens! trop de violence, il mériterait l'appellation Thriller, Film d'horreur!!! FUYEZ, en tout cas ne payez pas pour voir des horreurs, et cette bouse pseudo intellectuelle!! Nous sommes de ceux qui sont partis au bout de 30 mins et nous regrettons de ne pas l'avoir fait plus tôt!!!
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 27 juin 2014
Tres long , Toujours pareil ... Bref nul
Scarlet johansoon NUe , passer votre chemin sauf pour scarlet
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 6 juillet 2014
Un film sans vrai intérêt. Encore un film de science-fiction cliché ou une belle femme qui est en réalité une extra terrestre qui utilise les hommes. On ne comprend pas grand chose à l'intérêt du film, ni du jeu quasi inexistant de la pourtant très talentueuse Scarlett Johansson.
Bref on s'ennuie et on s'en passerait bien.
Le cinéphile
Le cinéphile

724 abonnés 2 753 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 10 septembre 2014
Under the skin

Long métrage étonnant et incroyablement déroutant, ce dernier long métrage avec Scarlett Johansson a de quoi faire parler de lui. Réalisé par Jonathan Glazer, « Under the skin » raconte le voyage éphémère et initiatique d’une extraterrestre sur la planète Terre. Sans savoir ce qu’elle fait vraiment là, sans connaître réellement son but ou sa tâche, on suit cette extraterrestre prenant les traits de la sulfureuse Scarlett Johansson, à travers son périple sur notre planète. On découvre qu’elle se nourrit des hommes et qu’elle semble poursuivie par de mystérieux individus.

On ne sait trop par où commencer pour écrire sur un film comme celui-ci. Commençons donc par parler de la technique irréprochable du long métrage. La scène d’ouverture, très étonnante, sorte d’hommage à Kubrick, nous offre un gros plan de quelques minutes sur la pupille d’un œil, le tout appuyé par une musique stridente, presque désagréable, qui pose le ton. En effet, « Under the skin » est en réalité un film minimaliste, froid, âpre et extrêmement silencieux. Les dialogues sont presque totalement absents laissant seulement s’exprimer les jeux de regards et le charisme inquiétant de l’incroyable actrice qu’est Scarlett Johasson, offrant une prestation assez hallucinante. Ainsi ce manque de dialogue significatif appuie l’inquiétude qui se dégage du film et notamment le personnage principal. Une inquiétude aussi appuyée par l’image. En effet le réalisateur utilise une image très brute, très sale, absolument pas reprise, très peu travaillée en post production, pour appuyer le réalisme et la profondeur crasseuse de l’histoire. A la façon de Nicolas Winding Refn dans son « Pusher », Glazer utilise le même principe dans l’image pour appuyer la crasse inconditionnelle du film. Une technique largement justifiable et qui ici ne gâche absolument rien. Le lieu ajoute également à la froideur et à la brutalité de l’histoire. Dans une forêt profonde certainement d’un pays scandinave Johansson évolue et détruit ses proies les unes après les autres. Ainsi le contexte et le décor sont posés.
La réalisation est très intéressante. Elle se manifeste de deux manières. D’un coté, on a les passages dans le monde terrestre, où Johansson déambule dans les villes, observe le genre humain, apprend à connaitre ces étranges créatures, les étudie. Dans ces passages, la réalisation sonne très documentaire. Des plans bruts, non travaillés comme il est dit juste avant, tout est très réaliste et très analyste. On trouve d’excellents plans d’être humains, loin d’être indispensables, passablement inutiles, mais qui appuient pourtant très bien ce côté documentaliste. Puis la deuxième partie de la réalisation prend vie dans l’antre de l’extraterrestre. Lieu inconnu, sans réelles échelle ou règles, sans haut ou bas, sans dimensions. La réalisation en est donc complètement différente. Ici tout est retravaillé, magnifié, éclairé. Les décors et la texture sont magnifiques. Les référence à Stanley Kubrick sont légions, ainsi on retrouve une rivière de liquide rouge qui n’est pas sans rappeler « Shining » et sa marée de sang sortant des ascenseurs. Enfin, cette idée d’allier deux types de réalisation est une idée brillante qui fonctionne à merveille dans ce long métrage.
L’enchainement de l’histoire est simple. Succession de séduction, puis d’entourloupe, suivie de meurtres froids et efficaces. L’extraterrestre séduit des hommes, qu’elle emmène ensuite chez elle, pour les piéger et se nourrir d’eux. Ces passages de mort nous offre des moments artistiques étonnants et d’une beauté confondante, mais aussi d’une effroyable imagination. Ces scènes dégagent un degré d’effroi et de détachement assez incroyable. Les pauvres hommes s’avancent nus, inexorablement, vers Scarlett Johansson, ne se souciant que de son sublime corps, plus un mot ne parvient, seul le silence et une minuscule et terrifiante petite musique en fond sonore s’expriment. Le tout filmé par des plans étonnants, notamment des contre plongées parfaites, et un décor inexistant pour exprimer la chute dans l’abîme du vice. Alors que les hommes sont engloutis dans une sorte de liquide, on se prend a voir Scarlett Johansson en contre plongée, marcher sur ledit liquide alors que l’homme est resté au fond. Ce schéma est reproduit pour chaque nouvelle proie. Mais alors qu’une certaine redondance aurait pu apparaitre, le réalisateur nous dévoile à chaque nouveau meurtre quelques éléments de plus quant à l’évolution de ce cauchemar. Il nous arrive même d’entrevoir la nature et le vrai visage de l’extraterrestre.
« Under the skin » est un véritable cauchemar sur terre. L’extraterrestre semble être la main d’un certain destin, punissant les âmes perfides. Ce personnage accomplit sa tâche d’une désinvolture transcendante, ne se souciant pas de la douleur de ses proies. Mais qu'elle est sa véritable mission ? Détruire ou protéger ? Difficile à dire. Puisque cette extraterrestre ne s’attaque apparemment qu’à de viles séducteurs, ne voyants la femme uniquement comme un objet et un désir sexuel. Alors que ces hommes véreux tombent dans la séduction de Johansson, ils se font détruire à petit feu dans le liquide. Ce liquide, si l’on extrapole, pourrait être un équivalent du placenta. Ce qui signifierait que ces hommes retournent à l’état d’enfant avant de disparaître. Sorte de purification de l’âme quant à tous les péchés sexuels qu’ils ont fait subir. Et pourtant lors d’une séquence incroyablement dure, Johansson écrase le crane d’un pauvre homme qui tentait de sauver des gens de la noyade, et pour appuyer encore à l’effroi, abandonne un bébé seul face à la mort sur une plage déserte. Que veut dire cette séquence ? Ici nul vice n’était mis en avant, au contraire seules la solidarité et l’entraide existaient dans ce passage, et pourtant la main de l’extraterrestre a quand même frappé sans grande raison apparente. Etait-ce pour exprimer l’erreur de cette main du destin, ou son manque d’indulgence, est-elle trop exigeante envers les hommes, ou même que le personnage de Johansson ne croit pas vraiment en ce qu’il fait et donc se trompe dans sa tâche ?
On remarque cependant au cours du film que l’extraterrestre semble surveillée par quelques uns de ses semblables. En effet des individus juchés sur des motos sont sans cesse à la poursuite de Johansson et surveille assidûment son travail. Ainsi ne pourrait-on pas penser que les humains sont ici pris comme des cobayes, que Johansson est ici sur terre pour les mettre à l’épreuve, pour les surveiller, les étudier et ainsi les faire souffrir pour observer leurs réactions face au danger, à la tentation et autres sentiments ? Les lectures sont multiples et toutes très intéressantes.
Cependant la vision du monde de l’extraterrestre évolue au cours du film. Alors que Johanssson s’attelait à sa tâche rigoureusement, au fur et à mesure, son attention se détache, son intérêt et sa curiosité l’emporte sur sa mission. Après avoir rencontré un homme qui l’aide, la met en valeur et fait attention à elle, elle se prend à d’autres espérances, à d’autres imaginations. On découvre que le personnage reste à la fois perplexe et néanmoins dument intéressé par ce monde qu’il ne connait pas. Sa curiosité est telle que l’extraterrestre essaye de devenir humain, il s’humanise. Tout ce changement d’état est exprimé subtilement. On surprend l’extraterrestre à s’essayer à différentes expériences, d’abord sexuelles, puis sensorielles, elle apprend à connaître l’humanité et son propre corps. Le réalisateur nous retransmet donc toute l’éducation, l’élévation, la puberté de l’être humain en quelques minutes à travers le corps d’une extraterrestre.

Under the skin, plus qu’un film de science fiction, est avant tout une œuvre terriblement intimiste. Ici nul n’est jugé, on n’a pas affaire à de jugements moraux, personne n’est définit comme étant gentil ou méchant. Aucun point de vue manichéen se dégage du long métrage. Le long métrage se contente juste de nous présenter ses personnages guidés par leurs pulsions incontrôlables. Mais par-dessus tout, « Under the skin » nous fait une lecture très pessimiste de l’humanité. Le film nous informe des innombrables faiblesses que possède la race humaine, surtout exprimées de manière sexuelle, puisque qu’aucun homme ne résiste au camouflage de l’extraterrestre, mais une vision plus large nous est offerte et nous dit tout simplement que l’homme est faible. Et pourtant malgré cette péjorative qualification du genre humain, l’extraterrestre cherche absolument à se rapprocher de ce genre. Elle cherche absolument à s’humaniser. Mais dans quel but ? Le réalisateur nous dirait-il que la faiblesse, l’erreur, forgent un être consciencieux ?

Pour conclure « Under the skin » est une réelle expérience sensorielle à ne rater sous aucun prétexte pour tous les amateurs de cinéma original et d’œuvre relativement hors du commun.
Fabien S.
Fabien S.

587 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 27 septembre 2020
Scarlett Johansson incarne une femme extraterrestre dévoreuse d'hommes . Un bon film mélangeant fantastique , horreur et science-fiction. Très tordu , très étrange , très dérangeant, un côté subversif A vous glacer le sang .
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 20 septembre 2020
Je suis ravi d'être à l'opposé de la critique presse. Zéro art contemporain. Zéro expérimental. Zéro sensorialité. Zéro SF. Ce film réussit à agglomérer l'inesthétique, une BO stridente, un vide scénaristique, une ambiance glauque, un pseudo-intellect, une lenteur ennuyeuse, aucun fond, aucune réflexion, aucune sensualité, aucun érotisme, aucun humour... Aucun sens.
Yoann W
Yoann W

6 abonnés 92 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 16 décembre 2024
Under the Skin fait parti de ces films que l'on aimerait aimé. La photo est belle, c'est bien joué, c'est très original, c'est troublant, c'est dérangeant : tout ce que j'aime en somme. Et c'est pour toutes ces raisons que je mets la note de 1,5. Mais attention, si cela ne tenait qu'à l'impression globale que j'en ai, je pense que j'aurais tapé dans le 0 voir le 0,5.

Sans aller jusqu'à employer le terme de masturbation intellectuelle (pourtant ça me brule les lèvres), cet objet cinématographique non identifié est bien trop lent et évasif pour être appréciable. Etre obligé d'aller se taper des reviews pour comprendre ou analyser un film, c'est bien (et ça fait briller en soirée) mais on en oublie franchement l'essence même du cinéma ! Personnellement : je n'ai rien ressenti à part la frustration de me sentir obligé d'aller au bout pour y comprendre quelque chose. Quel ennui...

On a ici un film calibré pour la critique cinéma (et j'en comprends du coup les très bonnes notes) mais la critique cinéma, malheureusement, ce n'est pas le spectateur. Laissons ce film à de brillants étudiants en école de cinéma et restons, nous, spectateurs idiots, sur de "vrais" films.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 4 août 2014
Ce film est une perte de temps. Pas de scénario pas de bande son pas d'intrique pas de dialogues pas d' ambiance. Ennui mortel du début à la fin. Des scènes désespérantes où pendant 5 min on voit des nuages ou quelqu'un qui mange un gâteau, on en vient à espérer n'importe quoi par dépit mais jamais rien ne se passe. La seule émotion ressentie est celle d'avoir perdu 2h.
hpjvswzm5
hpjvswzm5

46 abonnés 459 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 28 juin 2014
Même si je me méfie un peu de ce genre films, Under the Skin aurait pu être une curiosité sympathique, un peu vaine, mais où l'ambiance m'aurait emporté malgré tout. Mais malheureusement le film ne m'a emporté nulle part, si ce n'est dans les bras de Morphée.

Alors oui, le côté mystérieux n'est pas dénué d'intérêt. On a tellement de films qui nous prennent pour des cons que ça change un peu d'avoir un film taiseux, qui ne dit rien, et où l'on doit réfléchir quelque peu pour avoir les idées claires. J'aime cette idée mais le film ne tient pas la longueur.

Le scénario est très (trop) simple, et la narration répétitive. Je me suis très vite lassé du film, voyant où il allait me mener sans en être excité, et je me suis bien emmerdé. Je n'ai personnellement rien contre Johansson, je trouve qu'elle fait pas trop mal son boulot sur ce coup. Mais le film est creux, ne raconte rien. J'ai cru que ça allait devenir intéressant au moment où l'extraterrestre commence à avoir des réactions de plus en plus étranges, où elle ne comprend pas les humains et leurs mondes, il y avait quelque chose à faire là-dessus. Mais ça ne reste que de petites pistes que le réal ne fouille pas vraiment, trop concentré à faire de belles images. Parce que oui, le chef op c'est fait plaisir. Mais bon, l'esthétique n'est pas au service du film, qui ne propose rien de particulier à part de belles images, qui nous font tomber dans un ennui mortel pendant une heure cinquante.

Et pourtant ce n'est pas totalement à jeter, j'ai plutôt aimé la musique, l'ambiance qu'il essaye de créer, mais mon désintérêt pour le film était tel que bon, finalement je m'en tamponne un peu, et la seul chose que je retiendrai du film c'est quelques images et beaucoup d'emmerdement.

Peut-être un court ou moyen-métrage honnête... Et encore.
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